Côté face, un "homme affable", autodidacte doué et résolu. Côté pile, un pervers de caractère, adepte des pratiques sadomasochistes? Le procès qui s'ouvre à Copenhague tentera d'éclairer la personnalité du suspect dans la mort de la journaliste Kim Wall.
Un ex-espion russe au service de sa Majesté et une femme se trouve dans "un état critique" après avoir été mystérieusement empoisonné ce dimanche. Les deux individus ont été retrouvés inanimés sur un banc de Salisbury, dans le sud de l'Angleterre et sont toujours en soins intensifs dans un hôpital de la région. D'après la police, les deux victimes ont été exposées à une substance inconnue. La victime serait Sergueï Skripal, un ex-espion russe emprisonné en Russie puis libéré en 2010 dans le cadre d’un échange d’agent secret, d'après la BBC. Le Kremlin a d'emblée démenti toutes tentatives d’assassinat à l’encontre de son agent secret.
Un ancien espion russe qui travaillait pour les services d'espionnage anglais a été exposé à une substance toxique non identifiée. L'homme, arrêté en Russie, avait été libéré en 2010. Il se trouve actuellement dans un état critique.
Après les élections législatives de ce dimanche en Italie, deux camps ressortent vainqueurs: le mouvement 5 étoiles d'un côté, et la Ligue du Nord, l'extrême-droite de l'autre. Ils revendiquent le pouvoir, mais excluent de travailler ensemble. Dans le même temps, Matteo Renzi a démissionné de la tête du Parti démocrate. C'est désormais au président de la République italienne Sergio Mattarella de trancher.
Le leader du Parti démocrate italien a reconnu "une défaite claire et évidente" lors des élections législatives de dimanche.
10 ans après sa création, ce mouvement de protestation est devenu un parti politique populiste opaque prônant démocratie numérique et rejet de la vieille classe politique. Il est arrivé en tête des élections générales avec 32% des voix.
La coalition de droite rassemblant Forza Italia (FI, centre droit) de Silvio Berlusconi et la Ligue (extrême droite) de Matteo Salvini a recueilli environ 37% des voix. Mais le Mouvement 5 étoiles est le parti arrivé en tête, avec 32% des voix à lui seul. Ces élections n’ont toutefois pas permis de dégager une majorité claire, avec plus de 40% des suffrages. L’heure est désormais aux coalitions. Si aucun accord n’est trouvé d’ici le 23 mars, c’est le président italien Sergio Mattarella qui tranchera.
La Ligue et le Mouvement cinq étoiles sont les deux vainqueurs des élections législatives italiennes de dimanche, sans pour autant qu'une majorité se dégage de ce scrutin.
Selon des résultats encore partiels, le Mouvement 5 étoiles serait le parti en tête des élections législatives qui ont eu lieu ce dimanche en Italie. Toutefois, le mouvement est dépassé par une coalition de droite, par Forza Italia de Silvio Berlusconi, la Ligue et le petit parti Fratelli d'Italia (Frères d'Italie), qui obtient certes quelque 37% des voix.
Une percée historique des forces antisystème, eurosceptiques et d'extrême droite, majoritaires en voix et en sièges après les législatives dimanche en Italie, bouleversent la donne et plongent le pays dans l'incertitude politique.
En Allemagne, les sociaux-démocrates ont approuvé l’alliance avec les conservateurs d'Angela Merkel. La chancelière a promis dimanche d'oeuvrer "pour le bien du pays" à une nouvelle coalition gouvernementale, plus de cinq mois après des législatives dont elle est ressortie très fragilisée. Angela Merkel, qui dirige le pays depuis 12 ans, devrait être intronisée au Bundestag le 13 ou 14 mars.
Le vote de Silvio Berlusconi aux élections législatives en Italie a été perturbé ce dimanche par une militante Femen. Le candidat a eu la surprise de voir la femme se dresser sur la table de son bureau électoral. "Berlusconi, tu es périmé", proclamait le message sur son torse nu. Les Italiens devraient voir une poussée des populistes et de la droite de Silvio Berlusconi. Plus de 46 millions d'électeurs sont invités à voter jusqu'à 23 heures.
Le vote d'"il Cavaliere", ce dimanche, pour les élections législatives italiennes, a été légèrement perturbé par une militante aux seins nus.
Ce vote crucial met fin à cinq mois d'imbroglio politique en Allemagne, et permet à Angela Merkel de débuter son quatrième mandat en tant que chancelière.
Les Italiens votaient dimanche pour des législatives à l'issue des plus incertaines, entre montée des droites et des populistes, dans un contexte de tensions autour de l'immigration et de rancœurs à l'encontre du monde politique.
Les militants du parti social-démocrate ont voté sur l'hypothèse d'une grande coalition. Le résultat peut mettre fin à cinq mois d'immobilisme, ou précipiter Angela Merkel dans une crise politique sans précédent.
Dans la capitale et dans plusieurs villes du pays, des milliers de personnes se sont rassemblées vendredi pour la liberté de la presse et contre la corruption.
Une première plainte a été déposée après l'entrée en vigueur jeudi d'une loi punissant ceux qui attribueraient "la responsabilité ou la co-responsabilité de la nation ou de l'Etat polonais pour les crimes commis par le Troisième Reich allemand".
Le système électoral italien associe scrutins proportionnel et majoritaire et favorise les coalitions. Un parti seul a peu de chance de gouverner car il devrait pour cela atteindre les 40 ou 45% lors des législatives de ce dimanche, dont l'issue est bien incertaine.
L'attaque informatique vise une partie du gouvernement allemand, selon un député. Elle est toujours en cours jeudi.
Un défilé à la mémoire de Ján Kuciak a eu lieu ce mercredi dans les rues de Bratislava (Slovaquie). Un millier de personnes s’est rassemblé en silence en face du siège du gouvernement en hommage au journaliste d’investigation, assassiné ce week-end avec sa fiancée Martina Kusnirova. Ján Kuciak travaillait pour le site d’investigation Aktuality.sk. Il s'était spécialisé dans les affaires de corruption et de fraude fiscale. Sa dernière enquête portait sur les liens supposés entre des hommes d’affaires italiens liés à 'Ndrangheta, la mafia calabraise, et des politiques slovaques, notamment le Premier ministre Robert Fico. Trois proches collaborateurs de Robert Fico ont démissionné après ce meurtre. C’est la cinquième fois en dix ans qu’un journaliste est assassiné dans l’Union européenne.
