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Couvre-feu: voici la nouvelle attestation à télécharger pour pouvoir se déplacer entre 20h et 6h

Couvre-feu: voici la nouvelle attestation à télécharger pour pouvoir se déplacer entre 20h et 6h

À partir de ce mardi 15 décembre, aucune attestation ne sera nécessaire pour pouvoir se déplacer sur le territoire en journée. Il faudra toutefois se munir de son document pour pouvoir se déplacer pendant les horaires de couvre-feu, entre 20 heures et 6 heures du matin.  Pour pouvoir déroger à ce nouveau couvre-feu, il faudra désormais justifier: des raisons professionnelles, des motifs familiaux impérieux, assistance à une personne en situation de handicap, des raisons de santé, une mission d'intérêt général, ou encore les besoin des animaux de compagnie.

Fin du confinement, début du couvre-feu: ce qui change à partir de ce mardi

Fin du confinement, début du couvre-feu: ce qui change à partir de ce mardi

À partir de ce mardi, les Français retrouveront la liberté de circuler en journée. Comme annoncé par Emmanuel Macron, la date du 15 décembre correspond à la fin du deuxième confinement, mais de nombreuses restrictions resteront encore en place. Face à la situation sanitaire défavorable, les déplacements ne seront autorisés librement qu'entre 6h du matin et 20h. Ensuite, les sorties seront limitées à quelques exceptions par le couvre-feu, sauf en Outre-Mer.

Pourquoi la dangerosité des femmes terroristes est-elle trop souvent sous-estimée ?

Pourquoi la dangerosité des femmes terroristes est-elle trop souvent sous-estimée ?

"On a pu dire qu’Hayat Boumeddiene était la veuve noire d’Amedy Coulibaly, que c’était un petit bout de femme. Non, c’est une terroriste, tout simplement", explique Emmy-Lou Nicolaï. L’historienne vient de publier une tribune sur le site de Libération intitulée, "Les femmes terroristes sont… des terroristes". Pour la journaliste Céline Martelet, le plus important est de comprendre la complexité du rôle des femmes dans ces organisations terroristes, afin qu’elles soient poursuivies et punies. Car elles ne sont souvent pas que les victime de la radicalisation de leurs conjoints. Un sujet de Boris Courret.