Revivez le direct de Bourdin & Co du 25 mars

De 7h à 9h suivez en direct la matinale de Jean-Jacques Bourdin sur RMC.fr - -
Invités, témoignages, débats... retrouvez ici tous les moments forts de Bourdin & Co ce lundi sur RMC :
A 8h35, Jean-Jacques Bourdin recevait Harlem Désir, le secrétaire général du Parti socialiste. Il est revenu sur les critiques virulentes de la droite qui accusent la justice d’être partiale lorsqu’elle met en examen Nicolas Sarkozy, ainsi que sur la manif pour tous de dimanche.
8h25 - C'est l'heure du Parti Pris, la chronique d'Hervé Gattegno : Avec l’affaire Bettencourt, le retour de Sarkozy ne fait plus aucun doute !
Patrick Balkany, député-maire de Levallois-Perret
L'avocat de Nicolas Sarkozy a lancé une nouvelle attaque contre le juge qui l'a mis en examen, Jean-Michel Gentil, suggérant qu'il pourrait manquer d'impartialité pour avoir signé une tribune sur les insuffisances de la lutte contre la corruption sous son mandat. Proche de l’ancien président, Patrick Balkany le défend et s'exprime sur la manif pour tous. Il l'interroge aussi sur les propos qu'il a tenu vendredi dernier sur RMC : face à l'avocat de l'ex-majordome des Bettencourt, il aurait conclu par "Je vous emmerde", ce qu'il dément. Faites-vous votre avis en réécoutant l'extrait.
Patrick Balkany aurait dit sur RMC "Je vous emmerde" à Maître Gillot, avocat de l'ex majordome de Liliane Bettencourt :
8h22 - Patrick Balkany s'explique au micro de Jean-Jacques Bourdin : « Bien sûr que vous avez mal compris. Je réponds "je vous en remercie" avec un peu d’ironie. Mais vous me coupiez, votre voix a couvert la fin de la phrase. Je n’avais aucune raison d’insulter maître Antoine Gillot ».
A propos du juge Gentil, qui a mis en examen Nicolas Sarkozy mais est accusé d’avoir publié une tribune contre l’ancien président et sa politique :
8h17 - Patrick Balkany : « Comment imaginer que Nicolas Sarkozy puisse faire preuve d’abus de faiblesse sur une vieille dame qu’il connait depuis longtemps. La tribune du juge Gentil était surtout un acte public contre les gouvernants de droite. C’est un problème de magistrature ».
A propos de la manif pour tous et de ses débordements. Christine Boutin a demandé la démission du ministre de l'Intérieur Manuel Valls :
8h14 - Patrick Balkany : « Ce qui est idiot, c’est d’interdire aux gens d’aller aux Champs-Elysées. Manuel Valls sait ce qu’il a à faire, c’est au président de décider ».
8h13 - Patrick Balkany : « Une manifestation aussi populaire, avec des familles, je ne vois vraiment pas pourquoi on a mis des barrages de CRS. La manif était tellement compressée qu'on a été obligés d’envoyer des gens sur d’autres boulevards. Est-ce que vous trouvez normal qu’on gaze des femmes, des enfants ? »
François Delapierre, secrétaire national du Parti de gauche
Dans la nuit, Chypre, l’Union européenne et le FMI ont trouvé un accord pour débloquer le plan d’aide de 10 milliards d’euros à l’île. Il impose la fermeture de la deuxième banque du pays et seuls les dépôts inférieurs à 100 000 euros seront garantis, les autres serviront à régler les dettes de la banque et à recapitaliser la Banque centrale.
7h50 : François Delapierre : « Il y a une gauche au pouvoir, la gauche solférinienne, qui n’est pas la gauche du partage. Il y a une autre gauche, celle du Front de gauche, qui est en compétition, normale et démocratique ».
A propos de Jean-Luc Mélenchon, accusé d’antisémitisme pour des propos tenus contre Pierre Moscovici. Jean-Luc Mélenchon lui avait reproché de "ne pas penser en Français", mais "penser finance internationale", Harlem Désir, invité à 8h35 sur RMC et BFMTV, juge que ces propos sont antisémites :
7h48 : François Delapierre : « Harlem Désir instrumentalise l’antisémitisme. J’attends qu’il s’excuse à son tour ».
A propos de Pierre Moscovici, qualifié d’un des « 17 salopards » de l’Eurogroupe pour son rôle dans le plan de soutien à Chypre :
7h46 : François Delapierre : « Le respect, on ne le gagne pas par la nomination du président de la République, mais par ses actes. Et ses actes sont odieux : il a décidé de confisquer une partie des économies, des salaires, des retraites, à des vieux, des malades. Il y a des responsabilités, nous ne sommes pas impuissants, nous pouvons changer ce système car il fonctionne sur des personnes qui en sont les rouages ».
A propos de l'accord trouvé pour Chypre :
7h45 : François Delapierre : « On a organisé un blocus monétaire. Ça veut dire plus de billets de banques, impossibilité d’acheter à l’étranger. Les gens qui font ça sont redevables d’un tribunal international. Mais on ne commence pas à faire des choses à Chypre pour dire qu’on doit avoir droit à des égards particuliers si ça arrive chez nous ».
7h43 : François Delapierre : « On peut craindre que la catastrophe qu’ils ont provoqué soit irréparable. On peut craindre qu’à l’instant où ils ouvriront les banques, les chypriotes préfèrent mettre leurs économies ailleurs ».
7h25 - C'est l'heure des Coulisses de la politique, la chronique de Jean-François Achilli : Climat politique et social : des nuages avant l’orage ?
Laurent Wauquiez, vice-président de l’UMP
Dimanche, la « manif pour tous » a rassemblé 300 000 personnes selon la Préfecture de police, 1,4 million selon les organisateurs pour protester contre le mariage pour tous. Alors que l’accès aux Champs-Elysées avait été interdit aux manifestants, certains ont essayé de forcer les barrages, entraînant des échauffourées avec les CRS qui ont répondu avec des gaz lacrymogènes.
A propos de la mise en examen de Nicolas Sarkozy par le juge Gentil, accusé de manque d’impartialité par la droite. Le magistrat avait publié une tribune, avec d’autres juges, critiquant une partie de la politique de l’ancien président sur la justice :
7h22 - Laurent Wauquiez : « Dans n’importe quelle démocratie scandinave ou en Allemagne, un juge qui a pris une position personnelle et politique ne pourrait pas s’attaquer à un responsable politique. C’est une question globale : comment on aboutit à plus d’indépendance et d’objectivité de la justice. Il y a besoin d’avoir sur ces affaires des juges objectifs dont l’intégrité et l’objectivité est incontestable ».
A propos de la manif pour tous :
7h16 - Laurent Wauquiez : « Ce que je ne veux pas, c’est la volonté de discréditer le mouvement en attirant l’attention sur une dizaine de personnes plutôt que répondre à plus d’un million de personnes qui se sont exprimées. Il y a eu de graves défaillances dans le maintien de l’ordre. Evidemment que les forces de l’ordre n’ont pas tiré directement vers les familles et les enfants. Qu’on ne se cache pas derrière les forces de l’ordre, elles ont fait leur travail. Mais la défaillance est celle de la préfecture de police qui a voulu affaiblir et saborder cette manifestation. Il y a un étonnant contraste dans ce gouvernement qui d’une part fait voter une loi d’amnistie pour des casseurs et d’autre part tire avec des gaz lacrymogènes contre une manifestation plutôt pacifiste. Il faut que Manuel Valls présente des excuses ».
7h14 - Laurent Wauquiez : « Cette manif, c’était pour dire "vous utilisez ces sujets sociétaux pour camoufler votre politique économique". Comme on a un gouvernement impuissant sur l’emploi, ils préfèrent faire de l’agitation sur le sociétal ».
7h13 - Laurent Wauquiez : « Ce n’est pas la bonne hiérarchie de priorités. C’est un gouvernement qui met les priorités la tête à l’envers ».
7h12 - Laurent Wauquiez : « C’était une manifestation qui voulait dire une chose, c’est que plutôt que détruire la famille, François Hollande ferait mieux de lutter contre le chômage ».
Bonjour à tous, il est 7h, l'heure de débuter le direct de Bourdin & Co.