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Mexique

La policière démissionne après ses selfies topless en uniforme

Une voiture de police mexicaine, image d'illustration.

Une voiture de police mexicaine, image d'illustration. - Pedro Pardo - AFP

Nidia Garcia, une policière mexicaine, a quitté ses fonctions après la mise en ligne d'un selfie qui avait largement circulé sur Internet. Sur cette photo, elle posait seins nus, en uniforme et son arme de service à la main, dans la voiture dans laquelle elle patrouillait.

Son selfie topless dans sa voiture de service lui a valu de devenir une sensation du web du jour au lendemain. La policière mexicaine Nidia Garcia a été suspendue de ses fonctions dans l'attente d'une enquête sur une photo la montrant posant dans son uniforme, seins nus, serrant contre elle un fusil, a indiqué la police d’Escobedo, dans le nord-est du Mexique. Mais avant que l’enquête ne soit bouclée, la jeune femme a remis sa démission, ce qui a mis fin au processus administratif engagé contre elle, rapportent plusieurs médias dont le Daily Mirror.

Après que la photo est devenue virale, la policière a posté des excuses sur Facebook.

"Je présente mes excuses"

"Je présente mes excuses au Secrétariat de la justice de proximité (une force de police locale, Ndlr) et surtout à la ville d’Escobedo pour l’acte immoral que j’ai commis. Etant incapable de mettre en ligne une photo comme celle-là, je suis outrée par tout le mal que cette publication cause à mes deux filles, mon mari, les parents, les frères et toute la famille", a-t-elle écrit dans un message sur le réseau social.

"Je reconnais par la présente avoir commis une grande faute en posant pour cette photo, et je demande à ce que sujet soit laissé de côté. Cela m’a causé beaucoup de peine morale et psychologique et je voudrais m’excuser auprès de la municipalité. Nous sommes tous humains et nous faisons tous des erreurs."

Toutefois, d’autres photos d’elle, y compris topless, ont émergé après ce post. D’après des médias locaux cités par le quotidien britannique, des magazines et hommes d’affaires mexicains voulant capitaliser sur son actuelle popularité lui auraient proposé des contrats de mannequin.
V.R.