Après une année 2023 difficile, l'assurance vie retrouve une grande forme en 2024. Un retour en grâce porté par des rendements plus attractifs, les épargnants français ayant déposé 29,4 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré, soit 22 fois plus qu'en 2023.
Les néobanques, comme N26, Revolut ou Trade Republic, ont trouvé une solution pour faire travailler l’argent qui dort sur les comptes courants, avec des taux allant de 2% à 4%. Mais ces rendements, bien qu’alléchants, cachent quelques subtilités à connaître avant de franchir le pas.
Sans surprise, la Réserve fédérale américaine a décidé de laisser ses taux inchangés dans un contexte porteur pour l'économie américaine.
BPCE et Generali Investments Holding ont annoncé un accord pour créer une entité commune, appelée à devenir "un leader européen" de la gestion d'actifs.
Leur union devrait donner naissance à un nouveau champion de la gestion d'actifs avec près de 2.000 milliards d'euros d'encours qui occuperait la deuxième place en Europe derrière Amundi, filiale du groupe Crédit Agricole.
Les deux groupes s'apprêtent à fusionner une partie de leurs activités. La gouvernance de la nouvelle entité sera équitablement répartie entre les directions de la banque française et de l'assureur italien.
La facture des pertes économiques s'est quant à elle établie à 320 milliards de dollars, contre 268 milliards en 2023, selon une étude publiée jeudi par Munich Re.
La Net-Zero Banking Alliance a été lancée afin d'inciter les banques à porter en priorité leurs efforts sur les secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre et à jouer un rôle clé dans la transition vers une économie neutre en carbone.
L'assurance vie amorce une fin d'année en trombe: les épargnants ont déposé au mois de novembre 4 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré, du jamais vu depuis juillet 2010.
Bank of America, Goldman Sachs, Citigroup, et désormais Morgan Stanley: les départs des groupes bancaires américains se succèdent au sein de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA).
De nouvelles règles européennes imposent, dans les faits, la gratuité des virements instantanés, jusqu'alors payants dans la plupart des banques.
