
Le Canada approuve un grand projet pétrolier offshore controversé
La mise en exploitation du projet est prévue en 2028, mais l'annonce de l'aval pour sa construction a provoqué ce mercredi une levée de boucliers des groupes environnementaux.
La mise en exploitation du projet est prévue en 2028, mais l'annonce de l'aval pour sa construction a provoqué ce mercredi une levée de boucliers des groupes environnementaux.
Ce total inclut 60 millions de barils qui seront mis sur le marché par les Etats-Unis, dont le président, Joe Biden, a déjà annoncé récemment qu'ils allaient puiser un peu plus dans leurs réserves stratégiques.
Selon le groupe français, il s'agit du "plus grand projet au monde de bioraffinerie produisant du biométhanol neutre en CO2 à partir d'une usine de production de pâte à papier".
Cette annonce s'inscrit dans le cadre de la nouvelle stratégie énergétique britannique qui doit être dévoilée jeudi en détail.
Le président russe met en garde contre "l'arme à double tranchant" utilisée par les européens et notamment l'Allemagne.
Cette déclaration intervient alors que les dirigeants des 27 discutent en "urgence" de nouvelles sanctions contre Moscou, selon le haut représentant de l'UE Josep Borrell.
Cette annonce intervient six mois après une première méga-commande de véhicules Tesla.
L'humanité dispose de moins de trois années pour inverser la courbe des émissions de gaz à effet de serre, principales responsables du changement climatique, si elle veut conserver un monde "vivable", alertent lundi les experts climat de l'ONU dans un nouveau rapport.
Plus tôt dans la journée, le ministre allemand des Finances, Christian Lindner a déclaré que le pays juge impossible de se passer du gaz russe "pour le moment".
La critique principale porte sur la réforme des quotas d'émission qui imposerait dès 2023 une taxe sur les vols à l'intérieur de l'UE et accorderait un avantage compétitif disproportionné à la concurrence étrangère.
Marine Le Pen, Eric Zemmour ou encore Nicolas Dupont-Aignan ont plaidé pour la réouverture de la centrale de Fessenheim, fermée par Emmanuel Macron. Une solution face à la crise énergétique?
La dépendance à la Russie en matière d'énergie fait craindre à l'Allemagne une possible pénurie de gaz cet hiver.
Cette saisine vise à annuler la demande du gouvernement à EDF d'augmenter de 20% le quota annuel d'électricité vendu à prix réduit à ses concurrents pour limiter la hausse des prix.
Les images de massacre à Boutcha, au nord-ouest de Kiev, où l'armée russe est accusée de crimes de guerre, devraient entrainer un nouveau train de sanctions européennes. Voici ce qui est désormais sur la table.
Avec la baisse brutale des températures, le gestionnaire RTE craignait un pic très élevé de la consommation d'électricité ce lundi matin. Le pic, intervenu à 9h15, fut finalement moins important que prévu.
Londres veut combiner deux grands réacteurs à des installations modulaires. Et tourne le dos à l'éolien onshore.
Un pic de consommation dû au froid va se produire. Dans le même temps, une partie du parc nucléaire est toujours à l'arrêt.
Alors que le prix du baril a atteint de très hauts niveaux au début du mois et demeure élevé, Bagdad a battu un record vieux de 50 ans.
Gazprom annonce son retrait de ses filiales en Allemagne et en Grande-Bretagne qui assurent notamment la distribution de gaz.
L'objectif est de mettre "des dizaines de millions de barils supplémentaires sur le marché" alors que l'Opep refuse d'ouvrir les vannes.
Pour la première fois, une majorité de Japonais se dit favorable au redémarrage de réacteurs, comme le souhaite le gouvernement nippon afin de réduire la dépendance énergétique de l'archipel et remplir ses objectifs climatiques.
Selon la proposition russe, les Européens pourraient continuer de payer le gaz en euros vers un compte Gazprombank. Les sommes réglées seraient converties en roubles dans la foulée.