
Meurtre de Belaïd en Tunisie: le président entendu comme témoin
Le président tunisien Moncef Marzouki a été entendu jeudi matin comme témoin dans le cadre de l'enquête sur la mort de Chokri Belaïd.
Le président tunisien Moncef Marzouki a été entendu jeudi matin comme témoin dans le cadre de l'enquête sur la mort de Chokri Belaïd.
Cette vidéo reprise et parodiée dans le monde entier fait polémique en Tunisie, entre jeunes laïcs et radicaux revendiquant la morale islamique. Un tournage a dégénéré en bagarre mercredi à Tunis.
Le parti islamiste Ennahda renoncent finalement à contrôler les ministères régaliens, dont l'Intérieur. Ils cèdent ainsi à une revendication exprimée par la quasi-totalité de l'opposition et de ses partenaires laïques au gouvernement.
Le meurtrier présumé de Chokri Belaïd a été identifié mais reste en fuite a annoncé mardi le ministre de l'Intérieur tunisien.
Le tueur présumé est un artisan de 31 ans. Il a été arrêté à Carthage, dans la banlieue de Tunis, avec son complice.
Le parti au pouvoir Ennahda a choisi le ministre de l'Intérieur pour succéder à Hamadi Jebali, au poste de Premier ministre.
Après avoir présenté sa démission mardi, le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali, a décliné la proposition de diriger à nouveau le gouvernement.
Le gouvernement tunisien a indiqué jeudi avoir arrêté plusieurs suspects dans l'assassinat de l'opposant tunisien qui avait plongé le pays dans une nouvelle crise politique.
Hamadi Jebal, démissionnaire de son poste de Premier ministre fait pourtant office de favori pour prendre la tête du futur gouvernement. Tiraillée entre les aspirations du peuple et les ambitions politiques et religieuses d'Ennahda, la Tunisie n'avance pas depuis la révolution.
Le Premier ministre tunisien Hamad Jebali a annoncé avoir démissionné mardi dans une déclaration retransmise en direct à la télévision.
La Tunisie s’enfonce dans une crise politique. A peine quinze jours après l’assassinat de Chokri Belaïd, le pays n’arrive pas à sortir de l’impasse.
Le Premier ministre tunisien, Hamadi Jebali a annoncé lundi soir l'échec de la tentative de formation d'un cabinet apolitique. Il n'a pour l'instant pas annoncé sa démission, qu'il avait promise en cas d'échec.
Alors que le pays traverse une intense crise politique, le chef du parti islamiste Ennahda, a une nouvelle fois exclu de quitter le pouvoir.
Des milliers de manifestants pro-islamistes ont défilé samedi à Tunis pour soutenir le parti au pouvoir, Ennahda, plongé dans une grave crise politique.
Le Premier ministre Hamadi Jebali a annoncé qu'il tentait de former un gouvernement de technocrates d'ici le milieu la semaine mais les membres d'Enahda et du parti laïc refusent cette solution.
Loin de Tunis et ses manifestations quotidiennes, de nombreux régions rurales de la Tunisie se retrouvent déconnectées de la crise politique qui agite le pays. Inquiets pour l'avenir, les villageois n'y ont pas les mêmes attentes. Reportage.
Le gouvernement français est inquiet et attentif devant la crise politique en Tunisie, a déclaré dimanche le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, sur BFMTV.
La classe politique et la rue attendent le résultat du coup de poker de Hamadi Jebali, numéro 2 d'Ennahda, qui a pris de court son parti et ses alliés laïcs de centre-gauche en annonçant préparer la création d'un gouvernement de technocrates.
Le Premier ministre tunisien Hamadi Jebali, en conflit avec son parti islamiste, a déclaré être prêt à démissionner s'il échouait à former un gouvernement de technocrates avant le milieu de la semaine prochaine.
La manifestation a débuté à 14 heures, heure française, avenue Habib Bourguiba, en plein cœur de Tunis et théâtre de violences ces derniers jours entre opposants en colère et policiers.
Des milliers de Tunisiens ont assisté, ce vendredi, aux funérailles de l’opposant politique Chokri Belaïd assassiné mercredi à Tunis. Sur fond de grève générale et de tension politique majeure, quelques échauffourées ont éclaté en marge du cortège.
Événement du jour, document exclusif, phrase choc ou image insolite... BFMTV.com vous a sélectionné le top 10 des vidéos de la journée. A ne pas manquer : l’enterrement de Chokri Belaïd en Tunisie, la conférence de presse de François Hollande et la migration massive chinoise.
La Tunisie continue de s'enfoncer dans une impasse dangereuse pour la stabilité du pays. Explications sur une situation politique intérieure très complexe.
Deux jours après l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd, une grève générale est en cours en Tunisie, ce vendredi, à l'appel de la puissante centrale syndicale UGTT. Retrouvez, ici, les mots forts de cette journée.
Alors que les obsèques de l’opposant Chokri Belaïd ont lieu ce vendredi, d’autres figures de l'opposition sont menacées de mort en Tunisie. BFMTV a rencontré l'une de ces personnalités politiques, ciblée depuis plusieurs mois.
Deux jours après l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd, une grève générale est en cours en Tunisie, ce vendredi, à l'appel de la puissante centrale syndicale UGTT.
Le parti islamiste d'Ennahda, au pouvoir en Tunisie depuis l'automne 2011, se retrouve divisé et affaibli après les dissensions publiques entre le Premier ministre et les cadres du parti.
Au lendemain de l’assassinat du leader politique d’extrême-gauche, Chokri Belaïd, qui a provoqué la colère et le soulèvement d’une partie de la population, la Tunisie a vécu une nouvelle journée de tensions, ce jeudi.
Événement du jour, document exclusif, phrase choc ou image insolite... BFMTV.com vous a sélectionné le top 10 des vidéos de la journée. A ne pas manquer : la situation en Tunisie, le coût de la guerre au Mali et des gadgets inutiles.
Depuis l'assassinat mercredi du leader d'extrême gauche Chokri Belaïd, la Tunisie fait face à une nouvelle crise politique et sociale majeure. Décryptage avec Didier Billion, directeur adjoint de l'Institut de relations internationales et stratégiques.
Événement du jour, document exclusif, phrase choc ou image insolite... BFMTV.com vous a sélectionné les vidéos à voir à la mi-journée. A ne pas manquer: l’interview de la veuve de Chokri Belaïd, l’éclairage d’Antoine Sfeir sur la Tunisie et du football.
Assassiné mercredi, Chorki Belaïd était un opposant très vif du gouvernement islamiste. Sa mort met en lumière la position ambigüe du parti islamiste au pouvoir à l'égard de la violence qui s'est emparée de la société tunisienne, notamment via les milices d'Ennahda.
Surprenante, la volte-face d'Ennahda au pouvoir en Tunisie, après l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd ? Analyse du spécialiste géopolitique de BFMTV.
L'assassinat de l'opposant politique tunisien Chokri Belaïd a provoqué une vague de colère dans tout le pays, mercredi. Au lendemain de sa mort, de nouvelles tensions ont éclaté, notamment à Tunis et Gafsa.
DOCUMENT BFMTV - A peine quelques heures après la mort de Chokri Belaïd, un opposant tunisien, sa veuve Besma Khalfaoui raconte au micro de BFMTV un homme courageux et combatif.
Chokri Belaïd, une des figures de l’opposition tunisienne, a été assassiné ce mercredi, à la sortie de son domicile. Ce crime a provoqué la colère des Tunisiens, descendus dans les rues par milliers pour manifester et accuser le parti islamiste au pouvoir. Dans la soirée, le gouvernement a annoncé sa dissolution.
Le Premier ministre tunisien a annoncé mercredi soir la formation d'un nouveau gouvernement, après l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd qui a déclenché une vague de violences dans le pays.
La Tunisie est secouée, ce mercredi, par l’assassinat de Chokri Belaïd un des principaux dirigeants du parti d’opposition les Patriotes démocrates.
Événement du jour, document exclusif, phrase choc ou image insolite... BFMTV.com vous a sélectionné le top 10 des vidéos de la journée. A ne pas manquer : l’assassinat d’un opposant tunisien, l’hommage au préfet Erignac et un astéroïde qui va frôler la Terre.
Une figure de l'opposition tunisienne a été tuée par balles mercredi à Tunis. Qui était Chokri Belaïd et pourquoi "dérangeait-il" ? Eléments de réponse.
Un des principaux dirigeants du parti d'opposition tunisien, Chokri Belaïd, a été assassiné par balles, mercredi matin. Son frère a accusé Ennahda, le parti islamiste au pouvoir.
Le Premier ministre tunisien a dénoncé un un "acte de terrorisme" contre toute la Tunisie après le meurtre d'un opposant.