BFMTV
Santé
en direct

Covid-19: plus d'un million de morts ont été recensés en Europe

placeholder video
Tous les 55 ans et plus seront éligibles à la vaccination à partir de lundi, avec l'AstraZeneca ou bientôt le vaccin de Johnson & Johnson, et l'intervalle d'injection pour la 2e dose sera allongé pour le Pfizer-BioNTech et le Moderna, a annoncé ce dimanche le gouvernement.

Ce live est désormais terminé.

Merci de l'avoir suivi sur BFMTV.

Le Royaume-Uni a atteint son objectif pour la vaccination des plus de 50 ans

Le Royaume-Uni a indiqué avoir atteint ce lundi son objectif pour la vaccination des personnes âgées de plus de 50 ans.

Plus d'un million de morts recensés en Europe

L'Europe a recensé plus d'un million de morts du Covid-19 depuis sa découverte en Chine en décembre 2019, selon un comptage réalisé par l'AFP à partir de bilans fournis par les autorités de santé, lundi à 18h30 GMT.

334.053 doses de vaccin administrées ce lundi en France

Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 11.030.780 personnes ont reçu au moins une injection (soit 16,5% de la population totale et 21% de la population majeure) et 3.833.501 personnes ont reçu deux injections (soit 5,7% de la population totale et 7,3% de la population majeure), indique ce lundi soir le ministère de la Santé dans un communiqué.

Au 12 avril 2021, ce sont donc près de 14.865.000 injections qui ont été réalisées en France depuis le 27 décembre 2020, précise le ministère.

Ce lundi, 334.053 doses ont été administrées, dont 221.571 premières injections et 112.482 deuxièmes injections.

Jean Castex va plaider pour le maintien des régionales en juin

Le Premier ministre Jean Castex plaidera mardi pour le maintien des élections régionales et des départementales au mois de juin prochain, a-t-on appris ce lundi. Celles-ci sont prévues les 13 et 20 juin prochains.

Un peu plus tôt, une majorité des maires français (56%) s'étaient prononcés en faveur de leur maintien en juin.

Plus de 5900 patients actuellement en réanimation en France

8536 nouveaux cas ont été enregistrés et 385 personnes sont mortes du Covid-19 dans les hôpitaux français au cours de ces dernières 24 heures, a fait savoir Santé Publique France dans son dernier bilan communiqué lundi soir.

31.262 personnes sont actuellement hospitalisées en France en raison du Covid-19, ce qui représente 2172 nouvelles admissions en 24 heures.

L'agence de santé publique rapporte aussi que 5916 patients se trouvent actuellement en réanimation, ce qui représente 492 nouvelles admissions en 24 heures.

56% des maires se sentent aptes à organiser les Régionales dans les conditions préconisées par le Conseil scientifique

Le gouvernement, par le biais des préfets, a adressé vendredi aux maires de France un courrier les invitant à se prononcer, avant ce lundi, sur le maintien ou le report des élections régionales, prévues pour les 13 et 20 juin prochains.

Il s'avère qu'une majorité des maires consultés ce week-end souhaitent un maintien des élections régionales en juin prochain. 56% des maires ont répondu oui à la question de savoir s’ils pouvaient organiser les elections regionales dans les conditions preconisées par le Conseil scientifique.

Rassemblement sans masque et propos sur les vaccins: des élus tancent la députée Wonner

Des élus ont condamné des "propos très dangereux" et "l'irresponsabilité" de la députée Martine Wonner, présente dimanche lors d'un rassemblement sans masque à Quimperlé (Finistère), où elle s'en est prise à la "cochonnerie génétiquement modifiée" des vaccins à ARN messager.

Dans un communiqué, le député MoDem du Finistère Erwan Balanant, le maire PS de Quimperlé Michaël Quernez et le président de Quimperlé Communauté Sébastien Miossec ont condamné "avec la plus grande fermeté les comportements irresponsables des personnes présentes et toutes celles et ceux qui ont contribué à l'organisation et ont ainsi par leur action délibérée mis en danger la vie d'autrui".

Lors de ce rassemblement, Martine Wonner a qualifié les vaccins à ARN messager "d'espèce de cochonnerie génétiquement modifiée", lançant que "le seul vaccin qui fonctionne, c'est celui des Chinois, parce que c'est un vaccin normal, à virus atténué", selon des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Pourtant, les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson fonctionnent selon cette même tecnique du vecteur viral.

"Le mot cobaye est très fort", mais "je ne suis pas du tout anti-vaccin", assure la députée Martine Wonner, psychiatre de formation, à l'AFP. "Je ne décourage pas les gens qui veulent aller se faire vacciner", mais les techniques utilisées pour les vaccins à ARN messager ne sont pas "éprouvées, pas évaluées", martèle-t-elle. Quant au non port du masque, c'était en "plein air", "avec "du vent" et "on ne se contamine pas à l'extérieur", fait valoir Martine Wonner.

Pour l'OMS, la pandémie est à un "point critique"

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime ce lundi que l'épidémie de Covid-19 est à un "point critique", et met en garde contre des infections qui augmentent de manière exponentielle.

"Nous sommes actuellement à un point critique de la pandémie. La trajectoire de cette pandémie est en pleine expansion. Elle croît de manière exponentielle. Ce n'est pas la situation dans laquelle nous voulons nous trouver 16 mois après le début de la pandémie, alors que nous disposons de mesures de contrôle efficaces", a déclaré Maria Van Kerkhove, la responsable technique à l'OMS de la lutte contre le Covid-19, en conférence de presse.

Face à la circulation du variant au Brésil, faut-il renforcer les contrôles dans les aéroports français?

Fortement réduit à cause de la pandémie de coronavirus, le trafic aérien international subsiste malgré tout, en France comme ailleurs. Quid, donc, des vols en provenance du Brésil, où le variant P1 du Covid-19 fait des ravages? Le maintien des lignes aériennes, même à très basse fréquence, entre les grandes métropoles brésiliennes et Paris ne représente-t-il pas un appel d'air pour ce variant, particulièrement résistant aux vaccins? >> Notre article complet.

Des avions Air France sur le tarmac de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle pendant l'épidémie de coronavirus, en avril 2020
Des avions Air France sur le tarmac de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle pendant l'épidémie de coronavirus, en avril 2020 © BERTRAND GUAY © 2019 AFP

Le laboratoire AstraZeneca essuie un revers dans les essais d'un traitement contre le Covid-19

Le laboratoire suédo-britannique AstraZeneca a annoncé ce lundi que son traitement contre le diabète Farxiga n'était pas efficace pour traiter les patients atteints de forme grave de Covid-19, selon les premiers résultats d'essais cliniques.

L'essai concernant le Farxiga "n'a pas atteint de niveau statistique suffisant" pour prévenir la mortalité, explique le groupe dans un communiqué. Il s'agit des premiers résultats de l'essai clinique dit de phase 3 mené auprès de 1250 personnes, en collaboration avec l'institut américain spécialisé dans les maladies cardio-vasculaires Saint Luke's Mid America.

L'objectif était d'évaluer l'efficacité du Farxiga sur des patients hospitalisés avec le Covid-19 et qui risquent de développer des complications en particulier ceux qui présentent déjà d'autres pathologies comme l'hypertension, le diabète ou des maladies du coeur ou du rein.

Il s'agit d'un nouveau revers pour AstraZeneca dont le vaccin contre le Covid-19 suscite par ailleurs beaucoup d'interrogations, notamment avec de possibles effets secondaires comme des cas de caillots sanguins.

Roselyne Bachelot de retour au ministère de Culture

Quelques jours après être sortie de l'hôpital, où elle était suivie après sa contamination au Covid-19, Roselyne Bachelot reprend ses activités. Elle est de retour ce lundi au ministère de la Culture, a appris BFMTV.

L'Allemagne passe le seuil des 3 millions d'infections

L'Allemagne a franchi le seuil des 3 millions d'infections au Covid-19, selon des chiffres publiés lce undi par l'autorité nationale de veille sanitaire (RKI) et alors que les appels à un nouveau tour de vis des restrictions se multiplient.

Le nombre total d'infections depuis le début de la pandémie s'établit à exactement 3,011 millions, soit 13.245 de plus que la veille, selon le RKI, tandis que le nombre de décès s'établit à 78.452.

Par ailleurs, le taux d'incidence nationale sur les 7 derniers jours, particulièrement suivi par les autorités, s'établit à 136,4 pour 100.000 habitants, soit au-dessus du seuil déclenchant en principe un resserrage des restrictions.

La chancelière Angela Merkel s'est, dans ce contexte, à nouveau prononcée au cours du week-end, lors d'une réunion des députés de son parti conservateur, en faveur d'une forme stricte de reconfinement national pour une période assez brève. L'objectif est de tenter d'endiguer la troisième vague de la pandémie dans le pays, qui continue à enfler, malgré les restrictions de mouvement déjà en place.

Dîners clandestins: pour Djebbari, "l'exemplarité des politiques est importante"

Un ministre a-t-il participé à des dîners clandestins, comme l'évoquait un temps le collectionneur Pierre-Jean Chalençon, avant de se rétracter et d'évoquer un "poisson d'avril"? Pour Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué aux Transports, même si c'est "factuellement faux", "une partie des Français retiendra (de cette histoire qu'un membre du gouvernement et des journalistes, de concert, tiennent des diners clandestins dans Paris". "Ça contribue au discrédit des 'élites'", déplore-t-il ce matin sur LCI.

Jean-Baptiste Djebbari, qui estime que "l'exemplarité des politiques est importante", assure ne pas avoir participé à de telles soirées. "Je suis catégorique pour moi-même et le gouvernement s'est exprimé", a-t-il commenté. "Je crois vraiment qu'aucun membre du gouvernement ne prendrait le risque de se retrouver dans un dîner comme ça."

Fête clandestine près de Toulouse: un réanimateur dénonce des soirées qui "entretiennent l'épidémie"

L'organisation d'une fête clandestine dans un gîte près de Toulouse suscite la colère de Bruno Mégarbane. "Ce sont des rassemblements qui permettent de maintenir la diffusion du virus", rappelle sur BFMTV le chef du service de réanimation médicale à l’hôpital Lariboisière, à Paris. Ce sont des rassemblements non officiels, il n’y a pas de possibilité de suivi ultérieur, de tracer les contacts et voir comment se répand le cluster."

"Un certain nombre de soirées illégales entretient l’épidémie alors que la quasi-totalité de la population fait le maximum pour respecter les recommandations", regrette-t-il.

Maintenir ou pas les régionales? L'exécutif a lancé une consultation surprise vendredi

C'est une consulation surprise lancée par l'exécutif. Le gouvernement a demandé vendredi à tous les maires de se prononcer d'ici à ce lundi midi sur les mesures sanitaires en vue des scrutins régionaux et départementaux des 13 et 20 juin. Faut-il maintenir ces élections ou les reporter?

L'exécutif avait confirmé la semaine dernière qu'il privilégiait "à ce stade" le maintien de ces dates, sur lesquelles il a aussi demandé leur avis aux partis, groupes politiques et présidents des assemblées. Des débats sur cette question devraient se tenir mardi à l'Assemblée et mercredi au Sénat.

"Le gouvernement est très embêté", résume Matthieu Croissandeau, éditorialiste politique de BFMTV. D'un côté, "il ne veut pas prendre le risque d'essuyer un tombereau de critiques", comme cela a été le cas après le maintien du premier tour des élections municipales, au printemps 2020, en pleine première vague. De l'autre, "il sait que s'il reporte ces élections, (...) on va dire que c'est un coup politique car il ne veut pas passer devant les urnes".

Pour trancher, l'exécutif avait d'abord fait appel à Jean-Louis Debré, qui a remis un rapport - mais à l'époque la France ne subissait pas la pression des variants. Il a ensuite mandaté le Conseil scientifique, qui a fait des recommandations pour organiser le scrutin, mais en laissant au politique le soin de trancher.

Pourquoi lancer une nouvelle consultation de dernière minute? "Parce que depuis quelques jours, certains maires se demandent s'il est bien raisonnable de maintenir ces élections", note Matthieu Croissandeau.

"La seule campagne qui doit prévaloir, c'est la campagne vaccinale, pas la campagne électorale", estime Christian Estrosi dans le JDD. "Techniquement, cela va être très compliqué à organiser", ajoute Arnaud Robinet, le maire LR de Reims, dans Libération.

Vaccination: l'exécutif veut éviter que Pfizer soit privilégié au détriment de Moderna sur les plateformes de rendez-vous

Comment communiquer autour du vaccin Moderna, basé sur la même technologie de l'ARN messager que Pfizer, mais parfois boudé, peut-être par association avec l'AstraZeneca? C'est l'équation difficile à laquelle doit faire face l'exécutif, et à laquelle Alain Fischer apporte quelques éléments de réponse dans un entretien à Libération.

"Je le redis, Pfizer et Moderna c’est exactement la même chose", martèle le "monsieur vaccin" de l'exécutif.

"Sur certaines plateformes pour prendre un rendez-vous, la proposition de Pfizer apparaissait toujours en première proposition et Moderna en seconde", note-t-il. "Alors on a demandé que ce soit inversé, pour ne pas accentuer ce côté 'choix numéro 1' ou interprété de la sorte."

L'exécutif a également communiqué ce week-end au sein de l'application #TousAntiCovid, au sein duquel un message a été publié pour vanter Moderna et son efficacité "similaire à celle du vaccin Pfizer/BioNTech".

Un message vantant l'efficacité du vaccin Moderna publié au sein de l'application #TousAntiCovid, le 11 avril 2021.
Un message vantant l'efficacité du vaccin Moderna publié au sein de l'application #TousAntiCovid, le 11 avril 2021. © TOUSANTICOVID

Vacciner 90% des adultes? Alain Fischer juge l'objectif "très difficile" à atteindre

Vacciner 90% de la population adulte d'ici septembre pour retrouver une vie normale? C'est l'objectif fixé par les dernières modélisations de l'institut Pasteur. "Cela va être très difficile car il faut remplir plusieurs conditions, notamment l’adhésion de la population à la vaccination", réagit Alain Fischer, le "monsieur vaccin" de l'exécutif, dans un entretien à Libération. "Aujourd’hui, les plus jeunes ne sont pas tous convaincus de l’intérêt de se faire vacciner. Ce sont eux que nous devons convaincre, pour eux et leurs proches."

"Nous devons tout faire pour que la vaccination devienne une norme sociale", estime le professeur d'immunologie pédiatrique.

Une norme qui pourrait s'étendre jusqu'aux enfants? La possibilité de vacciner les plus jeunes est évoquée dans les modélisations de l'institut Pasteur. "En termes d’immunité collective, il est logique de vacciner les enfants", juge Alain Fischer. "Pour la grippe par exemple, les Britanniques et les Américains les vaccinent beaucoup. Pas tellement pour les protéger, car ils ne font pas de grippes sévères, mais pour limiter la diffusion du virus à leurs grands-parents."

"Ce n’est pas dans la philosophie de la vaccination française, mais on va devoir tendre vers cela pour le Covid", conclut-il.

La pression monte toujours en réa, avec plus de 5800 malades

C'est le niveau le plus élevé depuis un an. Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés en réanimation a continué sa progression ce dimanche, grimpant à 5838, selon les chiffres publiés par Santé publique France. Cet indicateur, qui n'avait pas été aussi haut depuis le 18 avril 2020, devrait encore augmenter dans les jours qui viennent.

"La pression reste très forte et le nombre d'admissions en réanimation va continuer d'augmenter pendant plusieurs jours, nous le savons", a déclaré au JDD le ministre de la Santé, Olivier Véran, tout en espérant que "les mesures de freinage" permettent "d'éviter d'atteindre le pic de la première vague", soit 7000 malades en réa les 7 et 8 avril 2020.

À l'heure actuelle, la capacité des services de réanimation dans les hôpitaux français a été portée à 8000 lits toutes pathologies confondues.

Le nombre total de personnes hospitalisées avec un diagnostic Covid-19 dimanche reste au-dessus de la barre des 30.000 (30.671), pas loin des pics de la première (32.000) et de la deuxième vague épidémique de l'automne.

La vente d'autotests en pharmacie autorisée à partir de ce lundi

Autre nouveauté, la vente en pharmacie d'autotests de dépistage du Covid-19 sur prélèvement nasal, pour les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans, a été autorisée par un arrêté publié dimanche au journal officiel.

Ces autotests "vont se déployer progressivement dans des milliers d'officines tout au long de la semaine", a indiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran, dans un entretien au JDD. Ils "vont être rapidement mis à disposition dans les établissements scolaires", a-t-il ajouté, disant envisager "d'aller jusqu'à deux tests par semaine par élève et par enseignant".

Ces autotests, qui ne nécessitent pas de présence de professionnels de santé et dont le mode de prélèvement est "moins invasif" que les dispositifs RT-PCR, "permettront la réalisation de tests plus fréquents", souligne l'arrêté publié au JO.

Leur prix sera encadré: il ne pourra excéder 6 euros jusqu'au 15 mai, puis au-delà 5,20 euros. Leur vente sur internet est interdite.

Pfizer/Moderna: l'intervalle entre les deux doses rallongé à partir de cette semaine

Autre changement dans la campagne de vaccination: à partir de cette semaine, l'intervalle d'injection pour la 2e dose sera également allongé pour le Pfizer-BioNTech et le Moderna.

À compter du 14 avril, "pour toutes les premières injections" de vaccin à ARN messager de Pfizer-BioNTech et Moderna, "nous proposerons un rappel à 42 jours au lieu de 28 actuellement", a ainsi annoncé le ministre de la Santé Olivier Véran dans le JDD. Une nouvelle stratégie qui doit conduire à accélérer les premières doses et "nous faire gagner 1,8 million d'injections sur la seconde quinzaine de mai".

La vaccination s'élargit à tous les plus de 55 ans

Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouveau direct consacré à l'évolution de l'épidémie de Covid-19. À partir de ce lundi, tous les 55 ans et plus, sans condition, sont éligibles à la vaccination en France, avec l'AstraZeneca ou bientôt le vaccin de Johnson & Johnson qui va aussi intégrer le circuit des pharmacies et de la médecine de ville.

Pour cette nouvelle catégorie de population, "on invite les personnes à se tourner en priorité vers leur médecin généraliste, les pharmaciens et infirmiers", plutôt que dans les centres de vaccination destinés aux plus de 70 ans, a précisé le ministère de la Santé.

Depuis le 19 mars, la France réserve aux plus de 55 ans le vaccin du laboratoire anglo-suédois AstraZeneca, après des cas rares mais graves de troubles de la coagulation observés uniquement sur des patients moins âgés. Mais les candidats devaient jusqu'à présent avoir des facteurs de comorbidité pour prétendre à la vaccination.

BFMTV