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Premier ministre: Laurent Wauquiez dénonce un entretien "décevant" avec Emmanuel Macron

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Les consultations orchestrées par le président de la République pour trouver un Premier ministre se poursuivent ce mercredi 28 août avec la réception notamment de Laurent Wauquiez, Bruno Retailleau et Annie Genevard. À gauche, le Nouveau Front populaire, qui a remporté les élections législatives en juillet, dénonce un "coup de force".

Le chef de l'État rencontrera Carole Delga, Renaud Muselier et David Lisnard demain pour de nouvelles consultations

Ce live est désormais terminé. Emmanuel Macron recevra, demain à partir de 8h30, Carole Delga (PS), Renaud Muselier (Renaissance) et David Lisnard (LR) à l'Élysée dans le cadre de ses consultations en vue de la formation du prochain gouvernement.

La rencontre entre Carole Delga et le chef de l'État intervient alors que la direction du Parti socialiste ne souhaite pas retourner à la table des négociations, à l'inverse du courant minoritaire d'Hélène Geoffroy, maire socialiste de Vaulx-en-Velin.

Emmanuel Macron "opère un déni démocratique" dénonce le groupe GDR

Dans un communiqué publié sur le réseau social X, les députés du groupe GDR (gauche démocrate et républicaine) affirment que le président de la République "opère un déni démocratique" en s'arrogeant le droit d'empêcher le Nouveau Front populaire de former un gouvernement avec à sa tête Lucie Castets".

"Le président de la République plonge aujourd'hui notre pays dans une crise démocratique sans précédent sous la Ve République", écrivent-ils.

Dénonçant une "complicité" avec "la droite et l'extrême droite", le groupe GDR appelle à la mise en place d'une "session extraordinaire" de l'Assemblée nationale.

Sandrine Rousseau soutient qu'"il n'y a pas de solution alternative au Nouveau Front populaire"

Sur X (ex-Twitter), la députée écologiste Sandrine Rousseau répond aux déclarations des chefs de file de la Droite républicaine.

"Il n'y a pas de solution alternative au Nouveau Front populaire. Pour une raison simple: nous avons le plus grand nombre de députés et nous ne nous fracturons pas", martèle Sandrine Rousseau. 

Les députés LR se disent "ouverts à un travail collaboratif avec le futur gouvernement"

La secrétaire générale du parti Les Républicains, Annie Genevard, affirme que son parti de droite est "ouvert" à un travail "collaboratif" et "efficace" avec le futur gouvernement qui sera mis en place.

"Nous avons dit au président de la République que nous étions ouverts à un travail collaboratif avec le futur gouvernement".

"Un travail collaboratif, ouvert, mais efficace", précise-t-elle. La députée LR assure également que les membres de son parti "ne seron(t) pas les artisans de la politique du pire", ni "des agents du blocage du pays". "Le pays a besoin d'avancer et nous voulons en être les acteurs", conclut-elle.

De son côté, Bruno Retailleau insiste sur "l'urgence de la situation". "C'est inédit depuis la fin la Seconde Guerre mondiale. Jamais un gouvernement, démissionnaire n'aura autant duré", s'insurge-t-il. "Nous, ce que l'on veut, c'est que le pays s'en sorte", déclare le président du groupe LR au Sénat.

Laurent Wauquiez défend que les Républicains sont "la seule force d'opposition" à avoir "une attitude constructive"

Le député LR, Laurent Wauquiez affirme que les Républicains ont été "la seule force d'opposition" à adopter "une attitude constructive" en acceptant un entretien avec Emmanuel Macron.

"Nous avons mis sur la table en lien avec Annie Genevard et Bruno Retailleau, les députés et les sénateurs, un ensemble de mesures avec un pacte législatif", explique-t-il.

"Ce que nous demandons au président de la République, c'est qu'il s'engage sur ce pacte législatif autour de quelques priorités qui peuvent rassembler largement les Français", soutient le député.

Laurent Wauquiez demande à Emmanuel Macron d'"assumer ses responsabilités" pour "sortir de la crise qu'il a lui même provoqué"

Laurent Wauquiez demande au président de la République d'"assumer ses responsabilités" et de "nommer enfin un Premier ministre" pour "sortir de la crise qu'il a lui même provoqué".

"Les positions des uns et des autres sont connus, et il n'y a plus aucune raison maintenant de procrastiner", affirme-t-il.

Laurent Wauquiez dénonce un entretien "décevant" avec Emmanuel Macron sans "aucune position nouvelle"

Laurent Wauquiez, président du groupe "La Droite républicaine" à l'Assemblée nationale a qualifié la session de consultation avec Emmanuel Macron de "décevant".

"Cet entretien s'est malheureusement avéré décevant. Aucune position nouvelle, pas de véritable projet pour les Français structuré, pas de vision de ce que serait un programme gouvernemental pour les mois à venir", a-t-il exprimé.

David Lisnard sera également reçu à l'Élysée ce jeudi

David Lisnard, président de l'Association des maires de France et du parti de droite Nouvelle énergie, sera également reçu par Emmanuel Macron ce jeudi à l'Élysée dans le cadre des consultations du président en vue de la formation du prochain gouvernement, a appris BFMTV auprès de sources concordantes.

Emmanuel Macron recevra Carole Delga et Renaud Muselier ce jeudi

Emmanuel Macron recevra Carole Delga (PS) et Renaud Muselier (Renaissance) ce jeudi à 8h30 à l'Élysée dans le cadre de ses consultations en vue de la formation du prochain gouvernement, a appris BFMTV auprès de sources concordantes.

L'une préside la région Occitanie, l'autre la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Si Carole Delga a soutenu le Nouveau Front populaire, elle s'était opposé à la Nupes lors des législatives de 2022 en soutenant des candidatures dissidantes.

Sa rencontre avec Emmanuel Macron intervient alors que la direction du PS ne souhaite pas retourner à la table des négociations, à l'inverse du courant minoritaire d'Hélène Geoffroy.

La socialiste Hélène Geoffroy explique pourquoi elle veut que la gauche poursuive les discussions à l'Élysée

Hélène Geoffroy revient sur la ligne de son courant minoritaire au sein du Parti socialiste. La maire de Vaulx-en-Velin, une commune proche de Lyon, est favorable à ce que les discussions à l'Élysée avec Emmanuel Macron se poursuivent, comme elle l'a exprimé lors du bureau national du PS la veille, s'incrivant contre la ligne défendue par la direction.

"J'ai plaidé pour qu'on discute encore pour éventuellement trouver une solution pour un Premier ministre issu des rangs socialistes, de la sociale-démocratie, qui permette aussi de trouver des compromis", explique-t-elle sur BFMTV.

"Il nous sera reproché par tous les électeurs, les nôtres et ceux du front républicain, de n'avoir pas essayé jusqu'au bout", avait défendu l'édile la veille.

Hollande qualifie Mélenchon de "fardeau" pour la gauche, Bompard lui répond

Dans sa longue interview au Point, François Hollande égratigne Emmanuel Macron, mais aussi à Jean-Luc Mélenchon, qualifié de "fardeau".

Fidèle lieutenant du leader insoumis, Manuel Bompard répond sur BFMTV à l'ancien président de la République.

"Tout le monde sait que ce qui a fait beaucoup de mal à la gauche depuis 10 ans, c’est le quinquennat de François Hollande. Il me semble que la moindre des choses, sur ce point, est de faire preuve d’un peu de discrétion", grince le coordinateur de LFI.

François Bayrou dénonce une "tentative de dévoiement" du résultat des législatives de la part du NFP

François Bayrou dénonce une "tentative de dévoiement" des législatives de la part des partis du Nouveau Front populaire qui affirment avoir remporté les élections, après être arrivés en tête au second tour sans obtenir de majorité absolue. "Personne n'a gagné cette élection" car "au deuxième tour, le premier, c'est tous ceux qui ont dit, nous ne voulons pas du Rassemblement national", estime le président du Modem.

Le front républicain est "la seule dominante de cette élection", ajoute-t-il. Les Français ont fait au second tour "un vote de salubrité" et non "un vote de choix à l'intérieur du front républicain", déclare le haut-commissaire au Plan.

Pour François Bayrou, "il est vain de demander aux partis de s'entendre"

"Le président de la République a la responsabilité de nommer un Premier ministre", déclare François Bayrou sur BFMTV-RMC, estimant qu'il est "vain de demander aux partis politiques de s'entendre" et rappelant qu'il tient cette position "depuis le début".

Une "faute institutionnelle" de Macron? Bayrou répond à Hollande

Emmanuel Macron a-t-il commis une "faute institutionnelle" en refusant de nommer un gouvernement du Nouveau Front populaire avec Lucie Castets à sa tête, comme l'affirme François Hollande dans les colonnes du Point?

"C'est n'importe quoi cette phrase", dénonce François Bayrou sur BFMTV-RMC, soulignant notamment qu'il revient au président de la République de "nomme(r) le Premier ministre".

Alors qu'Emmanuel Macron dit avoir pris cette décision au nom de la "stabilité institutionnelle", le patron du MoDem et allié du président estime que le vote d'une motion de censure contre un gouvernement NFP n'aurait fait "aucun doute".

Les responsables du parti Les Républicains reçus à 11h30 par Emmanuel Macron

Les chefs de file du parti Les Républicains, Laurent Wauquiez, Annie Genevard et Bruno Retailleau seront reçus à l'Élysée à 11h30 pour le quatrième jour des consultations menées par Emmanuel Macron, en vue de former un gouvernement, a appris BFMTV ce mercredi auprès de sources concordantes.

Rachida Dati appelle à une coalition avec LR et les "sociaux-démocrates"

La ministre démissionnaire de la Culture, Rachida Dati, "appelle" sur France Inter à une coalition avec le parti dont elle est issue, Les Républicains.

"Et ça peut aller jusqu'aux sociaux-démocrates", ajoute-t-elle. "C'est la voie de la responsabilité", estime la ministre démissionnaire.

Hier, dans Le Figaro, Rachida Dati avait déjà jugé qu'un "pacte gouvernemental est indispensable". "Les Républicains ont toujours eu à cœur l'intérêt du pays. Je souhaite sincèrement qu'ils le montrent une fois de plus dans ces circonstances", avait déclaré la maire du 7e arrondissement de Paris.

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Emmanuel Macron va présider une réunion sur la sécurité des Jeux paralympiques

Si Emmanuel Macron poursuit ses consultations en vue de la formation d'un gouvernement ce mercredi, cette journée marque également l'ouverture des Jeux paralympiques, qui se dérouleront jusqu'au dimanche 8 septembre.

Le chef de l'État présidera une réunion sur l'organisation et la sécurité de cet événement, rapporte Politico ce mercredi, une information que BFMTV est en mesure de confirmer.

Le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, mais aussi les ministres démissionnaires Gérald Darmanin et Amélie Oudéa-Castéra seront présents. Tout comme Tony Estanguet, président de Paris 2024, ainsi que les préfets Laurent Nunez et Marc Guillaume.

Motion de destitution: Panot affirme que "chaque parlementaire se retrouvera face à ses responsabilités"

Alors que le camp présidentiel, la droite et l'extrême droite assurent qu'ils voteront une motion de censure contre tout gouvernement comportant des ministres issus de LFI, la cheffe des députés insoumis, Mathilde Panot, leur répond sur RTL.

"Ils font les gros bras avec la motion de censure mais la réalité, c'est qu'ils ne veulent pas nous laisser gouverner parce que la politique que nous voulons mener est ultra-majoritaire dans ce pays", assure-t-elle.

Les insoumis menacent de déposer une motion de destitution contre le chef de l'État, qui, pour être adoptée, doit être votée par plus de deux tiers du Parlement. "Chaque parlementaire se retrouvera face à ses responsabilités et je le dis, nous, nous n'acceptons pas qu'un président de la République confisque le pouvoir de cette façon", déclare Mathilde Panot.

François Hollande évoque aussi une "faute politique" d'Emmanuel Macron

Pour François Hollande, Emmanuel Macron n'a pas seulement commis une "faute institutionnelle" en refusant la nommination de Lucie Castets. Elle est aussi d'ordre "politique", d'après l'ancien chef de l'État, interrogé par Le Point dans une interview publiée ce matin.

L'hebdomadaire lui fait remarquer que la candidate de la gauche unie et son gouvernement auraient pu être renversées par une motion de censure. "C'est fort possible", estime le député de Corrèze, jugeant que "tout aurait dépendu du compromis qu'elle aurait été capable de concéder aux autres groupes".

Cependant "si elle n'y était pas parvenue, l'émergence d'une solution alternative aurait acquis alors une légitimité plus forte. C'est la faute politique d'Emmanuel Macron , souligne -t-il.

François Hollande dénonce une "faute institutionnelle" d'Emmanuel Macron

Refuser la nomination de Lucie Castets à la tête d'un gouvernement du Nouveau Front populaire est une "faute institutionnelle", juge l'ancien président socialiste François Hollande, dans une interview publiée par Le Point ce matin.

Lui même membre de la coalition et redevenu député de Corrèze, il juge que "ce n'était pas au président de la République de censurer lui-même Lucie Castets".

"Cette responsabilité revient à l'Assemblée nationale après que les députés ont pu écouter la déclaration de politique générale et la composition du gouvernement et exprimer leur choix", souligne-t-il.

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Fabien Roussel estime qu'Emmanuel Macron a "décidé de déclarer la guerre"

"Une journée noire", "notre démocratie est à terre", "coup de force"... Fabien Roussel multiplie les formules dans Libération pour dénoncer la décision d'Emmanuel Macron de ne pas nommer un gouvernement du Nouveau Front populaire, même si la gauche est arrivée en tête en nombre de sièges aux élections législatives.

"Je crois qu’Emmanuel Macron, pour les deux dernières années de son mandat, a décidé de déclarer la guerre. C’est une guerre sociale: c’est la lutte des classes, et c’est la classe des riches qui la mène, décomplexée, bafouant le résultat des urnes, faisant tout pour conserver le pouvoir", juge le secrétaire national du Parti communiste français.

François Ruffin juge qu'Emmanuel Macron "fait perdre le pays et la démocratie"

Candidat potentiel à la prochaine présidentielle, François Ruffin revient, auprès de Libération, sur la décision d'Emmanuel Macron de balayer l'option d'un gouvernement du Nouveau Front populaire.

"Rien de neuf sous le roi-soleil de Macron: depuis sept ans, 'la démocratie c'est moi'", tance le député de la Somme, qui a rejoint le groupe écologiste à l'Assemblée, après avoir rompu avec Jean-Luc Mélenchon.

Aujourd'hui, le président de la République "poursuit dans le déni, comme s’il n’avait pas essuyé une défaite, comme s’il détenait les manettes. Encore une fois, il croit gagner, en minable Machiavel, mais il fait perdre le pays et la démocratie", dénonce ensuite François Ruffin, avant de poursuivre:

"Nous offrons à la macronie une porte de sortie honorable. Sinon ce sera le RN. Mais certains libéraux préfèrent l’extrême droite à la gauche."

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Que disent les différents partis du NFP sur la possibilité d'une manifestation?

Si les insoumis ont appelé à manifester le 7 septembre contre le "coup de force" d'Emmanuel Macron, qu'en disent les autres partis de gauche? Chez Les Écologistes, la secrétaire nationale Marine Tondelier a d'abord botté en touche ce mardi sur BFMTV, avant de lâcher:

"Nous manifesterons, je l'ai dit, je ferai toutes les manifestations que vous voulez, il n'y a pas de problèmes. Les Écologistes en seront parce qu'on ne se laissera pas voler cette élection." Sans que l'on ne sache précisément si son parti battra le pavé le 7 septembre ou un autre jour.

Pour ce qui est du Parti communiste français, Fabien Roussel a appelé dès lundi soir sur BFMTV à une "grande mobilisation populaire". Mais on ne sait pas non plus s'il prendra part à celle à laquelle participeront les insoumis aux côtés des syndicats étudiants.

Pour les socialistes, manifester "n'est pas la priorité du moment", a jugé le député PS Arthur Delaporte sur notre antenne. Tout en laissant la porte ouverte à cette option, il a souligné que les parlementaires ont "une arme entre (leurs) mains": la motion de censure.

François Bayrou invité de BFMTV-RMC

François Bayrou est l'invité du "Face-à-face" d'Apolline de Malherbe, présenté sur BFMTV et RMC ce mercredi 28 août à 8h30.

Le patron du MoDem s'est entretenu la veille avec son allié Emmanuel Macron dans le cadre de la deuxième série de consultations du président de la République, en vue de former un gouvernement.

"Motion de destitution": comment fonctionne l'article 68 invoqué par LFI contre Emmanuel Macron?

C'est la menace brandie par La France insoumise depuis plusieurs jours: la "motion de destitution". Elle sera bien présentée par les insoumis, comme l'a annoncé Jean-Luc Mélenchon, après qu'Emmanuel Macron a décidé d'écarter la nomination de Lucie Castets, candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

Objectif: destituer le président de la République, en se référant à l'article 68 de la Constitution, qui peut permettre cette procédure en cas de "manquement" du président "à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat".

Reste que les conditions à réunir sont très compliquées, d'autant plus que la démarche a été, au départ, rejetée par les autres partis de gauche. De quoi rendre l'adoption de cette "motion de destitution" hautement improbable.

On vous en dit plus ici sur son fonctionnement

Le PS divisé sur la censure d'un gouvernement mené par une personnalité de gauche

Le Parti socialiste s'est divisé une nouvelle fois ce mardi lors d'un bureau national où les courants minoritaires du parti ont réclamé de ne pas censurer automatiquement un gouvernement qui serait mené par une personnalité de gauche hors Nouveau Front populaire.

Alors que le Premier secrétaire du PS Olivier Faure a affirmé ce lundi qu'il n'irait pas à l'Élysée pour le second round des consultations destinées à trouver un Premier ministre, et que les députés socialistes voteraient une motion de censure contre tout autre gouvernement que celui du Nouveau Front populaire, les deux courants minoritaires de son parti ont dénoncé sa ligne.

La maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy, cheffe du courant Debout les socialistes, a ainsi affirmé qu'il fallait "reprendre des discussions avec le président de la République".

Une partie de la droite reçue ce mercredi à l'Élysée

Laurent Wauquiez, président du groupe LR à l'Assemblée, Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, et Annie Genevard, vice-présidente LR de l'Assemblé, seront reçus ce mercredi 28 août à la mi-journée à l'Élysée, dans le cadre du deuxième cycle de consultations mené par le président de la République.

Ce mardi, Emmanuel Macron s'est entretenu avec un groupe de députés Liot, le président du Modem François Bayrou et l'ancien Premier ministre Édouard Philippe.

"Je suis en colère et révoltée": Lucie Castets fustige l'attitude d'Emmanuel Macron

"Je suis en colère et révoltée." Dans un entretien accordé à Ouest France, Lucie Castets fustige l'attitude d'Emmanuel Macron qui "refuse de prendre en compte les résultats des élections législatives des 30 juin et 7 juillet ", en ne nommant pas un Premier ministre issu des rangs du NFP.

La candidate du NFP pour Matignon reconnaît néanmoins ne pas être "surprise": "Lorsque nous l’avons rencontré à l’Élysée vendredi, j’avais déjà compris qu’il ne voulait pas d’un gouvernement issu du Nouveau Front populaire. C’est évidemment une position assez grave."

Lire l'article ici

Les consultations se poursuivent à l'Élysée ce mercredi

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil. Plus de 50 jours après les résultats des élections législatives, Emmanuel Macron refuse de nommer un gouvernement d'union de la gauche. Le président de la République poursuit ce mercredi 28 août les consultations avec les forces politiques débutées la semaine dernière.

Contrairement aux rendez-vous organisés vendredi et lundi, ces nouvelles rencontres tiennent à l'écart des caméras. Les représentants du groupe Liot ont été reçus à l'Élysée en fin de matinée ce mardi.

Les dirigeants de la droite, Laurent Wauquiez, Annie Genevard et Bruno Retailleau, seront reçus ce mercredi.

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