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Tunisie: les rescapés français du Bardo dénoncent un manque de reconnaissance

Tunisie: les rescapés français du Bardo dénoncent un manque de reconnaissance

Il y a un an jour pour jour, quatre Français ont été tués dans l'attaque terroriste au musée du Bardo en Tunisie. Aujourd'hui, les proches des victimes et les rescapés de l'attentat se disent oubliés et mal considérés des autorités françaises et tunisiennes. Ils se plaignent de ne pas avoir été conviés à la commémoration en Tunisie malgré plusieurs demandes auprès du quai d'Orsay. Ils dénoncent également des indemnités bien trop basses par rapport à celles perçues par les familles de victimes du Bataclan ou de l'Hyper Cacher. Les rescapés du Bardo se réunissent ce vendredi place de la République à Paris pour déposer une gerbe de fleur en mémoire des personnes décédées.

Tunisie: "J'ai vu la fusillade entre les djihadistes et les militaires", raconte un habitant de Ben Guerdane

Tunisie: "J'ai vu la fusillade entre les djihadistes et les militaires", raconte un habitant de Ben Guerdane

Particulièrement touchée par le terrorisme, la Tunisie a dû faire face la semaine dernière à une série d’attaques sans précédent. A Ben Guerdane, près de la Libye, une centaine de jihadistes, venue de l'autre côté de la frontière a pris d’assaut la ville pour s’en emparer. Les combats ont fait plus de 60 morts et se sont étalés sur plusieurs jours. Dans la ville, les habitants étaient encore sous le choc. "J'ai vu la fusillade entre les djihadistes et les militaires", a raconté Khaled.

Y aurait-il une cellule terroriste active à Forest?

Y aurait-il une cellule terroriste active à Forest?

Selon les informations communiquées par la justice, l'homme abattu mardi après-midi à Forest pourrait faire partie de la cellule terroriste responsable des attaques du 13 novembre à Paris. Cela pourrait être aussi le cas pour les deux hommes qui étaient avec lui dans l'appartement et qui ont réussi à prendre la fuite. Les enquêteurs sont notamment intrigués par le Belgo-marocain de 27 ans qui louait l'appartement, et qui louait déjà celui de Charleroi, dans lequel ont été retrouvées des empreintes d'Abdelhamid Abaaoud en janvier. En tout, 20 à 25 personnes sont dans le viseur des inspecteurs.