L'Assemblée nationale se prononce ce lundi 2 décembre sur le très sensible budget de la Sécurité sociale, avec la possibilité d'un recours au 49.3 et déjà la perspective d'une motion de censure de la part de la gauche et du Rassemblement national.
L'ancienne Première ministre a rappelé avoir porté des réformes "pas toutes populaires" qui justifient selon elle le service de protection sont elle bénéficie.
L'Assemblée nationale se prononce ce lundi 2 décembre sur le très sensible budget de la Sécurité sociale, avec la possibilité d'un recours au 49.3 et déjà la perspective d'une motion de censure de la part de la gauche et du Rassemblement national.
Le Rassemblement national (RN) a annoncé ce lundi 2 décembre son intention de voter la motion de censure sur le budget de la Sécurité sociale, ce qui renverserait le gouvernement. Sous la Ve République, une seule motion de censure a jusqu'à présent été adoptée, sous Georges Pompidou.
Interrogé sur les conséquences d'une probable censure du gouvernement Barnier, Jordan Bardella a affirmé qu'il n'était pas "responsable de l'incertitude politique" à notre micro ce lundi.
Jordan Bardella, président du Rassemblement National, s'est exprimé ce lundi au micro de BFMTV sur la possible motion de censure qui sera déposée à l'Assemblée.
Le ministre délégué chargé des Transports en déplacement a été interrogé, ce lundi 2 décembre, sur la mention de censure qui menace le Premier ministre.
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, s'est exprimé au micro de BFMTV ce lundi sur l'éventualité d'une censure du gouvernement Barnier.
Interrogé sur les conséquences d'une probable censure du gouvernement Barnier, Jordan Bardella a affirmé qu'il n'était pas "responsable de l'incertitude politique" à notre micro ce lundi.
Comme tous les jours, BFMTV répond à vos questions qui font l'actualité.
L'ancien Premier ministre a vivement critiqué les oppositions qui selon lui "préfèrent se faire la courte échelle dans une vaste pièce de théâtre dont les Français ne sont que le décor."
L'Assemblée nationale se prononce ce lundi 2 décembre sur le très sensible budget de la Sécurité sociale, avec la possibilité d'un recours au 49.3 et déjà la perspective d'une motion de censure de la part de la gauche et du Rassemblement national.
L'Assemblée nationale se prononce ce lundi 2 décembre sur le très sensible budget de la Sécurité sociale, avec la possibilité d'un recours au 49.3 et déjà la perspective d'une motion de censure de la part de la gauche et du Rassemblement national.
L'Assemblée nationale se prononce ce lundi 2 décembre sur le très sensible budget de la Sécurité sociale, avec la possibilité d'un recours au 49.3 et déjà la perspective d'une motion de censure de la part de la gauche et du Rassemblement national.
Le Premier ministre Michel Barnier reçoit ce lundi 2 décembre ses ministres de l'Économie et du Budget alors que la menace d'une censure plane plus que jamais sur le gouvernement.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau envisage de s’attaquer à la protection policière de certains ministres passés ou en exercice dans l'optique de faire des économies. Frédéric Auréal, ancien chef du service de la protection, était l'invité du Live Switek ce lundi pour en parler.
Le député PS Jérôme Guedj a annoncé le dépôt d’une motion de rejet préalable au budget de Sécurité sociale. Il pourrait accorder un sursis au Premier ministre, Michel Barnier, si elle était adoptée.
Michel Barnier réunit les présidents de groupes du "socle commun" de l'Assemblée nationale et du Sénat à 13h45 à Matignon. Cet entretien intervient après l'ultimatum lancé par le Rassemblement national pour censurer gouvernement.
Michel Barnier réunira les présidents de groupes du "socle commun" de l'Assemblée nationale et du Sénat à 13h45 à Matignon. Une réunion qui interviendra juste avant que le budget de la Sécurité sociale, objet d'un compromis entre sénateurs et députés en commission, soit examinée à l'Assemblée, où Michel Barnier pourrait déclencher l'article 49.3.
Michel Barnier va recevoir en début d'après-midi les chefs des groupes parlementaires du socle commun à l'Assemblée et au Sénat. Un entretien déterminant pour le Premier ministre qui voit se rapprocher la menace d'une censure.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la possible censure du gouvernement Barnier.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la censure du gouvernement de Michel Barnier.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la possible censure du gouvernement Barnier.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la motion de censure du RN.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur les concessions déjà faites au RN sur le budget.
Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national et député du Nord, était l’invité du Face-à-Face de ce lundi 2 décembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la menace de censure qui plane sur le gouvernement.
Ce lundi, les conclusions de la commission mixte paritaire sur le PLFSS, le projet de loi de financement de la sécurité sociale, vont être lues à l'Assemblée nationale. Plus que jamais sous la pression des oppositions, et en particulier du Rassemblement national (RN), Michel Barnier pourrait déclencher l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter le texte sans vote. Quitte à prendre le risque d'une motion de censure, qui risque d'entraîner la chute de son gouvernement. Le locataire de Matignon pourrait également ne pas avoir la possibilité de dégainer un 49.3, si les députés de l'opposition se joignent tous aux élus socialistes qui ont signé une motion de rejet préalable.
Le président du parti d'extrême-droite, Jordan Bardella, estime que le Premier ministre a jusqu'à 15h ce lundi 2 décembre pour "revoir sa copie."
Ian Boucard, député Les Républicains du territoire de Belfort, était l’invité de Première Éditions. Il a répondu notamment sur la possible censure du gouvernement et la pression exercée par le Rassemblement national sur le Premier ministre, Michel Barnier.
Une question d'heures. Ce lundi 2 décembre, les conclusions de la commission mixte paritaire sur le PLFSS, le projet de loi de financement de la sécurité sociale, vont être lues à l'Assemblée nationale. Plus que jamais sous la pression des oppositions, et en particulier du Rassemblement national (RN), Michel Barnier pourrait déclencher l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter le texte sans vote.
Edwige Diaz, députée du Rassemblement national de Gironde, était l’invitée de Première édition. Elle a notamment été interrogée sur les lignes rouges posées par le Rassemblement national au gouvernement de Michel Barnier sur le vote du budget.
Visant notamment à instaurer une comparution immédiate pour juger des mineurs de 16 ans ou plus pour faits graves, la proposition de loi a été largement remaniée par la gauche en commission.
De nombreux représentants syndicaux du monde agricole estiment qu'une chute du gouvernement Barnier pourrait marquer un retour en arrière sur certaines avancées adoptées au cours de l'année, mais aussi un coup d'arrêt pour certaines mesures actuellement en discussion.
Emmanuel Macron se rend en Arabie Saoudite pour une visite d'État, la première d'un président français depuis celle de Jacques Chirac en 2006. Au programme notamment pour ce déplacement de trois jours: la Cop16, la guerre au Proche-Orient et le renforcement des échanges économiques.
Une question d'heures. Ce lundi 2 décembre, les conclusions de la commission mixte paritaire sur le PLFSS, le projet de loi de financement de la sécurité sociale, vont être lues à l'Assemblée nationale. Plus que jamais sous la pression des oppositions, et en particulier du Rassemblement national (RN), Michel Barnier pourrait déclencher l'article 49.3 de la Constitution pour faire adopter le texte sans vote. Quitte à prendre le risque d'une motion de censure, qui risque d'entraîner la chute de son gouvernement. Le locataire de Matignon pourrait également ne pas avoir la possibilité de dégainer un 49.3, si les députés de l'opposition se joignent tous aux élus socialistes qui ont signé une motion de rejet préalable.
L'entourage de Marine Le Pen a fait savoir, ce dimanche 1er décembre, que sa décision au sujet d'une éventuelle motion de censure du gouvernement était prise. Cette décision a été prise au terme d'une réunion qui s'est tenue ce dimanche soir entre Marine Le Pen et un cercle très rapproché, en vue de "fixer la conduite à tenir et les conséquences à tirer des déclarations de la veille du ministre Laurent Saint-Martin".
Le gouvernement Barnier survivra-t-il à la semaine qui s'ouvre? Le Premier ministre Michel Barnier a décidé d'avoir recours au 49.3 pour faire passer le texte sansvote. La gauche et le RN ont annoncé le depôt de motions de censure qui devraient être votées mercredi ou jeudi.
Le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) passe devant l'Assemblée nationale ce lundi 2 décembre. Michel Barnier pourrait déclencher un 49.3, à moins qu'une motion de rejet préalable portée par les socialistes ne soit votée.
Marine Le Pen, cheffe des députés Rassemblement national à l'Assemblée nationale, a pris sa décision vis-à-vis du vote d'une motion de censure du gouvernement, a fait savoir son entourage à BFMTV dimanche 1er décembre, alors que le budget de la sécurité sociale doit être soumis à l'Assemblée lundi.
Les militants du Rassemblement national réagissent à la menace de censure du gouvernement de Michel Barnier par leur parti.
Marine Le Pen, cheffe des députés Rassemblement national à l'Assemblée nationale, a pris sa décision vis-à-vis du vote d'une motion de censure du gouvernement, a fait savoir son entourage à BFMTV dimanche 1er décembre, alors que le budget de la sécurité sociale doit être soumis à l'Assemblée lundi.
Jordan Duflot, candidat RN, est arrivé en tête du premier tour de la législative partielle organisée dans la 1e circonscription des Ardennes.
Edwige Diaz, vice-présidente u Rassemblement national et députée de la Gironde, était l'invitée de BFMTV ce dimanche 1er décembre 2024 sur BFMTV.
Alors que Marine Le Pen, cheffe des députés RN à l'Assemblée, estimait samedi qu'un tel cas de figure n'avait rien d'"inéluctable", elle considère ce dimanche 1er décembre à l'AFP que le gouvernement "a mis fin à la discussion" sur d'éventuelles modifications au projet de loi sur le financement de la Sécurité sociale.
L'ancien ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, et le maire de Béziers, Robert Ménard, ont débattu ce dimanche soir dans Le Duel de "C'est pas tous les jours du dimanche" sur BFMTV.
L'ancien ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, et le maire de Béziers, Robert Ménard, ont débattu ce dimanche soir dans Le Duel de "C'est pas tous les jours du dimanche" sur BFMTV.
L'entourage de Marine Le Pen a fait savoir, ce dimanche 1er décembre, que sa décision au sujet d'une éventuelle motion de censure du gouvernement était prise.
Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, était l'invité de Benjamin Duhamel dans "C'est pas tous les jours dimanche", ce dimanche 1er décembre 2024 sur BFMTV.
Alexis Corbière, député écologiste et social de la 7e circonscription de la Seine-Saint-Denis, était l’invité de BFM Politique ce dimanche 1er décembre. Il est revenu sur une possible censure du gouvernement de Michel Barnier et sur, selon lui, l’importance d’une union de la gauche, notamment sur le vote du budget.
Alors que Marine Le Pen, cheffe des députés RN à l'Assemblée, estimait samedi qu'un tel cas de figure n'avait rien d'"inéluctable", elle considère ce dimanche 1er décembre à l'AFP que le gouvernement "a mis fin à la discussion" sur d'éventuelles modifications au projet de loi sur le financement de la Sécurité sociale.
