Gouvernement Barnier: Darmanin affirme qu’ils "seront nombreux à ne pas soutenir" des hausses d'impôts

L'ESSENTIEL
- L'ex-ministre de l'Intérieur, redevenu député du Nord, Gérald Darmanin fait sa rentrée politique à Tourcoing. Il a annoncé le lancement de son mouvement, appelé "Populaires". Lire l'article
- 27 députés macronistes s'opposent dans une tribune à toute augmentation des impôts, alors que le Premier ministre Michel Barnier envisage de faire contribuer davantage ceux qui le peuvent. Lire la brève
- Estimant que "l'immigration n’est pas une chance", Retailleau "regrette" ne pas “pouvoir faire de référendum” sur le sujet. Lire l'article
- La députée européenne d'extrême droite Marion Maréchal, invitée de BFM Politique, assure qu'elle "n'attend rien" de ce gouvernement "transitoire". Lire la brève.
Darmanin met à nouveau Barnier en garde sur les impôts
"Nous serons nombreux à ne pas pouvoir soutenir un gouvernement qui augmenterait les impôts", a lancé Gérald Darmanin lors de sa rentrée politique à Tourcoing (Nord), à deux jours de la déclaration de politique générale de Michel Barnier à l'Assemblée nationale.
"Je soutiens le gouvernement de Michel Barnier nommé par le président de la République", a-t-il déclaré devant quelque 500 personnes.
Ce direct est terminé, vous pouvez suivre celui de ce lundi 30 septembre ici, merci de nous avoir suivi.
Rentrée sociale: des manifestations ce mardi pour les salaires et contre la réforme des retraites
Une mobilisation mais sans l'intersyndicale au complet: la CGT, Solidaires et FSU, rejointes par des organisations de jeunesse, appellent à faire la grève et à manifester ce mardi pour réclamer l'abrogation de la réforme des retraites et l'augmentation des salaires.
"C'est le match retour contre la réforme des retraites", assurait cette semaine la numéro un de la CGT Sophie Binet. "Nous pouvons obtenir son abrogation, c'est ce que montre la déclaration de Michel Barnier, le rapport de force est de notre côté", jugeait-elle au micro de France Info.
Au cours de sa première interview télévisée il y a une semaine, le Premier ministre s'était dit prêt à "améliorer" la très controversée réforme qui a porté l'âge de départ à la retraite à 64 ans.
La manifestation parisienne interviendra juste avant le discours de politique générale du Premier ministre, qui donnera le cap de sa politique alors que de nombreux sujets sociaux (assurance chômage, emploi des seniors, notamment) sont restés en suspens.
Immigration: Bruno Retailleau estime qu’il faudrait “réviser la Constitution” et regrette ne pas “pouvoir faire de referendum”
Estimant que “l’immigration n’est pas une chance” et qu’il faut “réaffirmer que violer une frontière, c'est violer la loi”, le nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau juge sur LCI qu’il faudrait “réviser la Constitution” à ce sujet.
“Et en révisant la Constitution” permettre une “consultation par référendum”, ajoute-t-il.
“L’immigration est un des phénomènes qui a le plus bouleversé la société française depuis 50 ans sans que jamais les Français n’aient eu à se prononcer”, déclare Bruno Retailleau soulignant que le “contrôle aux frontières est nécessaire”.
Terrorisme: Bruno Retailleau estime qu'on "aborde un mois d'octobre qui va être dangereux"
Reliant ses propos à la situation au Proche-Orient, où Israël attaque le Hamas à Gaza et le Hezbollah au Liban, le nouveau ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, estime sur LCI qu'on "a une pression terroriste qui est extrêmement puissante venant de l'islamisme".
"On aborde un mois d'octobre qui va être dangereux", affirme-t-il rappelant que ce mois débutera avec les un an des attaques du 7 octobre en Israël.
"Avec tout ce qu'il peut y avoir de retentissement, vu qu'il y a eu la mort de M. Nasrallah (le chef du Hezbollah libanais tué par une frappe israélienne vendredi, NDLR), le mois d'octobre est aussi un grand mois pour les fêtes juives", souligne le locataire de la place Beauvau.
Bruno Retailleau déclare qu'il a par conséquent "demandé aux préfets de redoubler de vigilance".
Le premier président de la Cour des comptes en faveur de "contributions exceptionnelles" des grandes entreprises
Le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, a déclaré être en faveur de hausses d'impôts "exceptionnelles" pour les grandes entreprises l'an prochain afin de résorber le déficit public.
"Pour les entreprises qui ont beaucoup bénéficié des gestes fiscaux antérieurs on peut envisager des gestes exceptionnels", a-t-il affirmé à l'occasion d'une interview dans l'émission "Dimanche en politique" sur France 3.
Il était interrogé sur un article du journal Le Monde publié aujourd'hui, selon lequel le gouvernement envisageait d'instaurer une "contribution exceptionnelle" pour les grands groupes dans le budget 2025, sous forme d'une surtaxe de 8,5 points de l'impôt sur les sociétés.
Gérald Darmanin annonce le lancement de son mouvement "Populaires"
“Je vous propose, au sein d’un nouveau lieu de réflexion, que tout le monde peut rejoindre, de prendre le temps de penser à l’avenir”, a déclaré Gérald Darmanin lors de sa rentrée à Tourcoing.
Un mouvement qui s'appellera “Populaires”, a-t-il précisé, "comme pour nous rappeler chaque jour, que seules les inspirations du peuple comptent".
Darmanin affirme qu’ils “seront nombreux à ne pas soutenir un gouvernement qui voudrait augmenter les impôts”
“Je soutiens le gouvernement de Michel Barnier”, déclare Gérald Darmanin lors de sa rentrée à Tourcoing.
Avant d’ajouter: “Je sais aussi que nous serons nombreux à ne pas soutenir un gouvernement qui voudrait augmenter les impôts. Cela serait contraire à ce que nous avons fait, contraire aux résultats des élections ”.
Pour lui, augmenter les impôts, c'est "décourager l'initiative, c'est ouvrir des usines à chômage, c'est ne pas respecter le travail".
"L'argent des plus aisés doit aller dans la création d'emplois, pas dans les caisses publiques", souligne l'ancien ministre de l'Intérieur.
Gérald Darmanin souhaite renouer avec la “France populaire”
“Le bloc central que nous représentons est en rupture avec les personnes modestes, les Français populaires”, déclare Gérald Darmanin.
“Cette rupture sociologique doit profondément réveiller notre conscience”, a-t-il ajouté. " Nous ne pouvons pas laisser la france populaire nous ignorer et nous même ignorer la france populaire".
Édouard Philippe estime qu'il va "falloir tout faire pour que le gouvernement Barnier réussisse"
Le fondateur d'Horizons, Édouard Philippe, appelle lors de la rentrée politique de Gérald Darmanin à Tourcoing, à "tout faire pour que le gouvernement Barnier réussisse".
"Nous avons tous intérêt à ce que ça marche", a ajouté le maire du Havre. "C’est notre responsabilité à tous, que le gouvernement puisse avancer, avec le plus de stabilité possible".
Édouard Philippe a notamment appelé à "réfléchir" et à penser "cette nouvelle question sociale".
Bernard Cazeneuve tacle "l'irrationalité, le sectarisme" qui ont conduit Michel Barnier à Matignon
L'ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve et ancien socialiste fustige "l'irrationalité, le sectarisme, les logiques de recroquevillement" qui ont conduit à mettre au pouvoir Michel Barnier, lors de l'université de rentrée du Modem.
"À la tête du gouvernement se retrouve un homme pour lequel j'ai du respect et dont je ne souhaite pas l'échec mais qui est le représentant de la formation presque la plus petite du parlement en nombre de sièges" et "qui n'a pas participé au Front républicain" lors des élections législatives, déplore Bernard Cazeneuve.
"Ça crée des divisions": Manuel Bompard ne veut pas d'une primaire pour désigner un candidat unique à gauche
Le coordinateur de LFI Manuel Bompard réaffirme sur France Inter son opposition à une primaire pour la désignation d'un candidat unique de la gauche à la présidentielle, comme le suggère le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, opposé à une candidature de Jean-Luc Mélenchon au nom de la gauche rassemblée.
"Les primaires, ça crée des divisions, ça crée des clivages et au lendemain de la primaire, vous avez les opposants au candidat qui a finalement été désigné, qui vont soutenir un autre candidat", affirme Manuel Bompard.
Manuel Bompard indique que LFI n'a "pas encore" décidé s'il votera ou non la proposition d'abrogation de la réforme des retraites émanant du RN
Interrogé sur une potentielle abrogation de la réforme des retraites sur France Inter, le coordinateur de LFI Manuel Bompard rappelle que les députés de son parti ont déjà "déposé à l'Assemblée une proposition de loi" en ce sens. "Elle sera examinée normalement dans l'examen de notre niche parlementaire qui aura lieu à la fin du mois de novembre", dit-il.
"Si nous n'y parvenons pas, alors il y aura la niche du RN et alors notre groupe parlementaire déterminera collectivement sa position sur ce sujet. Notre décision n'est pas encore prise", explique-t-il.
"Nous ferons tout ce que nous pourrons pour obtenir l'abrogation de la réforme des retraites. Mais il est évident qu'il y a une forme de piège et d'exercice d'hypocrisie totale dans la proposition du RN", clame-t-il.
Marion Maréchal annonce qu'elle va "conduire une initiative politique" nouvelle
Marion Maréchal annonce sur BFMTV qu'elle va "conduire une initiative politique" nouvelle, sans préciser sous quelle forme. "Je travaille à la meilleure façon de le faire, vous en saurez plus d'ici quelques jours ou semaines", précise-t-elle simplement.
"Je souhaite la victoire du camp national", rappelle l'ex membre du Rassemblement national. "Je ne veux travailler qu'à cela dans les années à venir et je souhaite que cette coalition puisse arriver au pouvoir avec pour conditions de tirer les leçons de l'échec des législatives, à savoir qu'aujourd'hui nous ne rassemblons pas assez de Français", indique l'eurodéputée.
"Pour dépasser cette difficulté, il faut que nous acceptions de travailler en partenariat avec différentes forces politiques", estime Marion Maréchal, appelant pour "l'union des droites".
Marion Maréchal estime que la mort de Philippine signe une "faillite de l'État"
Marion Maréchal estime sur BFMTV que la mort de Philippine signe une "faillite de l'État à tous les niveaux".
"C'est l'État qui a créé les conditions pour qu'un prédateur dangereux soit importé sur le sol français reste sur le sol français et soit libéré alors qu'il était identifié comme dangereux", estime-t-elle.
Marion Maréchal assure qu'elle n'a "jamais eu l'intention de revenir au RN"
Marion Maréchal assure qu'elle n'a "jamais eu l'intention de revenir au RN" dont elle a été exclue. "Si j'avais pu le faire je l'aurais fait il y a des années déjà", jure-t-elle.
"Non pas que j'ai des désaccords systématiques avec eux, mais j'ai des singularités sur les questions économiques et sociétales que je veux pouvoir exprimer", explique-t-elle.
Marion Maréchal "n'attend rien" de ce gouvernement "transitoire"
Marion Maréchal assure qu'elle "n'attend rien" de cette "phase transitoire", parlant du gouvernement de Michel Barnier.
"Il y aura quelques tentatives de baisses des dépenses publiques", seulement, avance-t-elle. Mais "ce que je crains c'est que, dans l'univers socialiste mental dans lequel nous évoluons, on a l'air d'aller davantage vers une augmentation de la fiscalité que vers une baisse des dépenses publiques", assure-t-elle.
Marion Maréchal "craint que Bruno Retailleau n'obtienne pas de résultats"
L'eurodéputée du groupe Conservateurs et réformistes Marion Maréchal, invitée de BFM Politique, dit "craindre que Bruno Retailleau n'obtienne pas de résultats" au ministère de l'Intérieur.
"Le problème de Bruno Retailleau, au delà de ses intentions affichées, on va attendre les actes, c'est qu'il a accepté de faire partie d'un gouvernement aujourd'hui tenu par le centre avec un ministre de la Justice de gauche", dit-elle.
"Pour avoir des résultats sur le plan sécuritaire, il ne s'agit pas juste de donner des moyens aux policiers, il faut derrière que la justice fasse son travail", estime-t-elle. Or "s'il n'y pas une vision commune, une action commune entre l'Intérieur et la Justice vous ne pouvez pas espérer avoir des résultats", dit Marion Maréchal.
Gouvernement: Marc Fesneau affirme que le Modem "n'acceptera plus d'être les vassaux de qui que ce soit"
Le chef de file des députés Modem à l'Assemblée nationale Marc Fesneau promet de "dire non" comme son parti ne l'a pas fait "depuis trop longtemps", à propos de l'entrée de membres du parti centriste au gouvernement de Michel Barnier.
Marc Fesneau assure que son camp "n'acceptera plus d'être les vassaux de qui que ce soit", lors de l'université de rentrée du Modem qui se tient dans le Morbihan.
Marion Maréchal invitée de BFM Politique à partir de 12 heures
La députée européenne d'extrême droite Marion Maréchal sera l'invitée de BFM Politique à partir de 12 heures. Ce sera à suivre sur BFMTV.
"Se regrouper au-delà des frontières traditionnelles": Bayrou salue la venue de Cazeneuve à l'université de rentrée du Modem
Le président du Modem François Bayrou salue la venue de l'ancien socialiste, un temps pressenti pour devenir Premier ministre, Bernard Cazeneuve à l'université de rentrée du Modem aujourd'hui à Pau.
"Cette présence est un message", assure François Bayrou. "C'est la conviction profonde que nous avons que, dans la situation où la France se trouve, il est impossible de répondre aux défis du pays si l'on n'est pas capable de se regrouper au-delà des frontières traditionnelles", dit-il, aux côtés de l'ancien Premier ministre de François Hollande.
Michel Barnier attendu, à deux jours de son discours de politique générale
J-2 pour le nouveau locataire de Matignon. Michel Barnier doit prononcer mardi son discours de politique générale, passage obligé pour tout nouveau Premier ministre.
Depuis sa nomination le 5 septembre, peu de choses ont filtré sur les lignes directrices qu'il entend donner à sa politique. Tout au plus a-t-il esquissé quelques pistes fiscales dans une interview vendredi, à la suite d'un séminaire gouvernemental, affirmant qu'il "protégerait de toute augmentation fiscale ceux qui sont sur le terrain, qui travaillent, qui produisent".
Michel Barnier se sait pourtant attendu au tournant. "Je suis là depuis 20 jours, je ne sais pas pour combien de temps", reconnaissait-il hier en déplacement à Mâcon (Saône-et-Loire) au 130e congrès des sapeurs-pompiers.
Olivier Faure estime que Jean-Luc Mélenchon "ne peut pas être le candidat de toute la gauche" en 2027
Le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon "a l'intention d'être candidat à la présidentielle" en 2027, "mais il ne peut pas être le candidat de toute la gauche", a affirmé hier dans une interview à Ouest-France le premier secrétaire du PS, Olivier Faure.
"Pour être au deuxième tour en 2027, nous devrons présenter une personnalité qui rassemble toutes les sensibilités de la gauche écologique et sociale. Et Jean-Luc Mélenchon a tout fait pour ne pas être ce candidat-là", ajoute le député de Seine-et-Marne.
"Ce que je trouve est extrêmement grave, et je pèse mes mots": Michel Barnier alerte sur la situation des finances publiques
Le Premier ministre tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme. Michel Barnier a estimé hier que la situation des finances publiques était "extrêmement grave" et a souligné les difficultés de préparer un budget en quelques jours.
"Ce que je trouve, je le dis sans polémique, est extrêmement grave, et je pèse mes mots", a-t-il clamé.
27 députés macronistes s'opposent à une hausse des impôts
Vingt-sept députés du groupe macroniste Ensemble pour la République (EPR) s'opposent, dans un texte publié par La Tribune samedi soir, à toute augmentation des impôts, alors que le Premier ministre Michel Barnier envisage de faire contribuer davantage ceux qui le peuvent, "de manière exceptionnelle et temporaire".
"Il nous paraît (...) impensable qu'après sept années de baisse d'impôts ce soit l'alliance du bloc central qui finisse par renoncer à la stabilité fiscale pour les augmenter", écrivent Mathieu Lefèvre et Charles Rodwell, rejoints par les anciennes ministres Aurore Bergé et Marie Lebec, ou par l'ancien président du groupe Sylvain Maillard.
Les auteurs estiment également "impensable" de remettre en question le "cap clair défini par les trois lois de programmation budgétaires des ministères de l'Intérieur, de l'Armée et de la Justice".
La présidente PS de la région Occitanie Carole Delga plaide pour une "équipe" de la "gauche de gouvernement"
La présidente PS de la région Occitanie Carole Delga a plaidé hier pour une "équipe" de la "gauche de gouvernement", devant les tenors sociaux-démocrates réunis dans l'Aude.
"Nous devons agir pour démontrer que la gauche de gouvernement, elle est là, bien présente, et qu'elle se prépare", a-t-elle lancé.
"On est tous ensemble, on est une équipe", a affirmé Carole Delga, évoquant "une gauche de gouvernement" qui "aime l'entreprise" et "sait allier social et écologie".
"Tout faire pour que ça ne se reproduise pas": Bruno Retailleau revient sur la mort de Philippine
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau revient aujourd'hui dans le JDD sur la mort de Philippine, retrouvée enterrée dans le bois de Boulogne.
"L'engagement intérieur que j'ai pris dès le début de la semaine, c'est de tout faire en sa mémoire, quitte à bousculer les règles, à renverser la table, pour que ça ne se reproduise pas", promet-il.
"Quand on fait le bon diagnostic, on peut apporter les bons remèdes", juge-t-il à propos de cette affaire, refusant l'expression de "fait divers". "Un politique doit refuser cette fatalité", dit-il encore.
Charles de Courson n'exclut pas de voter pour la censure du budget
À deux jours du discours de politique générale du nouveau Premier ministre, le rapporteur général du Budget Charles de Courson assure auprès du JDD qu'il n'exclut pas de voter pour la censure du prochain budget qui doit être présenté le 9 octobre.
"Nous en discuterons au sein de notre groupe parlementaire et nous jugerons sur pièce. Nous ne sommes pas dans une opposition systémique", dit-il.
"Nous sommes prêts à voter des textes qui vont dans le sens de nos priorités, à condition que certains de nos amendements soient pris en compte", ajoute-t-il.
Le Modem tient son université de rentrée dans le Morbihan
Le Modem fera lui aussi sa rentrée, mais du côté du Morbihan, à Guidel ce dimanche.
Le président du groupe des Démocrates à l'Assemblée et député Marc Fesneau sera sans surprise au rendez-vous, tout comme le président du parti François Bayrou.
L'ex-socialiste Bernard Cazeneuve devrait également être présent.
Gérald Darmanin fait sa rentrée à Tourcoing
Bonjour à tous et bienvenue dans ce direct consacré à l'actualité politique de ce dimanche 29 septembre.
L'ex-ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin va faire sa rentrée politique à Tourcoing, dans le Nord, où il est député.
Sorti bredouille du nouveau gouvernement, l'ancien locataire de la place Beauvau entend ne pas se faire oublier.
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