L'information judiciaire a été ouverte début juin par le parquet de Nanterre.
Pensant rendre service à un sexagénaire en détresse, de nombreuses femmes se font escroquer des centaines d'euros à Paris.
À la suite de l'audience de ce jeudi matin, la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a décidé de rejeter la demande de remise en liberté du policier mis en examen et placé en détention provisoire dans l'affaire des violences sur Hedi.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
![Affaire Hedi: "[Il] était tellement épuisé ce matin (...) il était incapable de se lever", indique l'avocat du jeune homme](https://images.bfmtv.com/gasweDgOv7rgxTFj3FIB-HBgfK0=/0x0:1280x720/285x0/images/Affaire-Hedi-Il-etait-tellement-epuise-ce-matin-il-etait-incapable-de-se-lever-indique-l-avocat-du-jeune-homme-1684433.jpg)
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
Le procureur de la République avait demandé le maintien de la détention provisoire du policier jusqu'au 30 août prochain dans l’affaire Hedi. Pour rappel, en marge des émeutes à Marseille début juillet, plusieurs policiers ont été accusés de “violence en réunion” sur un jeune homme, Hedi. Il a été plongé dans le coma pendant quelques jours à cause d’un tir de LBD en pleine tempe.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
Dans cette affaire, quatre policiers sont mis en examen pour "violences volontaires ayant entraîné une ITT", mais un seul officier a été placé en détention provisoire.
Le rappeur de 31 ans est visé par une plainte pour viol déposée en 2020 pour des faits commis à l'étranger en 2017, selon le parquet de Paris. Une enquête a été ouverte.
L'homme était recherché depuis un règlement de compte en mai dernier dans la Drôme. Il était visé par un mandant d'arrêt.
70 sapeurs-pompiers et de 29 engins de secours, dont huit véhicules incendies, on été nécessaires pour fixer le sinistre.
Un homme a perdu un œil et un autre a été plongé dans le coma à la suite d'un tir avec cette arme. L'affaire mettant en cause un tir de LBD la plus récente est celle de Jalil, 15 ans, qui a perdu un œil dans la nuit du 1er au 2 juillet, à Chilly-Mazarin en Essonne.
Après des dénégations, le policier qui a fait appel de son incarcération a reconnu jeudi un tir de LBD le soir où le jeune Hedi a été gravement blessé en marge des émeutes à Marseille, une avancée pour l'avocat général qui a toutefois requis son maintien en détention.
Le rappeur de 31 ans est visé par une plainte pour viol déposée en 2020 pour des faits commis à l'étranger en 2017, selon le parquet de Paris. Une enquête a été ouverte.
Jalil s’est retrouvé éborgné après avoir reçu un tir de LBD dans la nuit du 1er au 2 juillet à Chilly-Mazarin en Essonne. Le jeune homme assure ne pas avoir été un émeutier et avoir simplement voulu rejoindre un ami. Une version qui s’oppose à celle des policiers, qui plaident la légitime défense.
Lors d'une audience tenue devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, le policier mis en cause a reconnu un tir au LBD la nuit des faits. L'avocat de Hedi s'est exprimé ce jeudi matin, dénonçant un "aveu coupable" du policier.
L'avocat de Hedi prend la parole, après que le parquet ait requis contre le policier le maintien sa détention provisoire. Pour rappel, un policier a été incarcéré pour 'violence en réunion" en marge des émeutes à Marseille début juillet.
Jacques Preziosi, avocat d'Hedi, réagit après la demande du procureur d'Aix-en-Provence du maintien en détention provisoire du policier auteur du tir de LBD
L'avocat de Hedi prend la parole, après que le parquet ait requis contre le policier le maintien sa détention provisoire. Pour rappel, un policier a été incarcéré pour 'violence en réunion" en marge des émeutes à Marseille début juillet.
Lors de l'audition du policier incarcéré dans l'affaire Hedi qui a lieu ce jeudi 3 août, le policier a reconnu avoir tiré un flashball à bout portant sur Hedi. Le procureur d'Aix-en-Provence a demandé le maintien de la détention provisoire du policier.
Lors d'une audience tenue devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, le policier mis en cause a reconnu un tir au LBD la nuit des faits.
Lors de son audition qui se tient ce jeudi devant la chambre d'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, le policier incarcéré dans le cadre de l'affaire Hedi a reconnu, dans un propos liminaire, avoir effectué un tir de LBD à une reprise la nuit des faits.
Lors d'un propos liminaire devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence, qui l'auditionne ce jeudi, le policier a admis avoir tiré à une reprise le jour des faits.
Jalil s’est retrouvé éborgné après avoir reçu un tir de LBD dans la nuit du 1er au 2 juillet. Le jeune homme assure ne pas avoir été un émeutier et avoir simplement voulu rejoindre un ami. Une version qui s’oppose à celle des policiers.
Le jeune homme s'est retrouvé éborgné après avoir reçu un tir de LBD au cours de la nuit du 1er au 2 juillet. Il assure ne jamais avoir été un émeutier, et avoir simplement voulu rejoindre un ami cette nuit-là. Une enquête a été ouverte par le parquet d'Évry et confiée à l'IGPN.
Selon nos informations, au moins 1 personne est morte, 1 personne est dans le coma, 8 personnes sont grièvement blessées et 6 ont été éborgnées après des tirs de LBD lors des émeutes.
Ce jeudi, la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix en Provence doit se prononcer sur la détention du policier soupçonné d'avoir tiré sur Hedi la nuit du 1er au 2 juillet.
Alors que l'Ouest de la France est balayé par des vents violents et des vagues importantes, une femme de 57 ans a perdu la vie à Ouessant, a annoncé la préfecture maritime de l'Atlantique. Un jeune garçon a été écrasé par un arbre dans un jardin de Charente-Maritime lors d'un rassemblement familial.
Alors que le département était placé en vigilance jaune aux vents violents, un jeune garçon a été écrasé par un arbre dans un jardin de Charente-Maritime lors d'un rassemblement familial.
Alors que l'Ouest de la France est balayé par des vents violents et des vagues importantes, une femme de 57 ans a perdu la vie, a annoncé la préfecture maritime de l'Atlantique.
Le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran, a appelé Hedi, jeune homme de 22 ans qui aurait été victime de violences policières à Marseille, indique son avocat, Jacques Preziosi.
Une structure gonflable du parc aquatique s'est envolée dimanche emportant deux occupants, un père et sa fille. L'homme est mort des suites de ses blessures tandis que l'enfant est dans un état grave. Ses proches témoignent, à l'instar de Jonathan, son collègue ambulancier.
Une structure gonflable du parc aquatique s'est envolée dimanche emportant deux occupants, un père et sa fille. Jérôme, 35 ans, est mort des suites de ses blessures tandis que l'enfant est dans un état grave. Les responsables ont décidé de fermer définitivement leurs parcs à la suite du drame. Une enquête a été ouverte pour homicide et blessures involontaires.
Ce mardi 1er août, rue de la paix à Paris, une bijouterie de la marque Piaget a été braquée par trois personnes: deux hommes et une femme. Ces derniers sont ressortis avec un butin estimé à plus de 10 millions d’euros. Ils sont entrés à visage découvert et se sont fait passer pour des clients. La brigade de répression du grand banditisme est sur l’enquête. Lors du braquage, aucun membre du personnel n’a été blessé lors du braquage
Le père et le fils de Karelle, la mère de famille tuée dans l'accident de bus dans les Yvelines, témoignent pour la première fois. Effondrés et en colère, ils portent plainte contre le conducteur alcoolisé soupçonné d'être à l'origine de l'accident.
Une structure gonflable du parc Wonderland de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume s'est envolée dimanche, emportant les deux occupants, un père et sa fille. Le père de famille, ambulancier, a succombé à ses blessures.
Alors qu'un homme est mort et qu'une fillette est dans un état grave après qu'une structure gonflable du parc s'est envolée, l'un des responsables est revenu auprès de BFMTV sur les conditions météorologiques le jour de l'accident.
Un braquage a eu lieu à la joaillerie Piaget de la rue de la Paix à Paris en milieu de journée. Les trois malfaiteurs, dont l’un au moins portait une arme, ont pris la fuite avec un butin estimé entre 10 et 15 millions d’euros. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée en bande organisée et séquestration en bande organisée par le parquet de Paris.
Les deux hommes, âgés respectivement de 26 et 36 ans, grimpaient dans deux cordées séparées quand un amas de pierre s'est détaché lundi matin, peu avant le sommet qui surplombe le glacier du Trient.
Un braquage a eu lieu à la joaillerie Piaget de la rue de la Paix à Paris en milieu de journée. Les trois malfaiteurs, dont l’un au moins portait une arme, ont pris la fuite avec un butin estimé entre 10 et 15 millions d’euros. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée en bande organisée et séquestration en bande organisée par le parquet de Paris.
Dans un communiqué transmis à "Corse-Matin", le FLNC dénonce "une colonisation de peuplement disproportionnée" et un "processus de destruction du peuple corse".
Un braquage a eu lieu à la joaillerie Piaget de la rue de la Paix à Paris en milieu de journée. Les trois malfaiteurs, dont l’un au moins portait une arme, ont pris la fuite avec un butin estimé entre 10 et 15 millions d’euros. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée en bande organisée et séquestration en bande organisée par le parquet de Paris.
Un braquage a eu lieu à la joaillerie Piaget de la rue de la Paix à Paris en milieu de journée. Les trois malfaiteurs, dont l’un au moins portait une arme, ont pris la fuite avec un butin estimé entre 10 et 15 millions d’euros. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée en bande organisée et séquestration en bande organisée par le parquet de Paris.
Un homme de 35 ans est mort et sa fille de 4 ans a été grièvement blessée après qu’une structure gonflable d’un parc aquatique se soit envolée, emportant les deux occupants, à Saint-Maximim-la-Sainte-Baume (Var). Selon le responsable, les conditions météorologiques étaient bonnes le matin du drame, avant qu’une “bourrasque imprévisible” ne s’abatte sur la zone.
La gendarmerie du Gard avait lancé lundi un avis de recherche pour retrouver la jeune Ilanit, 13 ans, disparue depuis le 27 juillet à Saint-Génies-de-Malgoirès.
Dans un entretien accordé à "Ouest-France", la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté dénonce les mauvaises conditions de vie dans les prisons en France, alors qu'un nouveau record historique du nombre de détenus a été atteint au 1er juillet.
Une structure gonflable du parc aquatique s'est envolée dimanche emportant deux occupants, un père et sa fille. L'homme est mort des suites de ses blessures tandis que l'enfant est dans un état grave.
Un braquage a eu lieu à la joaillerie Piaget de la rue de la Paix à Paris en milieu de journée. Les trois malfaiteurs, dont l’un au moins portait une arme, ont pris la fuite avec un butin estimé entre 10 et 15 millions d’euros. Une enquête a été ouverte pour vol à main armée en bande organisée et séquestration en bande organisée par le parquet de Paris.
La bijouterie Piaget, située rue de la Paix dans le 2e arrondissement de Paris, a été victime d'un braquage ce mardi à la mi-journée, a appris BFMTV de source policière.
