Revivez le direct de Bourdin & Co du 18 juin

De 7h à 9h suivez en direct la matinale de Jean-Jacques Bourdin sur RMC.fr - -
Invités, témoignages, débats... retrouvez ici tous les moments forts de Bourdin & Co ce mardi sur RMC :
9h : Merci à tous d’avoir suivi le live de Bourdin & Co ce matin, n’hésitez pas à poursuivre les débats en réagissant ci-dessous ! Rendez-vous demain dès 7h !
8h35 : Gérard Collomb était l'invité de Jean-Jacques Bourdin en simultané sur RMC et BFMTV
8h25, c'est l'heure du Parti pris, d'Hervé Gattegno : Oui, Sarkozy est bien la cible des juges
Gérard Davet, grand reporter au Monde
Il est l’auteur, avec Fabrice Lhomme d’un article paru dans Le Monde daté d’aujourd’hui intitulé « Affaire Tapie : les dessous d’un arbitrage pipé ». Selon lui, les enquêteurs « disposent de suffisamment d'éléments pour établir qu'une "escroquerie en bande organisée" a permis à l'homme d'affaires, le 7 juillet 2008, d'obtenir 403 millions d'euros à l'issue de l'arbitrage soldant son litige avec le Crédit lyonnais ».
8h19 - Gérard Davet : « Est-ce un renvoi d’ascenseur ?(…) Cela se joue à deux ou trois hommes mais on n’en sait pas plus ».
8h18 - Gérard Davet : « L’arbitrage est initié à l’Elysée, initié par Sarkozy et Guéant. Christine Lagarde a un rôle qu’on ne comprend pas totalement encore. (…) Dans un nouvel article à paraître cet après-midi, on va montrer qu’il y a eu des signes d’alerte et qu’ils ont été écartés ».
8h16 - Gérard Davet : « Si l’on se fie aux enquêtes menés par 6 juges d’instruction, au dossier et à nos investigations, le jugement a été faussé ».
« Bernard Tapie a obtenu un arbitrage en sa faveur alors que l’état n’avait pas du tout intérêt à recourir à ce type de tribunal. Dès le départ, le processus semble vicié. Les 3 arbitres de ce tribunal avaient des façons de travailler très particulière. Deux ne travaillaient pas, le juge Estoup travaillait beaucoup, a tout rédigé et était en relation permanente avec l’avocat et l'entourage de Bernard Tapie, ce qui est proscrit. C’est lui qui gère toute la procédure ».
Daniel Cohn-Bendit, député européen
Dans une interview publiée lundi dans Herald Tribune, José Manuel Barroso a qualifié la France et son exception culturelle de « réactionnaire ». Le vice-président du groupe des Verts au Parlement européen a également lancé « l’appel d’Athènes ».
Sur les résultats de Villeneuve-sur-Lot
Le PS a reproché aux écologistes d'avoir contribué à l'élimination dès le premier tour du candidat socialiste. La candidate écologiste a obtenu 2,78% des voix, un score suffisant pour écarter le PS du second tour.
7h47 - Daniel Cohn-Bendit : « Le candidat EELV n’est pas responsable du duel UMP-FN. Ce qui est sûr, c’est qu’une partie de l’électorat de gauche ne comprend pas la politique de ce gouvernement et de François Hollande. Il faut que les socialistes clarifient leur vision politique ».
« Eva Joly (ne) s'est pas retirée, ça (n)'a pas empêché François Hollande de faire un bon score. C'est pas ça le problème, qu'il se retire ou pas, j'en sais rien, c'est un épiphénomène ».
Sur la Grèce
7h46 - Daniel Cohn-Bendit : « Il faut arrêter de pointer toujours l’autre. On ne peut pas continuer comme ça. Il faut une nouvelle définition du bien commun européen, de la solidarité européenne ».
« Sur la télévision publique on ne comprend pas le gouvernement Samaras. Il faut que le processus de réforme continue mais il faut aussi un processus d’investissement européen ».
Sur les négociations sur le libre-échange
7h45 - Daniel Cohn-Bendit : « Personne ne sait ce qu’il y a dans le mandat de négociation avec les Etats-Unis. Il faut le publier ».
Sur les propos de José Manuel Barroso
7h42 - Daniel Cohn-Bendit : « Je crois que Barroso s’est trompé. C’est lui qui est rétro dans sa conception du libre-échange ».
7h25, l'heure de la chronique de Jean-François Achilli, les Coulisses de la politique : PS et Verts en crise après Villeneuve-sur-Lot
Jean-Michel Hieaux, ancien vice-président du collège-lycée Cévenol au Chambon-sur-Lignon
Ce mardi matin, c’est le début du procès de Matthieu. Agé aujourd'hui de 19 ans, il est accusé d’avoir tué et violé Agnès Marin au Chambon-sur-Lignon en novembre 2011. Mineur au moment des faits, il sera aussi jugé pour le viol d’une mineure en 2010 dans le Gard pour lequel il a déjà fait 4 mois de détention provisoire. L'affaire avait déclenché une polémique sur le suivi des délinquants sexuels.
Aujourd'hui l'établissement a été placé en redressement judiciaire : depuis le drame, la fréquentation a fortement diminué.
7h22 - Jean-Michel Hieaux : « Je ne regrette pas qu’on prenne des élèves en difficulté. Ce collège m’a sauvé, j’ai découvert le monde là-bas, ce collège est formidable ».
« Ce collège a sauvé des enfants juifs pendant la guerre (...). Depuis le drame on a perdu une cinquantaine d’élèves. Aujourd’hui le collège est en danger (...) et a besoin de quelques centaines de milliers d'euros ».
7h17 - Jean-Michel Hieaux : « On ne peut pas tourner la page parce qu’on y pense tout le temps. Il n’y a pas une semaine sans que je pense à Agnès et sa famille ».
« On aurait pu éviter si l’expert psychiatre avait fait un autre diagnostic. Nous, le collège, on ne le savait pas. Si on l’avait su, on ne l’aurait jamais pris. Aujourd’hui l’établissement est une victime collatérale de ce drame ».