CAFÉ POLITIQUE. La crise conjugale de Nicolas Sarkozy

Henri Guaino a justifié les débuts difficile de Nicolas Sarkozy à la tête du gouvernement. - -
La crise conjugale de Sarkozy
"Il traversait une phase très compliquée sur le plan conjugal… Ça, c’était très difficile", a expliquél'ancien conseiller spécial de l'Elysée Henri Guaino, pour justifier les débuts difficiles de Nicolas Sarkozy à la tête de l'Etat, "très différents" de ceux de François Hollande. "D’abord il n’y a pas eu un tel effondrement dans l’opinion. Deuxièmement, c’était une période très difficile pour lui mais pour des raisons personnelles", a dit Henri Guaino, évoquant sur i>Télé la séparation entre Nicolas Sarkozy et sa compagne de l'époque Cécilia.
Claude Guéant n'ira pas
Il ne manquera que lui dans le grand duel populiste. Évoqué comme possible candidat à Hénin-Beaumont face à Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen, Claude Guéant n'ira pas. L'ancien ministre de l'Intérieur dément dans Le Parisien vouloir être candidat aux législatives dans cette ville du Pas-de-Calais en cas d'invalidité de l'élection. Lui qui a été défait en juin dans les Hauts-de-Seine malgré un parachutage s'étonnerait presque : "Franchement, ça ne m'est jamais venu à l'idée. C'est curieux cette rumeur [...] Je n'y ai jamais pensé et on ne m'a jamais sollicité pour une telle éventualité".
Trierweiler reste à Paris Match
"Arnaud Lagardère n'a jamais envisagé de mettre un terme au contrat qui lie madame Valérie Trierweiler à Paris Match. Pas plus aujourd'hui que durant ces quinze dernières années". Le groupe de presse a démenti lundi dans Le Point les informations de la journaliste Jacqueline Rémy qui, dans un livre sur Arnaud Lagardère, a écrit que ce dernier aurait un temps envisagé de ne pas "renouveler" le contrat de la journaliste à la fin de l'année 2012, et ce "pour éviter tout conflit d'intérêt".
Le soutien discret de Jean Sarkozy
Le cadet de Nicolas Sarkozy avait certes déjà donné un signal en faveur du député-maire de Meaux en septembre en organisant à Neuilly un débat autour de lui. C'est par une simple signature sous une lettre cosignée par cinq parlementaires UMP du 92, et adressée à tous les adhérents des Hauts-de-Seine, que le fils de l'ancien chef de l'État et vice-président du Conseil général du département a apporté son soutien au candidat à la présidence de l'UMP Jean-François Copé. Moins de deux semaines avant le vote des militants, le secrétaire général de l'UMP s'en empressé de remercier chaleureusement le jeune élu : "ça me touche tout particulièrement".
Le blasphème de Charlie Hebdo