BFMTV
Politique
en direct

Expulsion de l'Imam Iquioussen: Bardella fustige une "humiliation" pour Darmanin

placeholder video
Celui qui a succédé à Marine Le Pen le temps de sa campagne présidentielle sera opposé à Louis Aliot pour conserver les rênes du Rassemblement national. Il répond aux questions de Jean-Baptiste Boursier.

Ce direct est terminé

Ce direct est désormais terminé, merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com.

Hervé Morin et les Centristes s'inquiètent d'une possible radicalisation des Républicains

Hervé Morin, président du parti les Centristes, craint une "course à l'échalote derrière l'extrême droite" dans le cas où Eric Ciotti deviendrait président des Républicains, ce qui pourrait constituer un motif de rupture entre les deux partis, aujourd'hui alliés.

"Oui, les questions d'identité, d'immigration, de sécurité sont des sujets clés. Oui, les questions régaliennes sont des sujets clés. Mais il y a surtout besoin de revisiter la totalité de nos projets politiques en ayant en tête que la France d'aujourd'hui, ce n'est pas la France des années 1980", avertit-il dans un discours de rentrée.

Les Républicains ne comptent pas voter le budget cet automne

Malgré les invitations du porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, plusieurs personnalités des Républicains font savoir qu'ils voteraient contre le budget cet automne au Parlement.

"Demain, est-ce qu'on va voter le budget? Bien sûr que non, on est dans l'opposition", affirme Bruno Retailleau dans un discours au campus de rentrée des jeunes LR. "Ce n'est pas un acte comptable de voter un budget, c'est avant tout un acte politique", et "il n'est pas question, par des artifices politiciens, de rentrer dans un petit jeu de négociations", ajoute-t-il.

Eric Ciotti a aussi indiqué qu'il voterait contre, tout comme Aurélien Pradié, qui assure qu'il se "battra pour obtenir des avancées significatives" malgré tout.

Olivier Faure répond à et Bernard Cazeneuve après sa tribune pour "une autre gauche"

Invité dans l'émission "Questions politiques" diffusée sur France Inter, France Info et le Monde, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a réagi à la tribune de Bernard Cazeneuve publiée dans le JDD ce dimanche. L'ancien ministre l'accusait d'avoir été "toutouisé" par la France Insoumise.

"J'ai trouvé que Bernard Cazeneuve s'est beaucoup 'mélenchonisé', répond Olivier Faure. [...] C'est une expression qui m'a amusé. Je ne veux pas entrer dans les polémiques inutiles. Nous sommes à l'approche d'un Congrès [du PS], il y a des gens qui cherchent à créer de la tension, c'est le jeu."

La députée LFI Mathilde Panot défend un référendum sur la taxation des superprofits

Mathilde Panot, présidente du groupe la France Insoumise à l'Assemblée nationale est l’invitée de l'émission "Dimanche en politique" de France 3. Elle défend l'idée, discutée par plusieurs personnalités de gauche, d'instaurer une taxation des "superprofits". La proposition de cette mesure pourrait prendre la forme d'un référendum d'initiative partagée.

"Nous mènerons campagne pour ce référendum d’initiative partagée et nous avons même commencé, ce qui va nous donner de l’avance", annonce Mathilde Panot en faisant référence à une pétition lancée par la France Insoumise. 

Le nucléaire "n'est pas la solution" à la crise de l'énergie selon Sandrine Rousseau

La députée écologiste Sandrine Rousseau évoque dans le Grand Jury les solutions à la crise de l'énergie. "Les centrales [nucléaires] ne sont pas la solution puisque nous les avons aujourd'hui, juge-t-elle. Toute centrale nouvelle mettra quinze ans à exister."

Selon la députée, les solutions se trouvent plutôt du côté des entreprises qui "doivent faire davantage d'efforts", et des politiques publiques comme la rénovation des logements.

Sandrine Rousseau "assume de dénoncer un système qui nous envoie dans le mur"

Invitée du Grand Jury de RTL, LCI et du Figaro, Sandrine Rousseau revient sur l'urgence écologique.

"Aujourd'hui, le système de consommation dans lequel nous sommes nous envoie dans le mur à une vitesse qui dépasse l'entendement, explique-t-elle. Ce qu'on a vécu cet été, même les climatologues disent que c'est au-delà des prédictions qu'ils avaient faites."

Interrogée sur ses propos sur la viande, elle estime aussi qu'il faut dénoncer certaines habitudes sociales pour agir contre le dérèglement climatique: "La question, c'est quelle est la structure sociale qui nous empêche d'agir. Je pointe un changement culturel à faire, car nous avons des gestes individuels à faire."

Féminicides: Bardella approuve l'idée d'une "justice d'exception"

Isabelle Rome, ministre déléguée à l'Egalité entre les Femmes et les Hommes, a demandé de juger "de manière spécifique" les violences faites aux femmes. Elle a reçu le soutien de Jordan Bardella sur notre plateau: "Il peut y avoir une justice d’exception pour les féminicides."

Il a lié cette question à ce qu'il voit comme une tendance laxiste de la justice: "Le cancer de la violence s’étend sur tout le territoire parce que notre politique pénale est d’une faiblesse inouïe. Les peines sont trop faibles et les gens arrêtés sont souvent relâchés."

Affaire Iquioussen: "C'est une humiliation pour le ministre de l'Intérieur" selon Bardella

Jordan Bardella a ensuite évoqué l'affaire autour de l'imam Iquioussen. Il a lancé: "L'immigration et la sécurité sont totalement hors de contrôle en France".

"C’est une humiliation pour le ministre de l’Intérieur ", a-t-il jugé.

"Elle est la mieux placée": Jordan Bardella veut une nouvelle candidature de Marine Le Pen en 2027

Affichant sa proximité avec Marine Le Pen, Jordan Bardella a clairement dit son souhait de la voir postuler une fois de plus à l'Elysée.

"Elle a acquis une expérience, une légitimité dans le camp national. Elle est la mieux placée pour faire gagner nos idées en 2027", a-t-il déclaré.

Jordan Bardella publiera son programme et la composition de son équipe dans la semaine

Jordan Bardella, qui a remis en cause la disponibilité de Louis Aliot pour exercer la présidence du RN, a par ailleurs promis de rendre publique son équipe mais aussi de publier son programme pour le parti au cours de la semaine.

"Des sensibilités différentes mais une même ligne": Bardella nie toute inimité envers son rival Aliot et lui souhaite son anniversaire

Le congrès du RN du 5 novembre le verra affronter le maire de Perpignan, Louis Aliot, pour la présidence du parti. Jordan Bardella a concédé qu'ils avaient tous deux "des parcours, des sensibilités différents". Mais il a enchaîné: "J’ai de l’amitié pour lui, c’est son anniversaire aujourd’hui d’ailleurs, donc je le lui souhaite".

"Nous avons une même ligne politique", a-t-il soutenu. "Aidez-moi à poursuivre le travail de Marine Le Pen à la tête du mouvement, en votant pour moi, ils voteront aussi pour elle", a-t-il lancé en guise de plaidoyer pro domo.

Polémique sur le barbecue: Bardella accuse EELV d'"installer un nouveau totalitarisme"

Jordan Bardella a également réagi à la polémique sur la masculinité et le barbecue. Il y a vu un "débat absolument affligeant". "Le prix du steak haché a augmenté de 26%, les Français sont à des milliers de km d eces débats lancés par les Verts pour exister".

"Les Verts installent un nouveau totalitarisme, une société faite d’interdictions. Ils installent l’idée d’un catastrophisme généralisé", a-t-il tancé.

50 ans du RN/FN: "Il n'y aura pas de célébration particulière" selon Bardella

Le Rassemblement national aura bientôt 50 ans d'histoire, depuis la fondation du Front national en 1972. Invité à choisir parmi trois photos d'actualité Jordan Bardella a ainsi opté pour le cliché de Jean-Marie Le Pen. Il a écarté l'idée de fêter l'anniversaire du RN:

"Il n'y a pas de célébration particulière qui est prévue, mais on ne peut pas nous enlever d’avoir eu raison avant beaucoup d’autres en un demi-siècle, et on ne peut pas nous reprocher de ne pas aimer notre pays", a-t-il lancé.

Le CNR? "Le dernier gadget d'Emmanuel Macron", balaie Jordan Bardella

Jordan Bardella a ensuite fustigé le Conseil national de la Refondation voulu par le gouvernement. "C'est le dernier gadget d’Emmanuel Macron, après le Grand Débat".

Il a souligné que le lieu du dialogue entre le gouvernement et l'opposition devait être l'Assemblée nationale.

Bardella veut une taxe sur les superprofits mais pas de référendum d'initiative partagée

Tandis que la NUPES veut un référendum d'initiative partagée sur l'imposition d'une taxe sur les superprofits, Jordan Bardella commencé par railler: "Je n’ai pas besoin d’un référendum d’initiative partagée. Je veux bien que la gauche s’agite…"

La mesure a cependant ses faveurs: "Il faut une taxe sur les superprofits. Si le gouvernement ne le fait pas, il faudra que les Français votent pour le Rassemblement national la prochaine fois.

Pour Bardella, les sanctions prises contre les Russes ne "servent qu'à enrichir la Russie"

Jordan Bardella voit également d'un mauvais oeil la réponse européenne à l'invasion russe de l'Ukraine. Comme son confrère Sébasten Chenu sur Europe 1 il y a quelques instants, il a jugé: "Les sanctions prises contre la Russie sont beaucoup plus douloureuses pour les Français que contre les Russes."

"Elles ne servent qu’à enrichir la Russie !" a-t-il encore déploré.

Nucléaire: Bardella accuse le gouvernement de "crime économique lourd"

Jordan Bardella, citant notamment la fermeture de la centrale de Fessenheim, a critiquemùent sévèrement la politique nucléaire du gouvernement, l'accusant même d'avoir "effondré la filière". Il a alors pointé une "faute morale et un crime économique lourd".

"Le gouvernement nous pousse dans le vide", a-t-il jugé.

"En temps de crise, il faut réserver les prestations sociales aux Français" selon Jordan Bardella

Jordan Bardella a encore réclamé un tour de vis sur l'immigration au vu du contexte. "Il faut réserver les prestations sociales aux Français en temps de crise", a-t-il dit.

"Quand on ajoute deux fois la ville de Bordeaux en termes d’immigration chaque année dans notre pays je pense que c’est une dépense dont on pourrait se passer", a-t-il estimé.

Augmentation des salaires, baisse de la TVA: Bardella liste les pistes du RN face à la crise énergétique

Au micro de BFM Politique, Jordan Bardella évoqué la crise énergétique et ses conséquences sociales: "Pour beaucoup de Français le pouvoir d’achat est devenu le pouvoir de vivre". "Pour beaucoup d’entre eux, la fin du mois, commence le 5", a-t-il pointé.

Il a ensuite listé les solutions proposées par le RN: "Arrêt de la TVA de 20% à 5,5% sur l’ensemble des énergies, notamment le carburant car beaucoup des Français renoncent à se déplacer et aux plaisirs de la vie. Il faut un panier de 100 produits de première nécessité totalement exemptés de TVA, et il faut augmenter les salaires – tous de 10% - ils sont trop bas".

Jordan Bardella, candidat à la présidence du RN, est l'invité de notre émission "BFM Politique"

Jordan Bardella, président par intérim du Rassemblement national et qui espère être reconduit définitivement à la tête du parti à l'issue d'un scrutin prévu au 5 novembre, est notre invité ce midi dans le cadre de BFM Politique.

Il évoquera les enjeux de l'élection, sa rivalité avec son concurrent Louis Aliot et les grands thèmes des actualités française et internationale.

Chenu charge Mélenchon: "Il parle d'une politique du silence, qu'il se l'applique à lui-même!"

Alors que le leader insoumis a récemment dénoncé les pollutions sonores, plaidant pour un "droit au silence", Sébastien Chenu a moqué: "J'aimerais qu'il s'applique cette politique du silence à lui-même de temps en temps".

Plus largement, il a attribué à LFI une "politique de la brutalité et de chaos permanent". "C’est l’inverse de ce dont a besoin la société", a-t-il posé.

"Il faut des sanctions intelligentes contre la Russie", plaide Chenu

Sébastien Chenu a plaidé: "Il faut des sanctions intelligentes contre la Russie". "Les sanctions prises appauvrissent les Européens et vont dans les poches des Russes", a-t-il brocardé.

Il a illustré: "On a fait un embargo qui bénéficie aujourd’hui à la Russie, au lieu de faire s’écrouler le marché".

Crise énergétique et sociale: "Tout était prévisible", d'après Sébastien Chenu

Interrogé au sujet des crises en cours, Sébastien Chenu a martelé: "Tout était prévisible". "Tout était prévisible. L’inflation a commencé avant la guerre en Ukraine", a-t-il posé avant d'enchaîner: "La politique de zigzag en matière de nucléaire a envoyé les mauvais signes et empêché EDF de s’équiper correctement".

"La France insoumise est labélisée par les islamistes": la charge du député RN Sébastien Chenu

Le député d'extrême droite Sébastien Chenu a dénoncé une "classe politique qui rampe face à l'islamisme" pour des raisons électoralistes. Il a tout particulièrement ciblé la France insoumise: "La France insoumise est labélisée par les islamistes".

Il a listé ses griefs: "complaisance, faiblesse et refus de nommer les choses".

Affaire Iquioussen: Chenu dénonce une situation "humiliante" pour Darmanin

Evoquant le fond de l'affaire, Sébastien Chenu a accusé le ministre de l'Intérieur de "tordre les faits". "Il tord les faits pour se sortir d’une situation gênante voire humiliante pour lui et le pays", a-t-il dit. "Il parle fort mais il n’y a rien derrière", a-t-il jugé plus tard.

Le député RN préconise d'expulser automatiquement les fichés S étranger. "Ce gouvernement a la trouille de s’en prendre à l’islamisme", a-t-il accusé.

Manifestation contre l'expulsion de l'imam Iquioussen: "Il aurait fallu l'interdire" selon Sébastien Chenu

Le député RN élu dans le Nord, Sébastien Chenu, est à présent au micro du Grand-Rendez d'Europe 1. Il a dénoncé la tenue d'une manifestation contre l'expulsion de l'imam Iquioussen à Paris hier.

"C’était manifestement un trouble à l’ordre public, on aurait mieux fait de l’interdire", a-t-il estimé: Des islamistes appelant au retour d’un islamiste c’est choquant".

Affaire Iquioussen: Corbière dénonce une "mise en scène politique"

Invité à s'exprimer sur l'affaire autour de l'imam Hassan Iquioussen, Alexis Corbière a lancé: "Je ne soutiens pas ses propos, homophobes, antisémites". "Mais même le pire des individus demeure un sujet de droit", a-t-il ajouté, expliquant qu'il aurait voulu qu'il soit condamné en temps et en heure.

Il a dénoncé une "mise en scène politique", et une "énorme pression politique" exercées selon lui par Gérald Darmanin.

Tribune de Cazeneuve pour une "autre gauche": "Tout le monde a oublié qu'il avait été Premier ministre", raille Corbière

Alors que Bernard Cazeneuve a appelé dans le JDD à la fondation d'une "autre gauche", dissociée de la ligne de la NUpes dont fait parti Alexis Corbière.

Celui-ci a taclé: "Tout le monde a oublié qu'il avait été Premier ministre". "Il ne revient que pour polémiquer avec nous. Tous les candidats de Bernard Cazeneuve ont été battus aux législatives. Si vous pensez qu’il a le même poids qu’un Jean-Luc Mélenchon, qu’il se présente aux prochaines élections et on verra. Mais ce n’est pas mon sujet", a-t-il évacué.

Attaque de Mélenchon contre Borne: "Beaucoup de gens sont en difficulté par la faute du gouvernement", justifie Alexis Corbière

Hier, à la Grande Braderie de Lille, Jean-Luc Mélenchon a frappé fort contre l'exécutif. "Et madame Borne qui dit 'les insoumis veulent le chaos'. Pardon madame, le chaos c'est vous", a-t-il accusé, insistant: "c'est vous qui avez tout désorganisé, c'est vous qui êtes responsable de cette rentrée sociale pourrie, de cette rentrée scolaire qui ne fonctionne pas". Au micro d'Europe 1, son compagnon de route insoumis, Alexis Corbière lui a apporté son soutien.

"Il retourne l’argument comme au judo où on utilise l’énergie de l’adversaire pour le renverser", a-t-il observé. "Beaucoup de gens sont en difficulté, c’est la faute du gouvernement actuel", a-t-il déclaré.

Crise énergétique: Corbière assume d'être favorable à la sortie progressive du nucléaire

Tandis que la crise énergétique et l'explosion des coûts des énergies a remis en avant la question du nucléaire, le député insoumis a tancé le gouvernement pour son "hypocrisie" sur le dossier. "Il y a une forme de lâcheté du gouvernement sur ces sujets", a lancé Alexis Corbière.

"Je suis favorable à une sortie progressive du nucléaire, parce que le nucléaire n’assure pas totalement notre indépendance énergétique et avec le réchauffement climatique devient une énergie particulièrement dangereuse. (...) Les centrales ont dû baisser leur activité cet été", a-t-il déclaré.

Bouclier tarifaire sur l'énergie: l'insoumis Alexis Corbière jugera "sur les actes"

Alexis Corbière, député LFI élu en Seine-Saint-Denis, est l'invité du Grand Rendez-vous Europe 1-CNews-Les Echos. Tandis que l'exécutif a dit son intention de prolonger le bouclier tarifiare pour contrer l'explosion des prix de l'énergie en 2023, il a demandé à voir: "Il faut juger les personnalités politiques sur leurs actes."

Présidence LR: Virginie Calmels envisage de "porter plainte" après avoir vu sa candidature être rejetée

Virginie Calmels ne baisse pas les bras. L'ex numéro 2 de LR, désormais cheffe d'entreprise, annonce envisager d'attaquer son parti en justice, après avoir vu sa candidature à la présidence LR être rejetée au motif d'avoir mis à jour sa cotisation trop tardivement.

Assurant dans le JDD ce dimanche refuser de céder à de "petites manipulations" et dénonçant des "manoeuvres grossières", elle assure se "réserver le droit d'attaquer en justice".

"Je laisse le temps (à la haute autorité de LR) de se ressaisir et de reconnaître ses erreurs afin de valider ma candidature", précise-t-elle cependant.

>> C'est à lire ici.

"Le chaos, c'est vous!": Jean-Luc Mélenchon répond à Élisabeth Borne

Le chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon a renvoyé samedi à la Première ministre Élisabeth Borne sa critique sur une recherche du chaos, en lançant depuis la braderie de Lille que "le chaos, c'est vous!".

"Quand nous engageons, comme c'est normal dans une démocratie, notre travail d'opposant, (...) il nous est répondu sans cesse par des injures, par des mises en cause", a jugé l'ancien candidat à la présidentielle, lors d'un long discours depuis le stand de l'alliance de gauche Nupes.

"C'est vous qui avez tout désorganisé, c'est vous qui êtes responsable de cette rentrée sociale pourrie, de cette rentrée scolaire qui ne fonctionne pas", a-t-il ajouté.

>> La suite est à lire ici.

Présidence RN: qui pour succéder à Marine Le Pen?

Ce sera une première: le prochain président du Rassemblement national ne sera pas un membre de la famille Le Pen. Deux candidats se sont déclarés pour reprendre le flambeau: le maire de Perpignan Louis Aliot et l'actuel président du parti par intérim et député européen Jordan Bardella. Retour sur les parcours et profils des deux candidats.

Fin du suspens le 5 novembre prochain.

Éric Ciotti voit en Laurent Wauquiez le candidat naturel des Républicains en 2027

Quel candidat pour LR en 2027? Pour le député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, le choix est déjà fait et il se porte sur Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

"Une personnalité dispose des meilleures qualités pour incarner l’avenir de la droite : Laurent Wauquiez. Il est le mieux placé", assure Éric Ciotti, samedi dans le JDD.

"Il porte une vision courageuse de la France et de son avenir", estime-t-il, appelant à rapidement désigner un candidat, peut-être "dès le début 2023".

>> Tous les détails sont à lire ici.

Éric Ciotti et Laurent Wauquiez en 2018 à Menton
Éric Ciotti et Laurent Wauquiez en 2018 à Menton © VALERY HACHE / AFP

Bernard Cazeneuve lance un manifeste pour "une autre gauche"

L'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, opposé à l'accord entre PS et LFI au sein de la Nupes, estime qu'"une autre gauche est possible, qui rompe avec l'outrance et le sectarisme", dans un manifeste publié ce dimanche dans le JDD.

Faisant le constat d'un "paysage politique dévasté", Bernard Cazeneuve, qui a quitté le PS après l'accord sur la Nupes, estime que "ni la majorité relative anémiée (des macronistes), ni les oppositions majoritairement animées par la radicalité ne semblent pouvoir répondre aux attentes de nos compatriotes".

Le maire du Mans Stéphane Le Foll et l'ex-Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis font notamment partie des signataires.

>> Ses propos sont à retrouver dans notre article complet.

Budget 2023: Gabriel Attal veut travailler avec les oppositions pour éviter d'utiliser le 49.3

Une volonté de dialogue qui saura apaiser les tensions? Alors que le ministre délégué aux Comptes publics, Gabriel Attal, travaille sur la finalisation du budget pour l'année 2023, les oppositions ne se montrent pas très coopératives.

"Je m’étonne de certaines déclarations, notamment côté LR, indiquant leur intention de voter contre, avant même que le projet de loi ne soit connu", critique le ministre dans Le Parisien samedi.

"Si cela ne change pas, il estime que l'exécutif risque de n'avoir "d'autres choix que l'utilisation du 49.3". "Je ne me résous pas à cette perspective", assure-t-il cependant.

>> La suite est à lire ici.

Les Républicains: qui sont les candidats à la présidence du parti?

La bataille pour la présidence LR est lancée. L'élection du prochain président du parti de droite se rapproche peu à peu, avec un premier tour prévu les 3 et 4 décembre prochains, et plusieurs figures se sont déjà déclarées officiellement.

C'est le cas du député LR des Alpes-Maritimes Éric Ciotti et du patron des sénateurs LR Bruno Retailleau.

>> L'ensemble des candidats sont à retrouver dans notre article.

Les Républicains: François Fillon soutient la candidature de Bruno Retailleau pour la présidence

L'ancien candidat Les Républicains à la présidentielle 2017 reprend la parole. François Fillon, aujourd'hui retiré de la vie politique, a annoncé samedi sur Twitter soutenir le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau, candidat à la présidence du parti et ancien coordinateur de sa campagne.

L'ancien Premier ministre salue un "ami fidèle" qu'il juge capable de "conduire le renouveau des Républicains".

>> L'article complet est à lire ici.

Bonjour à tous!

Bienvenue sur ce direct consacré à l'actualité politique de ce dimanche 4 septembre 2022.

BFMTV