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Musique

Universal "dément formellement" s'être séparé de Vanessa Paradis

Vanessa Paradis

Vanessa Paradis - Loic VENANCE © 2019 AFP

La major répond à un article de Paris Match, selon lequel la chanteuse et d'autres artistes ont été remerciés par Barclay, l'une de ses maisons de disques.

Dans un communiqué publié mercredi sur Twitter, Universal Music assure ne pas avoir résilié les contrats de Vanessa Paradis et d'autres artistes de chanson française. Un article publié dans le numéro de cette semaine de Paris Match affirme que la chanteuse de Tandem, mais aussi Jeanne Cherhal et Renan Luce ont été remerciés par Barclay, maison de disques qui appartient à la société. L'article évoque également le départ de Nolwenn Leroy.

"Universal Music France dément formellement ces allégations extrêmement graves et préjudiciables pour l'entreprise et les artistes eux-mêmes. Vanessa Paradis et Nolwenn Leroy poursuivent leur carrière chez Universal Music France tandis que les contrats de Jeanne Cherhal et Renan Luce ont pris fin après la sortie de leur dernier album respectif en 2019", assure la société.

Une collaboration de 20 ans

La maison de disques ajoute qu'Universal "se réserve le droit d'engager toute action judiciaire appropriée", et s'attarde sur l'un des éléments de l'article: "L'affirmation d'une source anonyme selon laquelle 'l'époque fait que les grosses maisons comme Universal ne croient tout simplement plus à la chanson' est totalement contredite par le nombre et la diversité des albums et artistes sortis récemment par Universal Music."

Paris Match affirme que Barclay a pris la décision de se séparer de Vanessa Paradis, en contrat depuis 2000, après "les ventes très décevantes" de son album Les Sources paru en 2018. L'article assure également que Nolwenn Leroy a "trouvé refuge" chez Zouave. Si la chanteuse figure bien au catalogue de cette filiale du label Tôt ou Tard, il s'agit là d'une société de production de concerts.

Benjamin Pierret