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Politique

L'affaire Penelope Fillon fait réagir Valérie Trierweiler

Valérie Trierweiler a réagi à l'affaire Pénélope Fillon.

Valérie Trierweiler a réagi à l'affaire Pénélope Fillon. - Leon Neal / AFP

Alors qu'un internaute faisait un parallèle entre les accusations visant Penelope Fillon et la polémique déclenchée par l'arrivée de Valérie Trierweiler à l'Elysée, l'ancienne compagne de François Hollande a dénoncé le "lynchage général" dont elle avait fait l'objet à l'époque.

Valérie Trierweiler, la journaliste et ancienne compagne de François Hollande, a évoque sur Twitter son ancienne situation ce mercredi. Tout commence quand un internaute a établi sur le réseau social un parallèle entre la polémique provoquée par son arrivée à L'Elysée après l'élection de François Hollande et l'affaire Penelope Fillon, accusée par le Canard enchaîné d'avoir été la collaboratrice fantôme de son mari pour 500.000 euros.

"Je repense au pataquès qu'avait provoqué la venue de Trierweiler à l'Elysée pour #lesrepublicains. On se marre bien plus avec #PenelopeGate!", a-t-il estimé. Répondant à cette comparaison, Valérie Trierweiler a évoqué le "lynchage général" dont elle avait selon elle fait l'objet à l'époque.

"Je pense surtout au lynchage général pour m'être battue afin de conserver mon job, exercé alors depuis 24 ans, pour 4100 euros net", a-t-elle répliqué. 

Interpellée sur son salaire

Journaliste pour Paris Match, Valérie Trerweiler avait quitté la rubrique politique pour celle consacrée à la culture, mais certains avaient estimé qu'elle devait tout bonnement quitter son emploi, alors qu'elle avait toujours été indépendante de son compagnon et élevait ses trois enfants séparément de sa relation avec lui. 

Interpellée sur le montant de son salaire après la publication de ce message, Valérie Trierweiler en a profité pour attaquer le programme de François Fillon. "Allo?! Ici la Terre! Le salaire d'un fonctionnaire de catégorie B avec 20 ans d'ancienneté = 1700 € nets", a fait valoir une utilisatrice de Twitter. "Je ne fais pas partie de ceux qui pensent que les fonctionnaires sont des privilégiés", s'est défendue Valérie Trierweiler. 

Charlie Vandekerkhove