
Palestine à l'ONU : scènes de liesse à Ramallah
Les rues de la capitale de l'autorité palestinienne se sont embrasées, jeudi soir, à l'annonce de l'accession au statut d'Etat observateur à l'ONU de la Palestine.
Les rues de la capitale de l'autorité palestinienne se sont embrasées, jeudi soir, à l'annonce de l'accession au statut d'Etat observateur à l'ONU de la Palestine.
Mahmoud Abbas avait invité jeudi l'Assemblée générale de l'ONU à signer l"'acte de naissance" d'un Etat palestinien en lui octroyant le statut d'Etat observateur à l'ONU.
Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, bataille depuis des années pour la reconnaissance d'un Etat palestinien à part entière. Le nouveau statut probablement voté par l'Assemblée générale de l'ONU jeudi va dans ce sens.
Actuellement considérée comme "entité observatrice" à l'ONU, la Palestine tente d'obtenir le statut d'"État observateur non membre". Les Russes ont annoncé qu'ils voteraient pour, la France devrait faire de même, alors que les Etats-Unis comptent s'y opposer.
Huit ans après la mort du leader de l'OLP, les circonstances de son décès demandent encore à être élucidées. BFMTV.com fait le point sur cette enquête.
Le corps de l'ancien dirigeant palestinien a été exhumé ce mardi matin, sur la demande de sa veuve, afin de savoir si sa mort en 2004 est liée à un empoisonnement au polonium.
Au lendemain de tirs israéliens sur des habitants d'un village frontalier, les forces de sécurité du Hamas se sont déployées samedi le long de la frontière pour "éviter tout nouvel incident".
Les funérailles en plein air deviennent scène quotidienne à Gaza, alors que de nouveaux civils ont été tués dans la journée mercredi par des tirs israéliens, quelques heures avant la trêve.
L’espoir revient après l’annonce d’un cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas palestinien. Avant cette annonce, BFMTV s’est rendue ce mercredi à Gaza pour connaître le quotidien des réfugiés.
DIAPORAMA - Alors que les nations n'arrivent pas à obtenir un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël, un attentat à Tel Aviv est venu marquer un nouvelle étape dans la flambée de violences.
Des missiles de l'armée israélienne ont atteint le bâtiment de l'Agence France Presse à Gaza ainsi que l'hôtel où sont logés de nombreux journalistes occidentaux, dans la nuit de mardi à mercredi.
Alors que les bombardements n'ont pas cessé sur Gaza, le chef du mouvement palestinien Hamas, Khaled Mechaal, n'a pas écarté lundi une trêve avec Israël dans le conflit de Gaza, mais a insisté sur une levée du blocus de l'enclave.
REPORTAGE - A l'hôpital de Gaza, les médecins s'activent au milieu du chaos des blessés et des familles qui viennent voir leurs proches et trouver un peu de tranquillité.
L'escalade de la violence dans la bande de Gaza provoque condamnations et appels au calme dans le monde entier.
L'escalade continue dans le ciel de Gaza. Vendredi matin, l'armée israélienne a procédé à de nouveaux bombardements sur la ville-même.
Selon Jean-François Daguzan, spécialiste des rapports israélo-palestiniens, l'opération israélienne est la conséquence "d'une situation de destabilisation que le pays n’a pas connu depuis 1977".
Au deuxième jour d'une vaste opération militaire d'Israël à Gaza, violences et tensions entre Israël et Palestine se multiplient. Suivez ici l'évolution de la situation.
Ahmad Jaabari a été abattu sur une voiture à Gaza. Pour le Hamas, Israël a ouvert "les portes de l'enfer".
"Nous allons aux Nations unies en novembre 2012, pas en 2013 ni en 2014. Nous ne renoncerons pas" a déclaré Le président palestinien Mahmoud Abbas.
Six Palestiniens ont été tués et quatre soldats israéliens blessés dans une nouvelle flambée de violences samedi. Benjamin Netanyahu, le Premier ministre de l'Etat hébreu, menace.
Jeudi, une explosion a eu lieu dans un tunnel bourré d'explosifs à la frontière entre la bande de Gaza et l'Etat hébreu.