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EN DIRECT - "Il est temps qu'il ose plonger dans le grand bain", Hidalgo appelle Macron à se déclarer candidat

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Poursuite d'un week-end marqué par la course à l'Elysée. Les Macronistes se réunissent autour de tables rondes dès 14 heures. Au PCF, Fabien Roussel lance sa campagne lors d'un premier meeting à Marseille à 15 heures.

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Anne Hidalgo souhaite qu'Emmanuel Macron déclare rapidement sa candidature

Invitée ce dimanche sur France 3, la candidate socialiste a estimé que l'actuel président de la République devrait rendre officielle sa candidature le plus rapidement possible. "Il est temps (...) qu'il ose plonger dans le grand bain", a-t-elle lancé.

"La Constitution n'a pas prévu qu'un président qui soit absorbé par sa tâche passe l'épreuve à côté, ça n'existe pas", a-t-elle insisté, estimant être "dans un pays où l'état de droit, le respect des oppositions, le respect du débat politique ça a du sens". De fait, la maire de Paris a également souhaité que le chef d'État participe à un débat avec les autres candidats avant le premier tour le 10 avril car "il n'y a pas de réélection automatique".

Lors de sa prise de parole, la candidate a également taclé Jean-Luc Mélenchon, estimant que le leader de la France insoumise ne serait "pas au second tour car il ne veut pas gouverner avec les socio-démocrates".

Fabien Roussel veut "un débat sur la semaine des 32 heures"

Lors de son meeting à Marseille, le candidat communiste à l'élection présidentielle a déclaré souhaiter rouvrir le débat sur la durée légale du temps de travail.

Le candidat communiste a dit vouloir "un débat sur la semaine des 32 heures". "Oui, nous sommes exigeants, un vrai salaire, un vrai travail, avec de bonnes conditions de travail, où l'on retrouve le sens de ce que l'on fait", a-t-il estimé.

Fabien Roussel dit "stop aux délocalisations" et au "grand déménagement industriel de la France"

Fabien Roussel assure que pendant le mandat d'Emmanuel Macron il y a "eu beaucoup d'emplois industriels supprimmés, beaucoup d'usines délocalisées et encore menacées aujourd'hui".

"Nous, nous disons que le grand déménagement industriel de la France c'est terminé, stop au délocalisations!" a-t-il déclaré à Marseille. "La France des jours heureux c'est la France qui se battra vraiment pour l'industrie française car un pays sans industrie est un pays sans avenir, et je défendrai une industrie décarbonnée".

Avec Fabien Roussel, "les entreprises auront 1 an pour appliquer l'égalité salariale entre femmes et hommes"

Fabien Roussel a défendu sa vision de "la France de la bonne paye" lors de son meeting. Celle-ci comprend "vraiment l'égalité des salaires entre les femmes et les hommes, et pas dans cinq ans".

"Avec moi, avec nous, avec une nouvelle majorité de gauche à l'Assemblée nationale, les entreprises auront un an pour appliquer l'égalité salariale entre femmes et hommes, et si elles ne le font pas, nous nommerons un administrateur judiciaire qui aura l'obligation de le faire à leur place".

"Le ruissellement de Macron c'est terminé. Je vous propose le roussellement" lance Fabien Roussel

À Marseille, le candidat communiste à l'élection présidentielle Fabien Roussel a fustigé la théorie du ruissellement. "Ce sont les riches qui nous coûtent cher [...] le ruissellement d'Emmanuel Macron, c'est terminé".

En opposition à cette notion, Fabien Roussel a déclaré en proposer une autre, plus personnelle.

"Moi je vous propose une autre théorie, le roussellement. [...] Le roussellement, c'est augmenter les salaires et les retraites, c'est de rendre du pouvoir d'achat aux Français"

Fabien Roussel propose d'augmenter le SMIC à "1500 euros net"

Le candidat communiste a annoncé dimanche à l'occasion de son meeting à Marseille vouloir augmenter les salaires, "en commençant par le SMIC, que nous porterons à 1923 brut soit 1500 net."

"Ce que nous voulons c'est une France des bons salaires, pour avoir une France forte, solide, en bonne santé".

"Les délinquants en col blanc, au tribunal": Fabien Roussel annonce vouloir "traquer les fraudeurs fiscaux"

Fabien Roussel a annoncé plusieurs mesures pour "traquer vraiment les fraudeurs fiscaux".

"Halte à la corruption, halte à l'évasion fiscale, les délinquants en col blanc au tribunal! Et ça, vous n'entendrez jamais Macron, Zemmour, Le Pen, Pécresse en parler" a martelé le candidat communiste lors de son meeting à Marseille.

Le candidat a aussi annoncé vouloir nommer un ministre chargé de la lutte contre la fraude fiscale, et donné un nom: celui d'Eric Bocquet, actuellement sénateur.

"Je proposerais à la justice de priver les fraudeurs fiscaux de leurs droits civiques parce que c'est quand même trop facile de tout faire pour éviter de payer l'impôt quand on est super fotuné et puis dès qu'on est malade de revenir en France et de bénéficier de la sécurité sociale".

Il a enfin proposé d'organiser "une conférence fiscale mondiale pour faire de la lutte contre ces parasites et ce fléau un combat européen et planétaire".

"Nous rétablirons l'ISF, et on le triplera même", déclare Fabien Roussel

Depuis Marseille, Fabien Roussel a déclaré souhaité rétablir l'impôt sur la fortune, qui avait été supprimé par Emmanuel Macron au début de son mandat, remplacé par un impôt sur la fortune immobilière.

"Nous rétablirons l'ISF, et on le triplera même. Oui, on rétablira la justice fiscale, en rendant l'impôt plus juste, plus léger pour les petits, plus lourd pour les gros", a déclaré Fabien Roussel.

Fabien Roussel veut "défendre une France du pouvoir d'achat"

En meeting à Marseille, le candidat communiste à l'élection présidentielle a déclaré souhaiter "bâtir une France du travail et des vrais salaires, plutôt qu'une France chômage".

"Nous voulons défendre une France du pouvoir d'achat et des bonnes pensions, plutôt que les fonds de pension", a déclaré Fabien Roussel.

Le député du Nord a estimé qu'"il faut des réformes heureuses pour retrouver la dignité", martelant son slogan des "jours heureux".

"Nous avons déjà bousculé un peu le débat" estime Fabien Roussel

Le candidat communiste Fabien Roussel s'est réjouit devant ses sympathisants à Marseille d'avoir "bousculé le débat" dans cette campagne présidentielle.

"Oui vous le sentez, il y a du soufre dans cette campagne, ça bouge et nous avons déjà vu comment en quelques semaines nous avons déjà un peu bousculé le débat, tant mieux" a-t-il déclaré avant de souhaiter la "bienvenue" à ceux qui l'ont rejoint.

"Marseille est jeune, à l'image de cette campagne": Fabien Roussel s'exprime devant ses sympathisants

Fabien Roussel vient de prendre la parole devant ses sympathisants à Marseille. Le candidat communiste a exprimé sa joie d'être dans cette ville du sud.

Marseille est "une ville si humaine, si généreuse, culturelle, sportive et tellement riche de toutes celles et ceux issus de tous les continents venus s'installer ici. Marseille est unique, Marseille est jeune, Marseille est populaire, à l'image de notre campagne."

Fabien Roussel s'exprime depuis Marseille

Le candidat du parti communiste français a pris la parole devant quelque 3000 partisans à Marseille, ce dimanche après-midi.

Pour Barbara Gomes, "la sécurité est une vraie question et ne peut pas être accaparée par la droite"

En amont du meeting du candidat communiste Fabien Roussel à Marseille, sa porte-parole Barbara Gomes a défendu l'importance de la question de la sécurité dans cette campagne.

"Quand on est proche des classes populaires, quand on vit dans des quartiers populaires on sait que la sécurité c'est une vraie question, et elle ne peut pas être accaparée par la droite avec toutes les déviances qu'on lui connait" a-t-elle déclaré avant de préciser: "il faut prendre ce sujet au sérieux et le traiter avec des perspectives de gauche, c'est ce que fait Fabien Roussel".

Et si les positions de Fabien Roussel détonnent avec celles des autres candidats de gauche, Barbara Gomes s'est défendue: "faire semblant qu'un sujet n'existe pas, je pense que ça ne rend pas service à la gauche, on le voit bien aujourd'hui."

La porte-parole a enfin réaffirmé l'avis du candidat sur le nucléaire dont "on ne peut se passer" en raison de "l'urgence climatique et des besoins énergétiques".

D'après Guillaume Peltier, Zemmour a plus de 460 "promesses de parrainages"

Alors que le candidat d'extrême droite enregistre pour l'instant 58 parrainages, son porte-parole, Guillaume Peltier, affirme que plus de 460 promesses ont été recueillies.

"Eric Zemmour sera candidat à l'élection présidentielle. Nous avons franchi les 460 promesses de parrainage", déclare-t-il ce dimanche, invité du Grand Jury de RTL, LCI et Le Figaro.

Guillaume Peltier poursuit en annonçant que les équipes de campagne travaillent à transformer ces promesses en signatures.

"Ce sont essentiellement des élus sans étiquette, indépendants, divers droite comme on dit", précise le porte-parole et ex-numéro 2 des Républicains.

Pour Guillaume Peltier, "Pécresse est un vote inutile, c'est le clone de Macron"

Invité ce dimanche du Grand Jury sur RTL, LCI et Le Figaro, le porte-parole d' Éric Zemmour affirme que la candidate Les Républicains n'est que le "clone" d'Emmanuel Macron.

"Valérie Pécresse est devenue pour moi un vote inutile", déclare-t-il, lui reprochant notamment de changer d'opinion "au gré de l'actualité" et estimant qu'elle ralliera le président sortant au printemps.

"Le seul qui peut permettre cette union des droites, le seul qui veut réparer la France et qui est courageux, c'est Éric Zemmour (...). Éric Zemmour est celui qui va permettre enfin à la vraie droite d'exercer le pouvoir", poursuit l'ex-numéro 2 des Républicains.

Yannick Jadot souhaite nommer une Première ministre et veut "50% de femmes à l'Assemblée nationale"

Interrogé sur sa volonté de nommer une femme à Matignon, le candidat écologiste à la présidentielle a réaffirmé son engagement, "car on a besoin dans notre pays d'affirmer l'égalité femmes-hommes".

Yannick Jadot souhaite également instaurer la parité à l'Assemblée nationale. "Dans les réformes que nous portons, il y a évidemment la proportionnelle, mais aussi la parité de sortie. Aujourd'hui, on doit être paritaire sur les listes, mais à la fin, ça peut donner 80-20 pour les hommes. Et bien on introduira un système qui existe déjà en Amérique latine, qui fait qu'à la fin, vous avez 50% de femmes à l'Assemblée et 50% d'hommes".

Quant aux différences salariales, le candidat écologiste souhaite s'inspirer du "système à l'islandaise", où "ce n'est pas à la salariée de prouver qu'elle est discriminée, mais c'est à l'entreprise de prouver pourquoi il y a une discrimination".

Ehpad: Yannick Jadot propose d'interdire les établissements privés à but lucratif

Après les révélations de faits de maltraitances dans certains Ehpad du groupe Orpea, le candidat écologiste a proposé sur BFM Politique "d'interdire les Ehpad privés à but lucratif".

Yannick Jadot a aussi émis le souhait d'augmenter le nombre d'accompagnants auprès des personnes âgées, de sorte à "se rapprocher de un pour un" contre six pour dix aujourd'hui.

"Etre Français, c'est avoir le regard sur l'horizon européen": Jadot lance une pique à Mélenchon

Interrogé sur la radicalité des propositions du candidat Insoumis en matière d'écologie, Yannick Jadot assure avoir "le seul projet qui s'aligne sur l'exigence des scientifiques de ne pas dépasser 1,5 degrès de réchauffement".

"J'ai une différence peut-être avec Jean-Luc Mélenchon: je veux gouverner ce pays" en s'appuyant sur l'Europe, déclare Yannick Jadot.

"On a travaillé à la crédibilité d'un projet de transformation, un projet qui utilise le levier européen pour mener tous ces combats", estime-t-il sur le plateau de BFMTV.

"Etre Français, c'est (...) avoir le regard sur l'horizon européen", détaille Jadot, qui voie en cela une grande différence avec le programme de Mélenchon.

Pour Yannick Jadot, "il ne fallait pas envoyer de ministre" aux Jeux olympiques de Pékin

Invité de l'émission BFM Politique ce dimanche, le candidat écologiste à l'élection présidentielle Yannick Jadot a critiqué le choix du gouvernement d'envoyer la ministre des Sports aux Jeux olympiques de Pékin.

"La France, à la différence de beaucoup de pays européens et des Etats-Unis, n'a pas choisi de boycotter politiquement, ça ne m'étonne pas du Président de la république. Je regrette que la France ne se situe pas sur le sport et ses valeurs."

Le candidat n'avait pas appelé au boycott sportif mais diplomatique de la compétition car "Xi Jinping avec Vladimir Poutine en font une scène pour se mettre en valeur, ils instrumentalisent le sport".

Yannick Jadot l'a assuré: "Pour les écologistes il n'y a pas de complaisance avec Poutine ou Xi Jinping, on discute avec ces Etats mais on n'arrête les complaisances".

Yannick Jadot "serein" à propos de ses parrainages

Invité de BFM Politique ce dimanche, Yannick Jadot se dit confiant quant au nombre de parrainages qu'il va recueillir en vue du premier tour de l'élection présidentielle.

"Ça va le faire", assure ce dimanche le candidat EELV.

"On va avoir nos parrainages, on y travaille, c'est le respect de la démocratie. On est tout à fait serein par rapport à ça. Tout va bien se passer", poursuit-il sur le plateau de BFMTV.

Le candidat admet que trouver des parrainages représente une charge de travail importante. "C'est du boulot de les trouver. Il faudra probablement changer de système, qu'il puisse y avoir des parrainages citoyens".

Yannick Jadot estime qu'il y a "une perspective extraordinaire et réelle de victoire de l'écologie"

Le candidat écologiste à la présidentielle a réagi ce dimanche sur BFMTV au nouveau sondage Ipsos-Sopra Steria réalisé pour Le Parisien/Aujourd'hui en France et Franceinfo qui place à égalité les intentions de vote au premier tour pour Marine Le Pen et Eric Zemmour à 14%, et lui accorde 8% des voix.

Pour Yannick Jadot, les différentes candidatures à droite de l'échiquier politique vont mener à un "seuil d'entrée au second tour qui va être plus faible". De quoi le faire affirmer qu'il "est évident qu'il y a une perspective extraordinaire et réelle de victoire d'une écologie qui soit sociale et républicaine à cette élection présidentielle."

Présidentielle: Yannick Jadot dénonce un "concours Lépine du racisme"

Invité de l'émission BFM Politique, le candidat écologiste à l'élection présidentielle a dénoncé un "concours Lépine du racisme, de l'antisémitisme, du révisionnisme, de la haine" dans le cadre de la campagne pour l'élection présidentielle.

Puis d'attaquer directement Eric Zemmour: "C'est quoi le récit de Zemmour? Son grand succès, c'est Le Suicide Français (en référence au titre d'un des ouvrages du polémiste, ndlr). Pour moi, ça ne peut pas être notre récit national".

"La dédiabolisation du parti est un piège à cons": Gilbert Collard tâcle Le Pen

Le porte-parole de"Reconquête", parti d'Eric Zemmour, a pointé du doigt la stratégie de Marine Le Pen en vue de l'élection présidentielle, à l'occasion d'une interview sur Europe 1 ce matin.

"La dédiabolisation du parti est un piège à cons", a-t-il réaffirmé après les attaques de la candidate du Rassemblement national envers Zemmour.

"Aujourd'hui, il faut avoir le courage, quoi qu'il en coûte, de dire ce qui est", a-t-il poursuivi.

"Ce n'est pas sérieux": Marlène Schiappa déplore une campagne "rabougrie"

Marlène Schiappa a qualifié la campagne présidentielle de "rabougrie" et "pas sérieuse", à l'antenne d'Europe 1 ce dimanche, alors qu'elle était interrogée sur la parenthèse intimiste qu'a choisi de faire Marine Le Pen samedi à la fin de son meeting à Reims.

"Nous avons des candidats qui parlent beaucoup d'eux-mêmes et on a une campagne un peu rabougrie", a déclaré la ministre chargée de la Citoyenneté.

Yannick Jadot est l'invité de BFM Politique à midi

Le candidat EELV à l'élection présidentielle est l'invité de BFM Politique à partir de midi sur BFMTV.

Jean-Marie Le Pen reproche à sa fille "d'écarter beaucoup de militants" du parti

Si le père de Marine Le Pen a reconnu dans les colonnes du JDD les qualités de débatteuse de la candidate du Rassemblement national, Jean-Marie Le Pen a aussi regretté qu'elle ait "écarté beaucoup de militants et amis de Marion" Maréchal du parti.

"Je suis beaucoup plus souple qu'elle. Elle a écarté beaucoup de militants, des amis de Marion (Maréchal, ndlr). C'est une écarteuse plus efficace dans l'éjection que dans le recrutement", a-t-il déploré.

>> Retrouvez notre article ici.

"Je ne comprends pas": Jean-Marie Le Pen revient sur l'éventuel ralliement de Marion Maréchal à Eric Zemmour

Au lendemain du meeting de Marine Le Pen, son père Jean-Marie Le Pen est revenu dans le JDD sur l'éventuel soutien de Marion Maréchal, sa nièce, à Eric Zemmour, et non à Marine Le Pen.

"Je soutiens la candidature de Marine Le Pen. Je ne comprends pas que Marion soutienne un inconnu par rapport à la famille, si sympathique soit-il" a-t-il confié.

Pourtant, le père de la candidate RN l'a aussi assuré: "Zemmour, je l'aime beaucoup".

"Il remet mes idées dans la campagne. C'est lui que l'on attaque, c'est lui l'homme d'extrême droite. Peut-être rend-il service à Marine", s'est-il interrogé.

Jean-Marie Le Pen a par ailleurs déclaré ne pas avoir "compris" que Marion Maréchal quitte la politique il y a plusieurs années alors que "c'était une Marine sans défaut", tout comme son envie de revenir dans le milieu, "alors qu'elle est dans un autre projet de vie".

"Je réfléchis avant de répondre": Taubira se défend après ses hésitations sur la question du logement

Après ses hésitations concernant la question du logement jeudi, Christiane Taubira se défend ce dimanche dans les colonnes du Journal du Dimanche. "J'ai eu deux secondes d'hésitation sur une prise de parole de trente minutes", se justifie-t-elle.

"Je ne suis pas en train de préparer Questions pour un champion! Je prétends à la magistrature suprême. Heureusement qu'il m'arrive de réfléchir avant de répondre", se défend-elle.

Jeudi, lors de son grand oral devant la Fondation Abbé Pierre, la candidate consacrée par la Primaire populaire a bafouillé pendant une trentaine de secondes, interrogée sur ses propositions quant au mal-logement.

>> Retrouvez notre article ici.

Fabien Roussel lance sa campagne à Marseille

Fabien Roussel lance officiellement sa campagne lors de son premier grand meeting national à Marseille ce dimanche, à partir de 15 heures. Cette candidature marque le retour du Parti communiste français (PCF) dans la course à l'Elysée après quinze ans d'absence.

Devant environ 2000 personnes, Fabien Roussel déclinera à cette occasion les grandes lignes de son programme, intitulé "La France des jours heureux".

Ses propositions sont notamment axées sur la valorisation du travail et un renforcement des services publics, mais aussi sur des idées pro-nucléaires et sécuritaires plus marquées que chez ses concurrents à gauche.

Marine Le Pen et Eric Zemmour à égalité dans les sondages

Alors qu'ils étaient en meeting samedi, respectivement à Lille et Reims, Eric Zemmour et Marine Le Pen pourraient se retrouver à égalité au premier tour, avec 14% d'intentions de vote, selon un nouveau sondage Ipsos-Sopra Steria réalisé pour Le Parisien/Aujourd'hui en France et Franceinfo.

Par rapport aux derniers scores enregistrés en janvier, la candidate du Rassemblement national baisse de trois points dans les sondages. Zemmour monte de deux points de son côté.

Si Emmanuel Macron l'emporte toujours avec 24% d'intentions de vote, son avance s'érode, avec 1,5 point de moins par rapport au dernier sondage. Valérie Pécresse, la candidate LR, tient la deuxième position avec 16,5% d'intentions de vote.

Elisa Fernandez