Nouvelle-Zélande: un multi-millionnaire propose à 10 personnes de venir habiter dans son "paradis"

L'auteur de l'annonce, un multi-millionnaire, décrit le lieu comme un "paradis" face à la mer de Tasmanie, au nord ouest de la Nouvelle-Zélande.

"Je voudrais partager ce 'paradis' avec des personnes sympathiques". Une annonce postée dans le NZ Herald's début décembre attire l'attention. Elle propose à dix personnes de venir habiter dans un "paradis" dans l'État d'Awakino, en Nouvelle-Zélande. 

L'auteur, qui se décrit comme un "businessman international", écrit qu'il a mis 10 ans pour adapter le lieu "aux standards d'aujourd'hui". Il souhaite accueillir "jusqu'à 10 personnes (femmes comme hommes) (...) Si vous avez moins de 70 ans et que vous voulez partager une nouvelle vie contactez nous".

D'après le journal local le Stuff, qui a relayé l'annonce, le multi-millionnaire est Karl Reipen, originaire d'Allemagne, qui a fait fortune dans les cafés glacés. Il n'est pas précisé dans l'annonce, ni dans l'article, sous quelles conditions il est possible d'aller habiter dans la propriété de 220 hectares.

"Cela peut être une nouvelle vie pour vous"

"L'État d'Awakino est bordé par la mer de Tasmanie et la rivière Awakino. Vous pourrez apprécier marcher, pêcher, faire les magasins, faire du kayak, observer les oiseaux, nager ou regarder de beaux animaux", est-il écrit dans l'annonce.

Le site néo-zélandais de promotion immobilière Baileys décrit l'État d'Awakino comme possédant l'un des fronts de mer "les plus spectaculaires de la Nouvelle-Zélande". La zone est située à environ une heure et demi d'Hamilton et une heure de New Plymouth, les deux grosses villes à proximité. 

L'annonce précise également qu'il est possible pour les futurs habitants de ramener leur cheval, car la propriété possède des étables et une arène. Les habitants pourraient loger dans des maisons pour deux. "Cela peut être une nouvelle vie pour vous", est-il écrit.

Le Stuff précise dans son article que Karl Reipen a acheté cette propriété au début des années 2000, et a essayé de la vendre en 2016, pour une valeur de 8,5 millions de dollars.

Salomé Vincendon