Un homme est mort le 4 août après avoir succombé à ses blessures. C'était pendant les fêtes de Bayonne, où la victime a été sauvagement passée à tabac par 3 personnes. Elle a été plongée dans le coma mais la victime de 46 ans a succombé à ses blessures. Les trois individus, auteurs des coups, sont toujours recherchés par la police.
Un homme de 46 ans a été mortellement agressé par 3 individus pendant les fêtes de Bayonne. La victime leur avait demandé d'arrêter d'uriner sur sa porte d'entrée, avant d'avoir été passé à tabac. La police judiciaire bayonnaise recherche toujours les 3 hommes.
Hadjira, une femme de 44 ans, a été retrouvée morte à son domicile le 21 juillet dernier, après avoir été poignardée à plusieurs fois. Son mari a été mis en examen pour meurtre et a été placé en détention provisoire. Un nouveau féminicide qui aurait pu être éviter.
Un homme a été mortellement agressé à Bayonne, alors qu'il demandait à trois individus de ne pas uriner sur la porte de son domicile. Passé à tabac, il a été placé pendant 9 jours dans le coma mais est décédé de ses blessures ce 4 août. Les Bayonnais, encore très choqués par cet évènement veulent des fêtes "plus respectueuses" et avec "moins de beuverie".
Un homme de 46 ans est mort ce vendredi 4 août après avoir été roué de coups par 3 jeunes, toujours en fuite, le 26 juillet. La victime a été placée en coma artificiel pendant 9 jours, mais est décédé de ses blessures.
![Crise dans la police: "Le pouvoir se sent très menacé et a besoin de la police, [...] de l'autre côté, les syndicats de police se sentent en situation de demander beaucoup au pouvoir", affirme Arnaud Mercier](https://images.bfmtv.com/hJKqBy-Pqbeyaa-awzDEW6CHdeo=/0x0:1280x720/285x0/images/Crise-dans-la-police-Le-pouvoir-se-sent-tres-menace-et-a-besoin-de-la-police-de-l-autre-cote-les-syndicats-de-police-se-sentent-en-situation-de-demander-beaucoup-au-pouvoir-affirme-Arnaud-Mercier-1685164.jpg)
Arnaud Mercier, professeur en communication politique à l'Université Paris II-Assas, était l'invité de BFMTV ce vendredi soir pour parler de la crise dans la police.
Une altercation le 18 juillet dernier avait donné lieu à une ITT de deux jours pour l'élue de Chantepérier en Isère. La femme auteure de l'agression a été condamnée à deux mois de prison avec sursis et a présenté ses excuses.
Sophie Bussière, conseillère EELV de Nouvelle-Aquitaine, était l'invitée de BFMTV ce vendredi soir sur BFMTV pour réagir aux affaires de viols et à l'affaire de meurtre survenus lors des fêtes de Bayonne.
Le Conseil d'État va examiner mardi un référé-suspension demandant à suspendre l'application du décret entraînant la dissolution des Soulèvements de la terre.
Elle avait déposé, le 18 juin, une main courante à la gendarmerie de Marciac pour des menaces de mort reçues entre janvier et juin. Cette conseillère municipale a été tuée par son ex-conjoint, qui l'a percutée à deux reprises avec son véhicule avant de s'enfuir.
Après la mort d'un homme violemment agressé lors des fêtes de Bayonne, des associations ont organisé une minute de silence devant la mairie de la ville ce vendredi. Les représentants des associations ont dénoncé "des actes d'une insupportable violence".
Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, ainsi que Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale, ont annoncé ce vendredi que certaines demandes d'arrêts maladie seraient refusées, après que des fonctionnaires ont utilisé ce moyen pour protester contre l'incarcération de leur collègue marseillais qui a blessé grièvement à la tête Hedi avec un tir de LBD.
Le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, ainsi que Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale, ont annoncé ce vendredi que certaines demandes d'arrêts maladie seraient refusées, après que des fonctionnaires ont utilisé ce moyen pour protester contre l'incarcération de leur collègue marseillais qui a blessé grièvement à la tête Hedi avec un tir de LBD.
Un homme de 46 ans est mort ce jeudi après avoir été roué de coups au premier soir des Fêtes de Bayonne, la semaine dernière. Dans la commune, les commerçants et les riverains sont sous le choc après ce drame.
Les cinq hommes âgés de 21 à 40 ans ont été hospitalisés vendredi en "urgence absolue" au CHU de Bordeaux.
Un homme de 46 ans est mort ce jeudi après avoir été roué de coups au premier soir des Fêtes de Bayonne, la semaine dernière. Dans la commune, les commerçants et les riverains ont rendu hommage à la victime ce vendredi soir.
L'homme a été arrêté et placé en détention dans l'Oregon, aux États-Unis. Le FBI passe un appel à témoins pour recenser d'autres possibles victimes.
Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police, était l'invité de BFMTV ce vendredi soir pour parler de la crise dans la police après le placement en détention provisoire d'un policier marseillais.
Un homme de 46 ans est mort ce jeudi après avoir été roué de coups au premier soir des Fêtes de Bayonne, la semaine dernière. Dans la commune, les commerçants et les riverains sont sous le choc après ce drame.
À la suite des Fêtes de Bayonne de la semaine dernière, une jeune fille mineure a déposé plainte pour viol. Il s'agit de la cinquième plainte pour viol déposée après ces fêtes traditionnelles dans la commune.
Cette année, les fêtes de Bayonne ont été le théâtre de violences inouïes. Un homme est mort après avoir été roué de coups et cinq plaintes pour viol ont été déposées.
Un homme de 46 ans est mort ce jeudi après avoir été roué de coups au premier soir des Fêtes de Bayonne, la semaine dernière. Dans la commune, les commerçants et les riverains sont sous le choc après ce drame.
Un homme de 46 ans agressé lors des Fêtes de Bayonne est décédé jeudi après neuf jours de coma artificiel, où un rassemblement contre les violences est annoncé à 18h sur la place de la mairie. L'enquête ouverte pour tentative de meurtre après la violente agression de ce Bayonnais, le 26 juillet par trois individus, a été requalifiée en meurtre.
Alors que la fronde des policiers commençait à se tarir, le préfet de police de paris, Laurent Nunez et le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, ont annoncé dans un courrier interne, que BFMTV a pu se procurer, qu'il se réservait le droit de rejeter les arrêts maladie considérés comme injustifiés.
De nombreux fonctionnaires de police ont récemment utilisé ce droit pour protester contre l'incarcération de leur collègue marseillais, placé en détention provisoire dans l'affaire Hedi.
Le maintien en détention du policier de la bac, soupçonné d'avoir blessé Hedi, ce jeune homme touché par un tir de LBD lors des émeutes après la mort de Nahel, ravive la colère des policiers. Mais cette fronde et le sentiment d'abandon de la part de l'exécutif ne sont pas nouveaux pour les policiers.
Un homme de 46 ans agressé lors des Fêtes de Bayonne est décédé jeudi après neuf jours de coma artificiel, où un rassemblement contre les violences est annoncé à 18h sur la place de la mairie. L'enquête ouverte pour tentative de meurtre après la violente agression de ce Bayonnais, le 26 juillet par trois individus, a été requalifiée en meurtre.
Un homme de 46 ans agressé lors des Fêtes de Bayonne est décédé jeudi après neuf jours de coma artificiel, où un rassemblement contre les violences est annoncé à 18h sur la place de la mairie. L'enquête ouverte pour tentative de meurtre après la violente agression de ce Bayonnais, le 26 juillet par trois individus, a été requalifiée en meurtre.
Un homme de 46 ans agressé lors des Fêtes de Bayonne est décédé jeudi après neuf jours de coma artificiel, où un rassemblement contre les violences est annoncé à 18h sur la place de la mairie. L'enquête ouverte pour tentative de meurtre après la violente agression de ce Bayonnais, le 26 juillet par trois individus, a été requalifiée en meurtre.
Le ministre de l'Intérieur demande à la police et à la gendarmerie de "mobiliser l'ensemble des moyens nécessaires au suivi des individus et groupes d'individus ciblés comme ayant été à l'origine des actions violentes lors des émeutes"
Le 26 juillet, au premier soir des Fêtes de Bayonne, trois jeunes hommes auraient roué de coups un quadragénaire qui leur aurait demandé d'arrêter d'uriner sur le pas de sa porte. Le quadragénaire est mort jeudi. Un appel à témoins accompagné d'un portrait-robot a été émis par la police.
Un homme de 46 ans est mort jeudi après avoir été roué de coups au premier soir des Fêtes de Bayonne, la semaine dernière. La victime avait été placée dans un coma artificiel en raison d'une hémorragie cérébrale après avoir reçu un violent coup sur la tête. Les agresseurs, qui ont pris la fuite, sont activement recherchés.
La police recherche activement trois hommes d'environ 25 ans et lancent un appel aux festivaliers présents qui auraient des photos ou vidéos.
Le quadragénaire avait été agressé après avoir fait une remarque à des hommes qui urinaient devant chez lui.
La justice a décidé ce jeudi de maintenir en détention provisoire le policier mis en examen dans l'affaire des violence sur Hedi. Les syndicats Alliance Police et UNSA Police estiment que ce maintien en détention est incompréhensible.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
![Affaire Hedi: "Cette mise en détention [du policier] est légitime", pour Antoine Léaument (LFI)](https://images.bfmtv.com/zCyIvn-yz3E8TdI5a1vTjMHIf_s=/0x0:1280x720/285x0/images/Affaire-Hedi-Cette-mise-en-detention-du-policier-est-legitime-pour-Antoine-Leaument-LFI-1684581.jpg)
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
L'avocat du jeune homme blessé à Marseille a appelé sur BFMTV "les gens qui ne comprennent pas cette décision à faire un effort d'intelligence et peut-être d'empathie".
Hedi et Jalil ne sont pas les seuls à dénoncer de graves blessures causées par des tirs d'armes intermédiaires. Sur la trentaine d'enquêtes confiées à l'IGPN portant sur des soupçons de violences commises par des policiers, au moins un tiers de ces enquêtes concernent des jeunes hommes qui ont perdu un œil ou ont été très grièvement mutilés.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
Il était recherché depuis deux ans par Interpol. Les autorités libanaises ont retrouvé ce membre de la mafia italienne, recherché pour trafic de drogue. Il est extradé vers Rome pour y être jugé.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
Le syndicat policier Alliance s'est dit "sous le choc" après l'annonce du maintien en détention d'un policier, mis en examen dans le cadres des violences subies par le jeune Hedi. Unsa et SGP-Police critiquent également la décision.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Aix-en-Provence a rejeté la demande de remise en liberté du policier placé en détention provisoire pour des soupçons de violences commises sur la personne d’Hedi - un jeune homme de 22 ans - en marge des émeutes à Marseille. Lors de son audience, le policier de la BAC a concédé avoir “fait usage de LBD à une reprise”.
