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CAFÉ POLITIQUE - Pour Bachelot, la guerre, "c'est comme la coke"

"Il joue très gros, parce que la guerre c'est comme la coke, c'est bon au début mais après ça détruit".

"Il joue très gros, parce que la guerre c'est comme la coke, c'est bon au début mais après ça détruit". - -

Comme chaque matin, bfmtv.com sélectionne pour vous le meilleur de l'information politique. La vision de Roselyne Bachelot, la vision de Valérie Précresse,

"La guerre c'est comme la coke"

En 1942, Antoine de Saint-Exupéry comparait la guerre à une maladie. 70 ans plus tard, Roselyne Bachelot la compare à une drogue. Deux époques, deux personnes, deux styles. Ex-ministre de la Santé muée depuis peu en chroniqueuse TV, Roselyne Bachelot n'en est pas moins toujours une fervente opposante à la politique du gouvernement, projet de loi sur le mariage homosexuel exepté.

Interrogée dimanche sur France 2 sur l'intervention française au Mali, elle a estimé que le président de la République François Hollande n'"avait pas changé". "Il est obligé de s'adapter, il est maintenant en guerre, il a pris des décisions que n'importe quel président aurait pris", a-t-elle minimisé, avant de dévier quelque peu du sujet : "Il joue très gros, parce que la guerre c'est comme la coke, c'est bon au début mais après ça détruit".


Bachelot : "La guerre, c'est comme la coke..." par LeHuffPost

Sarkozy aurait fait mieux

On est fan de Nicolas Sarkozy ou on ne l'est pas. Et dans les soutiens indéfectibles à l'ancien président de la République, Valérie Pécresse fait office de modèle. Interrogée lundi sur France Info au sujet de l'intervention militaire au Mali, l'ancienne ministre a expliqué que la France aurait été "moins isolée", si elle avait été dirigée par Nicolas Sarkozy. "Ce qui me tracasse dans cette intervention, c'est de voir par exemple l'isolement de la France. Je pense que si ça avait été Nicolas Sarkozy, nous serions partis à la bataille avec certainement beaucoup plus de soutiens.Je souhaite qu'une initiative diplomatique nous permettre d'être moins seuls", a-t-elle dit.

Le roi est mort, vive Christine

21 janvier 1793, 10 heures 22, Louis XVI est guillotiné place de la révolution (place de la Concorde) à Paris. "Peuple, je meurs innocent", lâche-t-il dans un soupire, avant que le couperet ne tombe. Depuis, des messes de requiem sont célébrées en France en l'honneur de l'ancien roi, en ce jour anniversaire. Comme le veut la tradition, on y lit son testament, écrit quelques jours avant sa mort, le jour de noël. Christine Boutin n'oublie pas. "En hommage à Louis XVI, dont le testament révèle son amour pour Dieu, sa famille et son peuple",commente ce lundi 21 décembre 2013 l'ancienne ministre, sur son compte Twitter.