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Politique

Florence Cassez a déjeuné avec Nicolas Sarkozy

Florence Cassez a passé le dimanche en famille pour se reposer, avant de déjeuner ce lundi avec Nicolas Sarkozy et son épouse Carla.

Florence Cassez a passé le dimanche en famille pour se reposer, avant de déjeuner ce lundi avec Nicolas Sarkozy et son épouse Carla. - -

Après avoir été reçue vendredi par François Hollande, Florence Cassez a déjeuné ce lundi avec Nicolas Sarkozy et sa femme Carla, à Paris. « Je l'ai remercié pour tout ce qu'il a fait pour moi », a déclaré l'ex-détenue.

Elle a dit de lui qu’il lui avait « sauvé la vie ». Quelques jours après son retour en France, jeudi, Florence Cassez, a été reçue à déjeuner ce lundi, à Paris, par l'ancien président Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni-Sarkozy. Florence Cassez était accompagnée de sa mère et de son avocat, Me Frank Berton, pour ce rendez-vous dans les bureaux de l'ancien chef de l'Etat, rue de Miromesnil (VIIIe arrondissement). « On s'est embrassé, je l'ai remercié pour tout son soutien, tout ce qu'il a fait pour moi. Ça a été un grand moment, ça a été très convivial, très chaleureux », a déclaré à sa sortie la jeune femme, restée emprisonnée 7 ans au Mexique pour des enlèvements qu'elle a toujours niés.

« J'attendais ce moment avec tant d'impatience »

« J'attendais ce moment avec tant d'impatience depuis tellement d'années », a aussi dit celle qui avait reconnu dès sa libération le rôle déterminant joué par Nicolas Sarkozy. « Quand il a pris position pour mon dossier, ça a été un moment vital, il m'a sauvé la vie », avait-elle lancé jeudi lors de sa première conférence de presse à l'aéroport de Roissy.
Après une tournée marathon des plateaux télé et radio, et un rendez-vous à l'Elysée vendredi avec François Hollande, la Nordiste avait regagné sa région ce week-end et passé le dimanche dans la maison familiale du littoral dunkerquois, à Malo-les-Bains, où ses parents se sont installés après son arrestation. Samedi, elle avait annulé un passage télé à Paris afin de se reposer. « Cette pression médiatique parisienne m'avait claquée, je ne pouvais plus », a-t-elle confié à un journaliste de l'AFP.

P.G avec AFP