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Foot: le match Allemagne-Pays-Bas annulé à cause d'un colis suspect

Foot: le match Allemagne-Pays-Bas annulé à cause d'un colis suspect

Le match entre l'Allemagne et les Pays-Bas, qui devait se tenir à Hanovre, a été annulé ce mardi pour des raisons de sécurité. Les supporters, dont certains avaient déjà pris place dans les gradins, ont été évacués. La police avait découvert un colis suspect à l'extérieur du stade. "Ça tourne un peu à la psychose du côté de Hanovre. Plusieurs rumeurs circulent. Une, notamment, dit que des explosifs auraient été trouvés dans des ambulances, mais rien pour le moment ne vient confirmer cette information", a expliqué Adrien Godet, correspondant de BFTMV en Allemagne.

Angleterre-France à Wembley: "Tous les supporters anglais sont derrière la France"

Angleterre-France à Wembley: "Tous les supporters anglais sont derrière la France"

Le match de football amical Angleterre-France, ce mardi soir au stade de Wembley, est une façon pour les supporters et les joueurs de résister au terrorisme et de ne pas céder à la peur. Le stade a revêtu les couleurs de la France, affichant sa devise au-dessus de ses portes. "Tous les supporters anglais sont derrière la France. J'ai même croisé des militaires qui m'ont dit 'ce soir on vous pardonne même Napoléon'". Tout le monde est derrière la France pour ne pas céder à la terreur", a rapporté l'envoyé spécial de BFMTV à Londres, Mohamed Bouhafsi.

Attentats: "Ça fait 30 ans qu'on court après l'Europe de la défense"

Attentats: "Ça fait 30 ans qu'on court après l'Europe de la défense"

Vincent Desportes, ancien directeur de l'école de guerre, était mardi sur le plateau de BFMTV pour commenter la riposte française contre Daesh. Pour lui, la réponse ne peut être uniquement nationale. "Ça fait 30 ans qu'on court après l'Europe de la défense (…) C'est peut-être le dernier signal d'alarme pour que l'Europe comprenne enfin que les égoïsmes nationaux sont une menace contre la sécurité des personnes", a affirmé le général.

Nouvelles frappes françaises sur Raqqa

Nouvelles frappes françaises sur Raqqa

Pour la deuxième nuit consécutive, la France a frappé la ville de Raqqa en Syrie. Dix avions de chasse, six Mirages et quatre Rafales ont largué 16 bombes sur le fief de l'État islamique en Syrie. Comme lors des premières frappes, c'est un camp d'entraînement et un centre de commandement qui ont été visés, a indiqué le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Ces bombardements interviennent alors que François Hollande a annoncé lundi la volonté de la France d’intensifier son action en Syrie. Dans quelques jours, le fleuron de la marine française, le porte-avions Charles-de-Gaulle, croisera au large du Liban. Il permettra de tripler la capacité d'intervention française dans la région.

Attentat de Paris: la Belgique base arrière des terroristes?

Attentat de Paris: la Belgique base arrière des terroristes?

Depuis samedi, sept personnes ont été interpellées en Belgique dans l'enquête sur les attentats de Paris. Au moins cinq ont eu lieu dans la commune de Molenbeek, une ville proche de Bruxelles. Mehdi Nemmouche, le principal suspect de l'attentat du musée juif de Bruxelles en mai 2014, a vécu dans ce quartier tout comme la sœur de l'auteur de l'attaque du Thalys Amsterdam-Paris en août. Proportionnellement à sa population, la Belgique serait le pays le plus touché par l'islamisme radical. Près de 500 Belges radicalisés ont été repérés par les autorités et la moitié seraient actuellement en Syrie.

La France frappe Daesh à Raqqa en Syrie

La France frappe Daesh à Raqqa en Syrie

Au surlendemain des attentats qui ont frappé Paris, dix chasseurs-bombardiers français ont largué 20 bombes dimanche soir sur le fief de l'organisation Etat islamique (EI) à Raqa, dans le nord de la Syrie, détruisant un poste de commandement et un camp d'entraînement. L'éditorialiste politique étrangère de BFMTV, Ulysse Gosset, explique que deux objectifs ont été visés. Patrick Dutartre, ancien général de l'armée de l'air et ancien pilote de chasse, détaille le déroulement de ce type d'opération. "Il faut que tous les acteurs de la coalition se mettent d'accord sur une stratégie globale qui n'est pas uniquement militaire", analyse-t-il.