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Les Républicains

Pour Bernard Debré, Valérie Trierweiler "n'est que la maîtresse" du président

Le député de Paris, Bernard Debré, ne porte pas Valérie Trierweiler dans son coeur.

Le député de Paris, Bernard Debré, ne porte pas Valérie Trierweiler dans son coeur. - -

Le député de Paris étrille la Première dame dans un post publié sur son blog, ce mercredi.

Bernard Debré ne porte pas Valérie Trierweiler dans son coeur... et le fait savoir. Dans un court article publié sur son blog, ce mercredi, intitulé "Valérie Trierweiler a récidivé", le député UMP de Paris épingle la compagne de François Hollande - "qui n'est que la maîtresse" de ce dernier - après que celle-ci a fait savoir qu'elle serait témoin du mariage d'un couple homosexuel aussitôt la loi promulguée.

"De quoi se mêle-t-elle ?"

"Madame Trierweiler, première dame autoproclamée, qui n’est que la maîtresse du président de la République, a récidivé récemment, après son tweet ravageur, puisqu’elle a annoncé qu’elle serait quasiment la première témoin du mariage homosexuel", écrit Bernard Debré.

"De quoi se mêle-t-elle ?", lance-t-il. Avant de trancher, sans nuance : "A quel titre a-t-elle parlé ? Quand on est dans sa position, après les bourdes qu’elle a déjà faites, il aurait été préférable qu’elle se taise."

"Elle peut soit faire de la politique, mais ne plus être journaliste et définir sa position à l’Elysée. Elle peut aussi, ce qui serait mieux, se taire et ne plus faire ni politique, ni journalisme", conclut Bernard Debré.

Trierweiler répond sur Twitter

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Bien que bref, l'article semble avoir inspiré un tweet à la principale intéressée, qui a posté, sur son compte Twitter, aux alentours de 13h25, ce message, très probablement adressé à Bernard Debré : "'Cette chose enivrante qu'est la liberté' Carmen. Opéra Bastille."

Un message subliminal d'actualité puisque la première de l'opéra de Bizet, mis en scène par Yves Beaunesne, était donnée, mardi soir, à l'Opéra Bastille.

Adrienne Sigel