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Le Marseillais Paga, figure emblématique de la téléréalité, placé en garde à vue dans une enquête pour viol

Voiture de la gendarmerie (illustration)

Voiture de la gendarmerie (illustration) - DENIS CHARLET

Le candidat de téléréalité Paga, de son vrai nom Anthony Paggini, a été interpellé dans le cadre d'une enquête pour "viol", ce vendredi 8 août à Ramatuelle. Il est ressorti libre de garde à vue ce samedi en fin de journée.

Anthony Paggini, plus connu dans le monde de la téléréalité sous le pseudonyme Paga, a été interpellé vendredi 8 août 2025 près de la plage festive Casa Amor à Ramatuelle, selon les informations de Var-Matin, du Figaro et du blogueur Aqababe.

Il a été placé en garde à vue "dans le cadre d'une enquête ouverte du chef de viol", a indiqué le parquet de Draguignan à Var-Matin.

La star de téléréalité, candidat emblématique des Marseillais, aurait commencé à être entendue ce samedi matin, "après une nuit en cellule de dégrisement".

Anthony Paggini au Casa Amor ce vendredi 8 août 2025.
Anthony Paggini au Casa Amor ce vendredi 8 août 2025. © Capture d'écran Instagram paga_lmsa

Contactée par Le Figaro, Me Margaux Mathieu, l'avocate du candidat, indiquait en début d'après-midi qu'il "conteste fermement toute forme d'agression ou de viol". Elle ajoutait qu'il fallait "préserver la sérénité des investigations en cours" et "respecter la présomption d'innocence".

Ressorti libre de garde à vue

Il est ressorti libre en fin de journée, d'après Var-Matin. Selon les gendarmes, "les éléments recueillis ne permettent pas de prolonger la garde à vue", pour autant, le dossier a été transmis au parquet de Draguignan "pour des études supplémentaires".

Paga est marié à la candidate de téléréalité et créatrice de contenu Giuseppa Ciurleo depuis la fin de l'année 2023. Ils sont les parents de deux petites filles.

Anthony Paggini fait partie des Marseillais emblématiques. En parallèle, il est DJ et créateur de contenu.

Margaux Mathieu, son avocate, évoque dans un communiqué publié ce dimanche des "accusations très graves et infamantes" puis "infondées". Ajoutant: "Nous étudions actuellement les suites à donner à ces accusations calomnieuses."

Astrid Bergere