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Royaume-Uni: la tension monte devant la maternité où Kate Middleton doit accoucher

Une Britannique devant l'hôpital St Mary de Londres, où Kate, l'épouse du prince William, doit accoucher bientôt de son deuxième enfant, le 16 avril 2015

Une Britannique devant l'hôpital St Mary de Londres, où Kate, l'épouse du prince William, doit accoucher bientôt de son deuxième enfant, le 16 avril 2015 - LEON NEAL, AFP

La tension monte doucement devant l'hôpital St Mary de Londres, où Kate, l'épouse du prince William, doit accoucher bientôt de son deuxième enfant, avec l'installation jeudi de barrières métalliques censées canaliser la fougue des médias. La duchesse de Cambridge doit donner naissance d'ici la fin du mois d'avril à la petite soeur ou au petit frère du prince George, dans l'aile privée de l'hôpital, où l'accouchement et les premières 24 heures sont facturées 7.200 euros minimum.

Le prince George, comme son père William avant lui, est né dans la même maternité le 22 juillet 2013, au milieu d'une cohue journalistique indescriptible et au terme d'un interminable siège médiatique de plus de trois semaines. Dès la mi-juin, les télévisions du monde entier avait installé leurs chapiteaux, escabeaux et caméras devant la porte en bois de l'aile Lindo, avant de se marcher sur les pieds jusqu'à l'arrivée du possible futur roi.

Pour prévenir une pagaille similaire, le palais de Kensington a cette fois sérieusement serré la vis et interdit toute installation médiatique jusqu'à ce que la duchesse soit officiellement admise à la maternité. D'ici là, les journalistes n'auront ni le droit de filmer ni de laisser d'équipement sur place. Les autorités espèrent éviter ainsi le camping sauvage de 2013.

Des ouvriers installent des barrières devant l'hôpital St Mary de Londres, où Kate, l'épouse du prince William, doit accoucher bientôt de son deuxième enfant, le 16 avril 2015
Des ouvriers installent des barrières devant l'hôpital St Mary de Londres, où Kate, l'épouse du prince William, doit accoucher bientôt de son deuxième enfant, le 16 avril 2015 © LEON NEAL, AFP
la rédaction avec AFP