
Shell va supprimer 6.500 postes
La compagnie anglo-néerlandaise, qui souffre comme ses rivales du bas niveau des cours du brut, prévoit de supprimer 6.500 emplois après une chute de son bénéfice.
La compagnie anglo-néerlandaise, qui souffre comme ses rivales du bas niveau des cours du brut, prévoit de supprimer 6.500 emplois après une chute de son bénéfice.
EDF signe avec Areva un protocole d'accord pour détenir in fine 51% à 75% de la division réacteurs d'Areva, Areva NP. Une cession qui valorise l'ensemble de la division à 2,7 milliards d'euros. L'ex-Holcim Bernard Fontana va prendre la tête d'Areva NP.
Les groupes d'armement français et allemand ont scellé leur alliance ce 29 juillet. Le modèle de cette nouvelle entité? Airbus. Mais les deux alliés auront du mal à faire aussi bien que le géant européen de l'aéronautique.
Le chimiste belge acquiert l'américain Cytec pour environ 4,9 milliards d'euros. Son ambition: mieux profiter de la croissance du marché aéronautique.
Un compromis a été trouvé mardi soir entre Areva et EDF. Selon Le Figaro, il permet d'envisager la signature d'un accord dans les temps.
L'inde devrait non seulement signer le contrat pour 36 exemplaires de l'avion de combat de Dassault mais elle pourrait y ajouter une option supplémentaire. Par ailleurs, deux autres pays devraient passer commande début 2016.
Le groupe minier veut réaliser une réduction de coûts de 500 millions d'euros. Pour cela, il compte bien supprimer des postes.
EDF va racheter les activités de réacteurs nucléaires d'Areva. Les modalités seront connues le 31 juillet.
Dassault Aviation a remis ce lundi à l'armée égyptienne trois des vingt-quatre chasseurs commandés par Le Caire. L'avionneur a pu honorer cette commande sans pour autant augmenter les cadences de production, mais elles le seront dès 2018 pour honorer les prochains contrats.
Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, estime qu'entre 22 et 25.000 exploitations pourraient faire faillite.
Avec la levée des sanctions progressives qui se profile, l'horizon s'éclaircit pour des entreprises comme Renault ou Engie. Ces dernières comptent ainsi prendre pied sur un marché iranien où la concurrence s'annonce toutefois rude.