Emmanuel Macron assure qu'"aucun pays n'a fait autant pour ses étudiants pendant le Covid"

Emmanuel Macron sur le plateau de C à vous le 18 avril 2022.
Ce live est terminé
Merci d'avoir suivi l'actualité de la campagne présidentielle avec nous ce lundi.
Mardi, retrouvez sur BFMTV la première interview de Jean-Luc Mélenchon depuis le premier tour, à 18h50.
Et mercredi, le débat d'entre-deux tours organisé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen sera à suivre sur BFMTV dès 20h50.
Marine Le Pen "condamne" l'offensive russe dans le Donbass
La candidate du Rassemblement nationale Marine Le Pen à la présidentielle a affirmé ce lundi "condamner" l'offensive russe dans le Donbass débutée ce lundi soir, alors que ses opposants lui ont reproché à plusieurs reprises ses ambiguités vis-à-vis de la Russie.
"Je condamne l’offensive de la Russie contre le peuple ukrainien au Donbass. Nous devons soutenir tous les efforts diplomatiques possibles pour arriver à un cessez-le-feu et imposer la paix à la Russie", a-t-elle appelé disant vouloir que l"Ukraine retrouve son entière souveraineté".
S'il n'est pas réélu, Macron n'a "pas de plan B" car "c'est impossible d'en avoir un"
"C'est impossible d'en faire", déclare Macron sur un éventuel plan B s'il n'est pas réélu ce dimanche.
"Je m'occuperai des miens d'abord et je réfléchirais à la suite", tente-t-il de répondre, "c'est impossible de penser maintenant à la suite. On en est incapable. C'est impossible."
Et le président-sortant de continuer en citant l'exemple de la chancellière allemande: "je vais vous parler très sincérement: on ne se ment pas à soi-même...Savoir déjà, c'est impossible. Regardez Madame Merkel, elle a pris quatre mois pour réfléchir. Il faut d'abord se libérer l'esprit parce que l'esprit n'est pas libre quand on a la charge. Il faut d'abord ré-apprendre à ne rien faire, à lire et puis se projeter."
"Pas d’autorité administrative indépendante pour surveiller les Ehpad", annonce Macron
"Il n'y aura pas d’autorité administrative indépendante pour les Ehpad parce que c’est le devoir de l'État", a répondu Emmanuel Macron à un citoyen qui lui posait la question dans C à Vous.
"Je ne veux pas déléguer ça à un autre acteur", a-t-il expliqué. "C’est une vraie politique sociale (...) Il faut quelqu’un qui surveille, c’est le rôle du Défenseur des droits (...) C’est à nous de bien faire la chose", a déclaré le candidat En Marche.
Le président sortant évoque à la place un "corps de contrôle" de l’État, en lien avec le ministère de la Santé et des Solidarités.
Sur l'Ukraine, "le jour d'après ne sera pas un retour à la normale", prévient Macron
Interrogé sur l'Ukraine, Macron prévient: "le jour d’après ne sera pas un retour à la normale". Le président sortant n’exclut pas toutefois de rediscuter de vive voix avec Poutine.
Il a ajouté que pour le moment, "il n'y aura pas de ligne rouge" posée avec la Russie. "Si on met une ligne rouge, il faudra réagir derrière", précise-t-il, citant l'exemple de la Syrie et des armes chimiques, ligne rouge à l'époque face à Bachar el-Assad.
"Le vote est un devoir. À 2000 km d’ici, la démocratie est bombardée", alerte Macron en visant les abstentionnistes
"Le vote, c’est un devoir", a affirmé Macron interrogé dans C à Vous sur l'abstention et le vote blanc. "À 2000 km d’ici, la démocratie est bombardée... La démocratie, ce n’est pas un luxe, c’est voter pour vos prochains dirigeants", a-t-il développé.
Repensez à ce que les citoyens britanniques quelques heures avant le Brexit se disaient... Ou repensez aux États-Unis... Je peux vous dire que le lendemain, ils ont regretté de ne pas être allés voter", a prévenu le président sortant.
"Monsieur Blanc, ce n’est pas quelqu’un qui prend des décisions en période de crise (...) La démocratie, c’est le fruit de consensus", a-t-il ajouté.
Pour Macron, "aucun pays n’a fait autant pour ses étudiants pendant le Covid"
Emmanuel Macron a répondu à un étudiant qui l'a invectivé sur les files d'étudiants à l'aide alimentaire pendant la crise sanitaire. "En France, on a jamais vu autant de jeunes faire la queue pour un sansdwich en triangle, on n'a jamais vu ça... C’est aberrant de voir ça en France", s'est insurgé le jeune homme.
"Aucun pays n’a autant fait pour ses étudiants pendant le Covid", lui a rétorqué le président-candidat en énumérant le nombre d'étudiants boursiers (un tiers selon lui) et la mise en place de repas à 1 €, même pour les non-boursiers;
Pour le chef de l'État, dans ces files de repas se trouvaient surtout "des étudiants étrangers qui ne bénéficiaient pas de bourse".
Sur le logement étudiant toutefois, Emmanuel Macron reconnaît un gros problème. "On va continuer le travail", promet-il, avant d'ajouter: "40% des jeunes boursiers ont des aides au logement insuffisantes parce qu'ils ne vivent pas chez leurs parents. Il faut aider davantage ceux-là qui habitent dans une ville différente (...) Les aides sont mal faites parce qu'elles ne prennent pas en compte les revenus des parents". S'il est réélu, le chef de l'État annonce qu'il s'en occupera.
Débat d'entre-deux tours: Macron n'a récusé "aucun journaliste et aucun réalisateur"
Interrogé sur le débat de l'entre-deux tours prévu ce mercredi et sur la consultation des deux protagonistes, Emmanuel Macron a tenu à répondre qu'à la différence de sa rivale, il n'a "récusé aucun journaliste ni aucun réalisateur".
Un tacle en lien avec les nombreux épisodes où le RN a refusé des journalistes -notamment ceux de l'émission Quotidien qualifiée d'"amuseurs"- lors de ses différents déplacements et meetings.
"La consultation des candidats marche si la liste rouge n’est pas trop longue", a rajouté le président sortant avant de s'adresser aux journalistes de C à Vous face à lui: “j’ai compris que vous étiez aussi sur liste rouge (...) Ma position, qu'il s'agisse d'une grande chaîne privée ou d'une grande chaîne publique, c’est que les journalistes sont des professionnels émérites et reconnus."
Sur la fin de vie, la consultation des citoyens se fera sur une question précise
Pas de consultation citoyenne sur la fin de vie comme on l'a connu en 2019 sur le climat. Emmanuel Macron déclare vouloir changer de méthode.
"Le problème avec la Convention citoyenne pour le climat -et là, c'est ma faute- c'est que le sujet était trop large", a expliqué le président en campagne.
"Ce que j'ai appris des Irlandais qui pratiquent la convention citoyenne depuis plus longtemps que nous, c'est qu'il faut que la question soit précise", a-t-il ajouté.
Sans donner d'indice sur la question qui sera soumise aux citoyens, Macron précise que ce sera le rôle du comité d'éthique de la formuler.
"Ce sera de nature très différente. La consultation citoyenne suivra une autre méthode", conclut Macron qui promet un quinquennat dans une autre veine que le précédent.
"Sur le chômage, le problème n'est pas réglé, mais on a été efficace", déclare Macron
Interrogé dans C à Vous sur sa méthode que certains critiquent comme étant peu associante, Emmanuel Macron s'est justifié en citant l'exemple du chômage. "On n'en parle pas du tout du chômage dans cette campagne", a-t-il souligné.
"C'est la preuve qu'on a été efficace. Le problème n'est pas réglé, mais on a été efficace", a déclaré le chef de l'État en campagne.
"En 2016, c'est un sujet qui était partout", a ajouté le président-sortant.
Avec un taux de chômage à 7,4%, l'année 2021 s'achève par une bonne nouvelle pour l'exécutif. Fin 2016, il était de 9,6%.
"La société post-covid" a besoin de "bienveillance", constate Macron, qui promet du changement
Le chef de l'État en campagne est sur le plateau de C à vous ce lundi sur France 5. À Marseille lors de son dernier meeting, il a promis le changement pour ces cinq années à venir qui ne seront pas dans le sillon des cinq précédentes.
"La société en sortie de Covid est tellement fracturée... Ces deux années ont été très dures, il faut aussi de la bienveillance", a constaté Emmanuel Macron, interrogé sur ces promesses de changements.
"On apprend... Et c'est vrai que la difficulté pour un président sortant, c'est aussi de dire pourquoi on veut à nouveau la confiance de nos compatriotes, ce n'est pas pour faire la même chose (...) Il y a eu des crises et on apprend la façon dont fonctionne le pays, on apprend à revoir la manière et la méthode", avait auparavant expliqué le président-sortant, ajoutant ensuite que les moments de son quinquennat où il avait promis d'évoluer, il l'avait toujours fait.
"L'extrême droite et ce que je défends, ce n'est pas la même chose", lance Macron
"Quand on doit choisir, on doit regarder la nature des projets. Et là, ce qui me met en colère, c'est les gens qui disent 'ça se vaut'. Pardon, mais c'est pas la même chose, le projet de Mme Le Pen et le mien. L'extrême droite et ce que je défends, ce n'est pas la même chose", a argué Emmanuel Macron dans un entretien à Quotidien diffusé ce lundi, enregistré samedi à Marseille.
"Si les Français me font confiance le 24 avril, je sais très bien, comme c'était le cas il y a cinq ans, qu'il y a une partie des gens qui ont voté pour moi qui l'auront fait pour faire barrage au Front national, et donc ça veut pas dire qu'ils me font un chèque en blanc et qu'ils soutiennent et trouvent formidable chaque point de mon programme", a poursuivi le président-candidat.
Macron pourrait l'emporter avec 56% des voix, contre 44% pour Le Pen, selon un nouveau sondage
Dimanche prochain, Emmanuel Macron pourrait être réélu à l'Élysée avec 56% des voix, contre 44% pour Marine Le Pen, selon le sondage quotidien d'Ipsos Sopra Steria de ce lundi, réalisé pour Le Parisien, Radio France et France Télévisions.
La marge d'erreur est estimée à 3,2 points.
Marine Le Pen dit qu'elle va "travailler" chez elle en vue du débat de l'entre-deux-tours
Interrogée sur sa préparation du débat de l'entre-deux-tours avec Emmanuel Macron mercredi, Marine Le Pen a affirmé qu'elle allait "travailler (...) chez (elle)".
"Il n'y a pas un seul candidat à la présidentielle qui ne prépare pas un débat, si on vous dit l'inverse c'est qu'on vous ment", a lancé la candidate du Rassemblement national sur France Bleu Normandie. "Je vais travailler mon débat, chez moi, de manière tout à fait normale", a-t-elle affirmé.
Ehpad: Marine Le Pen évoque la possibilité de "structures mutualistes"
"Il pourrait y avoir très bien des structures mutualistes" pour les Ehpad, a déclaré Marine Le Pen ce lundi sur France Bleu Normandie, évoquant la nécessité des contrôles. Une proposition qu'elle avait déjà formulé.
"Il faut aussi qu'il y ait un médecin coordinateur, il faut aussi qu'il y ait une infirmière 24 heures sur 24", a poursuivi la candidate d'extrême droite. "Ça n'est pas le cas dans tous les Ehpad", a-t-elle ajouté.
Marine Le Pen se dit "fondamentalement attachée à l'oeuvre du général de Gaulle"
"Je suis fondamentalement attachée à l'oeuvre du général de Gaulle, et l'oeuvre du général de Gaulle, c'est la Constitution de la Ve république", a déclaré ce lundi Marine Le Pen sur France Bleu Normandie, jugeant cette Constitution "affaiblie".
Marine Le Pen réitère son souhait d'un "gouvernement d'union nationale"
Sur France Bleu Normandie ce lundi, Marine Le Pen a réitéré son souhait d'un "gouvernement d'union nationale", avec, si elle était élue présidente de la République, des personnalités issues "très certainement de la droite et très certainement de la gauche". Elle assure vouloir "prendre le meilleur de la droite et le meilleur de la gauche".
"La France entière est un désert médical", juge Marine Le Pen
Interviewée sur France Bleu Normandie ce lundi, Marine Le Pen a jugé qu'il n'y avait pas que la ruralité qui était confrontée au manque de soignants.
"La France entière est un désert médical, il ne faut pas croire que c'est que dans la ruralité", a lancé la candidate d'extrême droite ce lundi, jugeant que l'Île-de-France, comme l'hôpital et les écoles étaient "un désert médical".
Appel de Valérie Pécresse: elle a récolté 1,4 million d'euros sur les 5 millions nécessaires
Valérie Pécresse qui a lancé un appel aux dons le 11 avril dernier a récolté 1,4 million d'euros d'après son entourage.
"C'est un fort élan mais le compte n'y est pas", avancent ses proches alors que l'ex candidate a besoin de 5 millions d'euros.
La somme correspond au prêt qu'a fait la représentante des LR à la présidentielle.
Marine Le Pen dénonce "les invectives et les outrances" de Gabriel Attal
A trois jours du débat de l'entre-deux-tours, Marine Le Pen espère qu'il ne sera pas "une succession d'invectives, de fake news, d'outrances" en citant Gabriel Attal.
Le porte-parole du gouvernement a eu un vif échange avec Jordan Bardella ce dimanche sur France inter, jugeant que la Russie était "partout dans le programme" du RN.
"Macron se planquait à l'Elysée": Aliot dénonce la campagne de premier de tour du président
Alors qu'Emmanuel Macron a estimé ce matin que Marine Le Pen était "planquée", Louis Aliot lui répond.
"On assume le fait d'avoir fait une campagne depuis huit mois sur le terrain pendant que Monsieur Macron se planquait à l'Elysée derrière sa politique étrangère", avance le maire RN de Perpignan.
"Campagne de diffamation": Laurent Jacobelli dénonce la stratégie d'Emmanuel Macron
A trois jours du débat de l'entre-deux tours, les proches de Marine Le Pen haussent le ton contre Emmanuel Macron.
"C'est un candidat pochette-surprise. Il a dit votez pour ma bonne mine. Et bien, on a vu, merci. Et puis, on a vu la violence des mots, des gestes et d'une campagne d'une grande diffamation", juge Laurent Jacobelli, le porte-parole de la candidate ce matin sur CNEWS.
Emmanuel Macron compare Marine Le Pen Le Pen à Viktor Orbán sur ses projets constitutionnels
Alors que Marine Le Pen veut multiplier le recours aux référendums en cas d'élection, Emmanuel Macron réfute cette vision.
"J’ai un clivage profond avec la candidate d'extrême droite. Je suis pour réformer la Constitution en respectant la Constitution. Elle, elle propose une réforme de la Constitution sans respecter la Constitution. Ça se fait très bien en Hongrie, ça se fait à la main", dénonce le président ce matin sur France culture.
"Une présidentielle, ça ne vaut pas un changement de régime. Une fois élue, son implicite, c’est qu’elle estime qu’elle est supérieure à la Constitution, c’est grave", juge encore le candidat.
Borne nommée à Matignon en cas de second mandat de Macron? "Ce n'est pas du tout le sujet du moment", balaye l'intéressée
Alors que plusieurs articles de presse font état de rumeurs selon lesquelles la ministre du Travail Élisabeth Borne pourrait être nommée à Matignon en cas de second mandat d'Emmanuel Macron, l'intéressée a balayé l'hypothèse ce lundi:
"Je crois que ce n'est pas du tout le sujet du moment, on a un deuxième tour dans quelques jours, moi je suis vraiment concentrée sur la réélection d'Emmanuel Macron, c'est vraiment un moment crucial je pense pour notre pays, pour notre démocratie, pour les Français", a botté en touche la ministre sur BFMTV-RMC.
"On veut équilibrer le système de retraites", défend Élisabeth Borne
"On veut équilibrer le système de retraites. Contrairement à Marine Le Pen, on n'essaie pas de faire croire aux Français qu'on pourrait travailler moins longtemps sans payer plus d'impôts ou sans avoir des pensions plus basses", a taclé la ministre du Travail Élisabeth Borne ce lundi, invitée de BFMTV-RMC.
"Évidemment, on tient compte de la situation de ceux qui ont commencé à travailler tôt", a ajouté la ministre pour défendre la réforme des retraites voulue par le président-candidat Emmanuel Macron.
Violences policières: Emmanuel Macron ne connaît "aucun policier qui s'engage pour affronter le peuple"
Emmanuel Macron est revenu sur les affrontements entre les Gilets jaunes et les forces de l'ordre.
"Est-ce qu’il était nécessaire que pendant tant de semaines, tant de compatriotes estimaient que sortir, casser avec des armes (...) était la chose à faire ? Je ne connais aucun gendarme, aucun policier qui s’engage pour affronter le peuple", juge le président ce matin sur France culture.
"C’est comme s’il y a eu des cohortes de policiers qui ont déboulé dans la rue avec des LBD (quand j'entends parler de violences policières", avance encore le candidat.
353 Gilets jaunes ont été blessés à la tête, dont 30 éborgnés, d'après le décompte du journaliste David Dufresne.
"Je n'ai pas suffisamment pensé l'écologie", reconnaît le président
Emmanuel Macron continue son offensive sur les thématiques écologiques alors qu'il cherche à convaincre les électeurs de Jean-Luc Mélenchon.
"J'ai évolué sur la pensée de l'écologie, je n’ai pas suffisamment pensé là-dessus. J'ai besoin de connaître la théorie pour pouvoir, après, construire une vision", explique le président ce matin sur France culture.
"La candidate d'extrême droite se planque", accuse Emmanuel Macron
Le président-candidat porte un regard sévère sur son adversaire alors qu'il laboure le terrain ces derniers jours.
"La candidate d’extrême droite se planque du peuple. Beaucoup de gens qui défendent le peuple, finalement, on les voit rarement discuter avec le peuple. Ils ont une violence verbale qui surprendrait s'ils allaient au contact", juge Emmanuel Macron ce lundi sur France culture.
Emmanuel Macron reconnaît "beaucoup d'angoisse et de fatigue" parmi les Français
Le président revient longuement sur le contexte de l'élection, à 6 jours du premier tour, dans une interview à France culture.
"Il y a beaucoup d’angoisse et de fatigue. C’est ce subtrat profond dans lequel on va vivre dans les prochaines années et qui structure cette campagne. (...) On a vécu pendant 2 ans l'impensable avec la pandémie, et avec le retour de la guerre en Europe", avance Emmanuel Macron ce matin sur la radio publique.
Marine Le Pen se rendra à Caen
Pour cette dernière ligne droite avant le second tour, la candidate du RN se rend aujourd'hui à Caen. Marine Le Pen n'a obtenu que 11% des voix dans cette ville du Calvados, derrière Emmanuel Macron (32%) et Jean-Luc Mélenchon (28%).
Elle a jusqu'ici concentré ses déplacements sur des terres qui ont massivement voté pour elle. Après un meeting à Avignon jeudi, qui a plébiscité la France insoumise au premier tour, Marine Le Pen veut donc aller à la rencontre des Français qui ne lui sont pas favorables.
Bonjour à toutes et à tous
Bienvenue dans ce live politique du lundi 18 avril.
Au menu des matinales ce matin:
07h40 France Culture : Emmanuel Macron
07h50 RMC : Agnès Pannier-Runacher et Philippe Ballard
08h15 Cnews : Clément Beaune et Laurent Jacobelli
08h19 RFI : Jérôme Rivière
08h20 France Inter : Louis Aliot
09h15 Sud Radio : David Rachline
13h00 France Bleu Normandie : Marine Le Pen