Dans la nuit du 24 au 25 août, une jeune femme s'est échappée d'une maison dans laquelle elle dit avoir été retenue de force pendant trois ans par sa mère et sa sœur. Elle s'est réfugiée chez sa voisine en attendant les forces de l'ordre.
Trois ans après le retentissant scandale qui a secoué l'Elysée, le procès de l'ancien chargé de mission Alexandre Benalla, jugé pour les violences du 1er mai 2018 et pour l'utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques, s'ouvre lundi à Paris.
Trois ans après le retentissant scandale qui a secoué l'Elysée, le procès de l'ancien chargé de mission Alexandre Benalla, jugé pour les violences du 1er mai 2018 et pour l'utilisation frauduleuse de passeports diplomatiques, s'ouvre lundi à Paris.
L'homme comparait pour violences, port d'arme non autorisée et utilisation de passeports diplomatiques.
Le ministre de l'Intérieur justifie dans un tweet cette décision en raison des incidents survenus la semaine dernière dans la commune de Val de Reuil.
L'homme est jugé pour trois affaires: celle des violences du 1er-mai, de l'utilisation de passeports diplomatiques sans en avoir le droit et pour port d'arme non-autorisée.
Ancien membre du premier cercle d'Emmanuel Macron, à l'origine d'un scandale politique retentissant, Alexandre Benalla a depuis effectué une reconversion dans le secteur privé.
Jugé pour l'affaire des violences du 1er-Mai et l'usage frauduleux de passeports diplomatiques, Alexandre Benalla fait encore l'objet de trois autres procédures judiciaires.
Dans la nuit de vendredi à samedi, le 81e féminicide de l’année 2021 a été commis, selon le décompte d’une association de recensements des féminicides conjugaux. À Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, un homme a tué sa femme à coups de couteau dans la nuit de vendredi à samedi. Dans leur appartement, leurs quatre enfants étaient présents.
Alexandre Benalla va devoir s'expliquer à partir de ce lundi sur des violences commises place de la Contrescarpe et au jardin des Plantes le 1er mai 2018, ainsi que sur l'usage de deux passeports diplomatiques.
Le prêcheur menaçait ses victimes de "châtiments divins" si elles refusaient d'avoir des relations sexuelles avec lui.
Le procès du 13-Novembre entre dans le vif du dossier ce lundi, avec l'audition de ceux qui ont remonté la piste des commandos jihadistes. La question de la diffusion d'un enregistrement sonore des attaques fait débat.
Le nom d'Alexandre Benalla est cité dans six affaires. C'est pourtant la première fois qu'il fait face à des juges, pour deux affaires, dont l'une date de 2018. L'ancien chargé de mission de l'Élysée avait été filmé en train de s'en prendre à des manifestants le 1er mai, place de la Contrescarpe à Paris. Cette vidéo avait conduit à son limogeage.
À partir de ce lundi, la cour d’assises spécialement composée va se plonger au cœur de l’enquête qui a suivi le 13-Novembre. Les premiers témoins vont être entendus à la barre, ainsi que des enquêteurs de la SDAT, de la brigade criminelle, et de la BRI. La bande-son de l'attentat du Bataclan, captée par le dictaphone d'un technicien, pourrait également être diffusée. Mais une question se pose autour de ce document: faut-il le diffuser ? La cour tranchera dans les prochains jours.
L’appareil se serait écrasé ce dimanche dans un champ du village d’Autouillet, près de Thoiry dans les Yvelines. Les deux occupants sont décédés.
Une trentaine de gendarmes se sont rendus sur place afin d'effectuer des contrôles, d'évacuer les participants et d'identifier les organisateurs de ce rassemblement interdit par arrêté municipal.
Alors qu’il se rendait en opération de secours sur le secteur de Villard-de-Lans, un hélicoptère de la sécurité civile s’est écrasé, avec à son bord cinq membres de l’équipe (équipage et secouristes). Les opérations de secours sont actuellement en cours. Les causes de l’accident sont pour l’heure indéterminées.
Alors qu’il se rendait en opération de secours sur le secteur de Villard-de-Lans, un hélicoptère de la sécurité civile s’est écrasé, avec à son bord cinq membres de l’équipe (équipage et secouristes). Les opérations de secours sont actuellement en cours. Les causes de l’accident sont pour l’heure indéterminées.
Les raisons de l'accident sont pour l'heure inconnues, un témoin évoque "deux explosions très importantes".
L'acteur de "Pattaya" et "Taxi 5" est accusé d'avoir séquestré et violenté le petit-ami de son ancienne compagne, avec l'aide de deux autres hommes.
L'avocat de Gérard Louvin a annoncé qu'il déposerait plainte pour dénonciation calomnieuse contre le couple.
Quelques incidents isolés ont eu lieu ce samedi à Paris en marge d'une manifestation contre le pass sanitaire.
La maire du 7e arrondissement a assuré sur BFMTV que la délinquance "a explosé entre 2012 et aujourd'hui à des taux inédits" en France. Pourtant, les chiffres sont plus nuancés. Explications.
Quatre manifestations doivent avoir lieu ce samedi, dont deux organisées par des groupes de Gilets jaunes. La préfecture de police de Paris a prévu un important dispositif policier pour éviter d'éventuels débordements.
L'homme, condamné à quatre mois de prison ferme en juin, est sorti ce samedi de la prison de Valence où il était incarcéré pour avoir giflé le chef de l'État lors d'un déplacement dans la Drôme.
L'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn a été mise en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui" à l'issue de son audition par des magistrats de la Cour de justice de la République, première personnalité mise en cause dans l'enquête sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.
L'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn a été mise en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui" à l'issue de son audition par des magistrats de la Cour de justice de la République, première personnalité mise en cause dans l'enquête sur la gestion de l'épidémie de Covid-19.
INFO BFMTV - L'homme avait été condamné à quatre mois de prison ferme pour avoir giflé le chef de l'État en juin dernier lors d'un déplacement dans la Drôme.
Trois personnes sont mortes ce vendredi alors que leur avion de tourisme s'est écrasé près de Dijon.
En septembre 2018, il avait poignardé son ex-femme de 17 coups de couteau, après une dispute "autour du son de la télévision". Il a été condamné vendredi par la cour d'assises du Val-de-Marne.
Comme tout procès, celui des attentats du 13-Novembre commence par le rappel des faits et des charges, avant d'attaquer les débats. Au troisième jour du procès, ce vendredi, les noms, prénoms et âges de l'ensemble des victimes ont été égrenés. Pour Marie-Claude Desjeux, présidente de la Fédération Nationale des Victimes d’Attentats et d’Accidents Collectifs, "ça a été un moment violent pour les familles".
Alerté par les cris des élèves, le chauffeur d'un car scolaire a pu s'arrêter à temps et évacuer tous les adolescents avec l'aide d'un soldat du feu.
Dès l'ouverture du procès, le principal accusé s'est fait remarquer par ses prises de paroles vindicatives, heurtant parfois les parties civiles.
Au troisième jour du procès, le président de la cour d'assises Jean-Louis Périès a lu son rapport résumant l'enquête des attentats du 13-Novembre.
Des traces de plaies sur le cadavre orientent l'enquête vers la piste criminelle.
Lors de l'audience de ce vendredi du procès des attentats du 13-Novembre, le président a égrené les noms des 130 victimes.
L'auteur des coups de feu, inconnu des services des polices, avait annoncé "son intention de commettre l'irréparable" dans un message publié sur Facebook quelques heures auparavant.
Avant Agnès Buzyn, l'ex-ministre de la Santé est auditionnée ce vendredi par la Cour de Justice de la République (CJR), plusieurs membres du gouvernement ont eu des démêlés judiciaires depuis le début de la présidence d'Emmanuel Macron.
La Cour de justice de la République (CJR), qui entend vendredi l'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn dans le cadre d'une enquête sur la gestion gouvernementale du Covid-19, est une juridiction d'exception en sursis, seule à même de juger les ministres et critiquée pour sa clémence.
L'ancien chef d'entreprise travaillait à New York à l'époque des attentats, il y a 20 ans. Il retrace pour BFM Lyon le déroulement de cette journée.
L'ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée vendredi peu avant 9 heures à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris pour une possible mise en examen dans l'enquête sur la gestion gouvernementale de l'épidémie de Covid-19. Interrogée par la nuée de journalistes présents, Agnès Buzyn s'est montrée satisfaite de ce rendez-vous. "C'est une excellente opportunité pour moi de rétablir la vérité", a-t-elle affirmé.
L’ex-ministre de la santé Agnès Buzyn est convoquée ce vendredi par les juges de la Cour de justice de la République. Elle risque une mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans le cadre de la gestion gouvernementale de la crise sanitaire.
Les directions de la police et de la gendarmerie veillent à la bonne utilisation des réseaux sociaux par leurs agents. Dans leur ligne de mire: éviter une atteinte à la déontologie et une mise en danger des personnels.
Agnès Buzyn est convoquée ce vendredi par la CJR en vue d’une possible mise en examen dans le cadre de la crise du Covid. Cela fait suite au dépôt de 16 plaintes auprès de la CJR, la seule à pouvoir juger des membres du gouvernement. Depuis le mois d’août, la juridiction fait face à un afflux de plaintes, qui se comptent par milliers.
L’ex-ministre de la santé Agnès Buzyn est convoquée ce vendredi par les juges de la Cour de justice de la République. Elle risque une mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans le cadre de la gestion gouvernementale de la crise sanitaire.
Sur BFMTV ce jeudi soir, Me Bertrand Mertz explique pourquoi il a déposé une plainte contre Agnès Buzyn auprès de la Cour de justice de la République. L'ancienne ministre va être entendue ce vendredi. Olivier Véran est également visé par cette plainte.
Agnès Buzyn est convoquée demain devant la Cour de Justice de la République. L'ex-ministre de la Santé va être questionnée sur sa gestion de la crise sanitaire. 1450 plaintes sont arrivées devant la CJR depuis le début de la pandémie.
Un artisan de Digne-les-Bains est accusé d’avoir encaissé des acomptes pour la construction de piscines. Sans nouvelles de l’intéressé, les clients lésés ont décidé de porter plainte.
La deuxième journée du procès historique des attentats du 13 novembre 2015 devant la cour d'assises spéciale de Paris s'est ouverte jeudi par un nouvel esclandre de son principal accusé Salah Abdeslam, qui s'est arrogé la parole pour dédouaner trois de ses coaccusés.
À Salon-de-Provence, dans les Bouches-du-Rhône, trois individus ont tiré une quarantaine de fois à l'arme de guerre mardi, à proximité d'une école, sans doute pour impressionner des dealers rivaux. Ce jeudi, le maire de la ville a décidé de purement et simplement raser les arbres et le mobilier urbain où les trafiquants avaient pris l'habitude de se rassembler.
