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Premier ministre: Lucie Castets tacle Emmanuel Macron, Nicolas Sarkozy lance un appel à son camp

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Le président de la République est en visite en Serbie ce vendredi 30 août, alors que la France est toujours sans Premier ministre depuis les élections législatives. Vainqueur du scrutin, le Nouveau Front populaire organise un meeting commun avec Lucie Castets à Blois, lors du campus d'été du Parti socialiste.

L'ESSENTIEL

  • Plus de 50 jours après les résultats des élections législatives, Emmanuel Macron cherche toujours un Premier ministre et "la meilleure solution pour le pays". Lire l'article
  • Dans une interview au Figaro, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy a appelé les Républicains a oeuvrer "pour faire nommer un Premier ministre de droite". Lire l'article
  • La coalition de gauche organise ce vendredi 30 août un meeting à Blois, à l'occasion de l'université d'été du Parti socialiste. Lire la brève
  • Mais le PS semble divisé entre une aile portée par Olivier Faure pro-NFP et une aile droite qui, à l'image d'Hélène Geoffroy, appelle à négocier avec Emmanuel Macron. Lire l'article
  • Dans le même temps, la cheffe des députés insoumis à l'Assemblée Mathilde Panot a assuré "pouvoir réussir" à destituer le chef de l'État. Lire la brève

Nicolas Sarkozy veut un "Premier ministre de droite", la gauche s'indigne et s'impatiente

Alors que l'Élysée promet d'"aller vite" pour choisir enfin un Premier ministre après 45 jours de crise politique, l'hypothèse Cazeneuve continue d'agiter la gauche, à l'image du Parti socialiste, plus que jamais traversé par des divergences de stratégies.

De son côté, l'ancien président Nicolas Sarkozy a défendu l'idée selon laquelle "la France est de droite", c'est pourquoi le futur Premier ministre devrait être issu de cette famille politique.

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Karim Bouamrane assure ne pas être "candidat au poste de Premier ministre" mais il se "tournerait vers la direction" du PS si Emmanuel Macron le lui demandait

Invité sur BFMTV ce soir, Karim Bouamrane, maire PS de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) s'est à nouveau exprimé sur l'absence de gouvernement en France. Souvent cité comme premier-ministrable, l'élu socialiste a réagi:

"Ma question personnelle est vraiment secondaire. Je ne suis pas candidat au poste de Premier ministre et même si ça avait été le cas on n'envoie pas un C.V. au président de la République."

Il a ajouté: "Si le président de la République décidait de me proposer comme Premier ministre, tout de suite je me tournerais vers la direction du Parti socialiste. Il y aurait un débat pour faire en sorte que cette candidature soit portée par le Nouveau Front populaire au regard des enjeux."

Pourtant, contrairement à une partie de la coalition de gauche, Karim Bouamrane s'est dit favorable à des rapprochements avec différents partis politiques du "bloc républicain" pour arriver à un "compromis".

Ségolène Royal plaide pour un Premier ministre de gauche et un "gouvernement d'union républicaine"

Parce que la gauche est arrivée en tête des élections législatives, Ségolène Royal estime sur BFMTV qu'"il est normal qu'à Matignon ce soit quelqu'un de gauche".

Elle plaide cependant pour la formation d'un "gouvernement d'union républicaine". Qui intégrerait des personnalités du centre ou issues des Républicains? "Bien sûr", répond-elle. "C'est ça que les Français attendent."

Première ministre, Ségolène Royal n'abrogerait pas la réforme des retraites mais elle reviendrait sur "ce qui n'est pas acceptable"

Invitée sur BFMTV, l'ex-candidate à la présidentielle, qui a dit être "disponible pour Matignon" hier, affirme qu'elle n'abrogerait pas la réforme des retraites si elle venait à être nommée Première ministre. Elle ne la maintiendrait pas non plus telle quelle, préférant la modifier partiellement

"Dans un travail de consensus, il faut être au milieu de ça", juge-t-elle.

"Il faut dire qu'on va regarder cette réforme ligne à ligne, ce qu'il est légitime de conserver et on va regarder ce qui n'est pas acceptable, ce qui est brutal, ce qui a créé des injustices supplémentaires."

Plus largement, elle estime qu'il faut pour le poste de Premier ministre "des personnalités consensuelles, qui soient capables de parler à tout le monde" et qui ne sont "pas candidates à l'élection présidentielle".

Plus d'informations ici.

Lucie Castets estime qu'Emmanuel Macron "veut tout simplement être le Parlement"

En meeting à Blois où se tiennent les universités d'été du Parti socialiste, Lucie Castets, la candidate soutenue par le Nouveau Front populaire pour Matignon, affirme devant les militants du PS que le président de la République "refuse le rôle (...) d'arbitre au-dessus des partis".

"Il avait déjà choisi le rôle de Premier ministre, même de ministre, mais là, il veut tout simplement être le Parlement", estime-t-elle.

En cas d'arrivée à Matignon, le Nouveau Front populaire ferait "des compromis texte par texte", assure Lucie Castets, mais "le président de la République n'a pas voulu (l')entendre".

Emmanuel Macron "veut bien accepter que la gauche accède aux responsabilités, mais à une condition, qu'elle cesse d'être la gauche", déplore-t-elle également.

Après l'entretien de Nicolas Sarkozy au Figaro, Jean-Luc Mélenchon estime que "la gravité du moment exige plus de sang-froid"

Le leader des insoumis n'a pas tardé à réagir à l'entretien accordé par Nicolas Sarkozy au Figaro, interview dans laquelle ce dernier affirme notamment qu'il "est faux de dire que Marine Le Pen est plus dangereuse que Jean-Luc Mélenchon".

Sur son compte X, Jean-Luc Mélenchon juge que l'ancien président de la République "vaut mieux que l'interview au Figaro où il affirme en même temps que le NFP est d'extrême gauche et ne veut pas gouverner tout en ajoutant: La France insoumise fait en ce moment un coup d'État…"

"La politique de l'outrance permanente des médias doit-elle devenir aussi la règle de toute expression politique? La gravité du moment exige plus de sang-froid", ajoute Jean-Luc Melenchon.

"La France est de droite": pour Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron "a raison" de ne pas vouloir nommer un représentant du NFP Premier ministre

Dans une interview accordée au Figaro, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy estime qu'Emmanuel Macron "a raison" de ne pas vouloir nommer un représentant du Nouveau Front populaire à Matignon. "La France est de droite, sans doute comme elle ne l'a jamais été", juge-t-il.

Il appelle ainsi les Républicains à oeuvrer pour "faire nommer un Premier ministre de droite".

Ce Premier ministre pourrait-il être de Xavier Bertrand, le président de la région Hauts-de-France? "Si Xavier Bertrand souhaite prendre sa part au redressement de la France et éviter la crise, c'est un bon choix", estime Nicolas Sarkozy.

Quant à Bernard Cazeneuve, dont le nom circule depuis quelques jours, il est aux yeux de l'ex-chef de l'Etat "un homme de qualité" mais "qui porte (...) la tunique d'un hollandisme finissant". "Ce n'est pas la solution qui m'apparaît le plus en adéquation avec le centre de gravité de la politique française, qui est à droite", insiste-t-il.

Godrèche appelle le NFP à recréer la commission d’enquête sur les violences sexuelles dans le cinéma

Judith Godrèche, figure du #Metoo français, interpelle l'alliance des gauches et lui demande de ressusciter la commission d'enquête consacrée aux violences sexistes et sexuelles dans le cinéma, dissoute en même temps que l'Assemblée nationale.

"Qui peut s’engager, réellement, prendre son courage à deux mains et me dire que oui, il sera nécessaire de la reprendre cette commission d’enquête, qu’il faudra qu’elle reprenne ses travaux, pour les femmes et les enfants, pour toutes celles et tous ceux qui sont écrasés?", interroge l'actrice, qui dit toutefois faire "confiance" à la candidate du NFP à Matignon Lucie Castets.

Olivier Faure assure qu'il n'y a "pas de clivage" au PS

Le patron du PS OIivier Faure a nié tout "clivage" au sein du Parti socialiste "entre ceux qui seraient favorables au compromis et ceux qui ne le seraient pas", lors d'une conférence de presse au deuxième jour des journées d'été des socialistes à Blois.

"Il y a pas ici de clivage entre ceux qui seraient favorables au compromis et ceux qui le seraient pas", a déclaré, "en colère", Olivier Faure, alors que ses opposants critiquent sa stratégie vis-à-vis d'Emmanuel Macron qui cherche toujours le futur Premier ministre.

"Il n'y a pas d'autres possibilités que le compromis, chacun le sait. Aucune majorité relative ne peut s'imposer d'autant qu'on ne veut pas utiliser le 49.3", l'article de la Constitution permettant d'adopter un projet de loi sans vote, a-t-il souligné.

"Une espèce de hachette pour faire des coupes": pour Ruffin, un gouvernement technique "n'existe pas"

Le député de la Somme François Ruffin a accordé une interview ce matin à France Bleu, dans laquelle il considère que "la censure peut s'exercer à l'égard du gouvernement de Lucie Castets, mais c'est à l'Assemblée de censurer".

"Les cartes sont entre ses mains," a estimé l'élu à propos d'Emmanuel Macron. "C'est quand même l'homme qui jette, nous dit-il, une grenade dans les pattes des partis, avec la dissolution, qui vient nous parler aujourd'hui de stabilité".

"Ça n'existe pas un gouvernement technique (...) C'est-à-dire juste avoir une espèce de hachette pour faire des coupes, des coupes, des coupes partout, c'est-à-dire poursuivre la politique qui est menée depuis 40 ans et qui d'une part ne marche pas pour le pays, d'autre part fait monter, flamber le Rassemblement national", a-t-il par ailleurs fustigé.

L'ex-ministre socialiste Stéphane Le Foll salue "les qualités" de Bernard Cazeneuve

Stéphane Le Foll, maire du Mans et ex-ministre socialiste, a prôné ce matin sur BFMTV "une autre méthode pour gouverner la France". Celui qui a été ministre de François Hollande se dit "assez désillusionné par cette confusion générale".

Concernant Bernard Cazeneuve, dont le nom circule pour Matignon, celui qui a fait partie de son gouvernement exprime "son profond respect" et salue "ses qualités".

Mathilde Panot assure que LFI votera une motion de censure contre un gouvernement Cazeneuve

Les députés insoumis voteraient une motion de censure contre un gouvernement qui serait dirigé par l'ex-socialiste Bernard Cazeneuve, et plus largement "tout gouvernement qui ne serait pas dirigé par Lucie Castets", a averti leur cheffe de file, Mathilde Panot.

"Bien sûr que nous voterions une censure contre M. Cazeneuve. (...) Nous ferons des motions de censure contre tout gouvernement qui ne serait pas dirigé par Lucie Castets", la candidate "que nous avons choisie ensemble avec le Nouveau Front populaire" (NFP), a-t-elle martelé sur franceinfo.

Maud Bregeon déplore le manque de compromis entre les partis et cible Olivier Faure et Laurent Wauquiez

"Le Premier ministre devra arriver à composer avec une Assemblée nationale extrêmement plurielle. On va tous devoir mettre de l'eau dans notre vin", a déclaré ce matin sur Cnews et Europe 1 Maud Bregeon, députée Renaissance des Hauts-de-Seine.

"Nous avons perdu les élections, mais force est de constater que personne n'a la majorité", a-t-elle martelé, fustigeant un manque de compromis des formations politiques.

"Quand j'entends Olivier Faure qui dit: 'je ne veux pas d'un Premier ministre socialiste' et de l'autre Laurent Wauquiez dire: 'je ne veux pas d'un Premier ministre issu des Républicains', ça en dit long sur l'intérêt général", a-t-elle pointé.

Le RN réaffirme une "censure automatique et immédiate" d'un gouvernement "avec dedans un vert, un LFI ou assimilé"

Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national, a réaffirmé sur LCI qu'"un gouvernement avec dedans un vert, un LFI ou assimilé, c'est censure automatique et immédiate".

Pour d'autres gouvernements, ce "sera censure si jamais le programme, le budget ne nous paraissent pas aller dans le bon sens". Le Rassemblement national n'est "satisfait" par aucun nom évoqué pour Matignon, a-t-il ajouté.

Mathilde Panot assure "pouvoir réussir" à destituer Emmanuel Macron

Mathilde Panot, députée et présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, a confirmé ce matin sur franceinfo la volonté de son groupe d'engager une "procédure de destitution du président de la République", et a assuré "pouvoir" y parvenir.

"Quand nous sommes dans une démocratie, c'est le vote qui permet de trancher quel chemin politique choisit le pays", a-t-elle souligné, fustigeant la décision du chef de l'État d'écarter le NFP de Matignon.

"Sur la question de la non-reconnaissance du résultat des élections, oui, je crois que nous avons un problème similaire à celui de Donald Trump", a-t-elle dénoncé.

"Lucie Castets est la candidate NFP": Marine Tondelier écarte les hypothèses Cazeneuve et Royal à Matignon

Invitée de France 2 ce matin, la secrétaire nationale du parti écologiste Marine Tondelier, a écarté les hypothèses Bernard Cazeneuve ou Ségolène Royal à Matignon.

Concernant l'ancien Premier ministre, "il représente une petite partie d'un parti du Nouveau Front populaire dont en plus il est parti. Ça commence à faire beaucoup", a commenté la cheffe des Verts, pointant qu'il n'avait pas "soutenu" l'alliance de gauche.

Quant à Ségolène Royal qui s'est porté candidate, Marine Tondelier n'en pense "rien". "Je pense que c'est pour ça qu'il faut qu'on en finisse", a-t-elle souligné.

"Lucie Castets est la candidate Nouveau Front populaire, elle incarne toute cette alliance", a-t-elle martelé, appelant les socialistes, en proie à des dissensions internes, a être "unis". "À chaque fois qu'ils se divisent, ils fragilisent le NFP. Nous avons besoin de tous les socialistes."

"Un Gaulois réfractaire": Marine Tondelier fustige "la stratégie de pourrissement" d'Emmanuel Macron

"Emmanuel Macron n'est plus un politique, c'est un maître-composteur qui est sur la stratégie du pourrissement", a fustigé ce matin sur France 2 la secrétaire nationale des Écologistes-EELV Marine Tondelier.

"Il fait de l'obstruction, c'est un Gaulois réfractaire", a-t-elle dénoncé, reprenant l'expression du chef de l'État à son compte.

"Si un président d'extrême droite faisait la même chose que lui, tout le monde serait écoeuré et hurlerait au scandale", a encore pointé l'écologiste.

Le maire PS de Saint-Ouen Karim Bouamrane a eu "des contacts" avec les équipes d'Emmanuel Macron

Le maire socialiste de Saint-Ouen Karim Bouamrane, dont le nom a circulé pour Matignon, a assuré ce matin sur TF1 n'être "candidat à rien du tout".

Pour autant, il a expliqué avoir eu "des contacts avec les personnes qui travaillent autour du président de la République pour savoir quelles étaient mes idées".

"Si mon téléphone sonne, je réponds. Si le président me propose d'être Premier ministre, je prendrai l'information et je me retournerai vers ma formation politique", a-t-il ajouté, assurant vouloir trouver "des chemins de compromis".

À la question "est-ce que vous, vous êtes en capacité de pouvoir épouser ce type de fonction, la réponse est oui", a-t-il ajouté, tout en assurant qu'il n'attend pas un coup de téléphone de l'Élysée le matin en se rasant.

Ministres démissionnaires: Mathilde Panot saisit le Conseil constitutionnel pour "violation de la séparation des pouvoirs"

La présidente du groupe La France insoumise (LFI) à l'Assemblée nationale Mathilde Panot a annoncé hier saisir le Conseil constitutionnel au nom de la "violation de la séparation des pouvoirs", car des ministres démissionnaires exercent en même temps la fonction de député, a-t-elle annoncé sur X.

17 ministres du gouvernement démissionnaire, dont le Premier ministre Gabriel Attal, ont été élus députés lors des élections législatives du 30 juin et 7 juillet 2024, cumulant les deux fonctions. Une situation qualifiée de "particulièrement inquiétante" par Mathilde Panot, qui a demandé au Conseil constitutionnel de "clarifier ces statuts".

Plus d'informations ici.

Jean-Luc Mélenchon estime que la nomination de Bernard Cazeneuve à Matignon "affaiblirait mécaniquement" le NFP

Dans un texte intitulé "Le soumettre ou le démettre" publié hier sur son blog, Jean-Luc Mélenchon estime que la nomination de l'ancien chef du gouvernement, Bernard Cazeneuve, comme Premier ministre ferait non seulement "des dégâts dans les rangs parlementaires du PS" mais qu'elle "affaiblirait (...) mécaniquement" le Nouveau Front populaire (NFP).

"Pour autant, si cela se faisait, rien ne serait stabilisé en général d'aucune façon", avance le leader des insoumis, prédisant que "la crise ne fait que commencer".

À noter: le nom de l'ancien Premier ministre de François Hollande n'est à ce stade qu'une rumeur, l'Élysée n'a pas encore précisé ses intentions sur la nomination d'un prochain chef du gouvernement.

SMIC, retraite, proportionnelle… Les "priorités" de Carole Delga "pour un gouvernement de gauche"

Carole Delga, présidente socialiste de la région Occitanie, s'est entretenue avec Emmanuel Macron hier matin, en tandem avec Renaud Muselier, président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, dans le cadre des consultations pour nommer un Nouveau Premier ministre.

Dans la soirée, la socialiste s'est exprimée sur X pour indiquer "cinq priorités pour un gouvernement de gauche".

Elle prône notamment la revalorisation des salaires, abroger la réforme des retraites pour "revenir à la retraite à 62 ans", ainsi qu'"engager un plan de réindustrialisation de notre pays". Elle propose également de "mettre en place la proportionnelle". Et à l'international, "réaffirmer" le soutien français à l'Ukraine et œuvrer pour la "solution à deux États pour Israël et la Palestine".

Ségolène Royal se dit "disponible" pour le poste de Première ministre

L'ancienne ministre et candidate socialiste à la présidentielle s'est exprimée sur LCI ce jeudi sur l'incertitude politique en France. Concernant un potentiel appel du président pour Matignon, Ségolène Royal a alors répondu: "Soit le président de la République a déjà fait son choix donc je ne veux pas être ridicule en vous répondant, soit il n'a pas fait son choix (...) et oui je suis disponible."

Elle a poursuivi: "Je suis disponible pour essayer de constituer un gouvernement d'union républicaine sur trois priorités. D'abord l'ordre juste dans le domaine économique, social, écologique et sécuritaire. Ensuite la priorité, c'est l'avenir des jeunes (...) Et enfin le rétablissement des comptes publics."

Emmanuel Macron poursuit sa visite en Serbie ce vendredi

En visite en Serbie pour concrétiser plusieurs accords économiques avec ce pays des Balkans qui conserve des liens amicaux avec la Russie, Emmanuel Macron sera ce vendredi à Novi Sad, pour une étape culturelle, avec la visite de la galerie Matica Srpska, et un échange sur l'intelligence artificielle.

Lucie Castets participe au campus d'été du Parti socialiste, un meeting du NFP prévu ce vendredi

Après s'être rendue le week-end dernier aux universités d'été de La France insoumise, du Parti communiste Français et des Écologistes, Lucie Castets sera ce vendredi après-midi à Blois, pour le campus d'été du PS.

À cette occasion, un meeting du Nouveau Front populaire sera organisé à 18 heures, selon les informations communiquées par le Parti socialiste. Y prendront la parole Léon Deffontaines (PCF), Olivier Faure (PS), Marine Tondelier (LE), Eric Coquerel (LFI) et Lucie Castets, candidate de l'union de la gauche à Matignon.

Emmanuel Macron n'a toujours pas nommé de Premier ministre, plus de 50 jours après les élections législatives

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil. Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l'actualité politique de ce vendredi 30 août. Plus de 50 jours après le second tour des élections législatives, Emmanuel Macron n'a toujours pas nommé de nouveau Premier ministre.

Depuis Belgrade où il est en visite, Emmanuel Macron a assuré ce jeudi faire "tous les efforts" dans sa recherche d'un nouveau Premier ministre pour "aboutir à la meilleure solution pour le pays", sans se prononcer sur le délai de cette nomination.

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