Christian Jacob, invité de Jean-Jacques Bourdin ce mardi à 8h35 sur RMC et BFMTV

Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée. - -
Jean-Jacques Bourdin reçoit ce mardi Christian Jacob, à 8h35 sur RMC et BFMTV. Comment le président du Groupe UMP à l’Assemblée Nationale a trouvé Nicolas Sarkozy ce lundi au bureau politique du parti. Les responsables du parti étaient dithyrambiques sur la prestation de l’ancien chef de l’Etat. Si Nicolas Sarkozy a promis que l’on pouvait « compter sur [lui] », il a rappelé toutefois que « ce n’était pas [sa] rentrée politique ». « Le jour où je reprendrai la parole ce sera pour parler aux Français de la France », a dit l’ancien président au début de son discours. Par ailleurs, Christian Jacob a-t-il participé au Sarkothon ? Et à quelle hauteur ? 2,2 millions d’euros avaient été récoltés lundi soir, rien que sur Internet.
« Rantanplan »
Christian Jacob lui, joue la carte Copé, dont il est proche, pour la présidentielle de 2017. Et le président de l'UMP le lui rend bien. Jean-François Copé a largement appuyé sa candidature à la présidence du groupe à l'Assemblée nationale. Il avait d'ailleurs déclaré: « Il ne faut jamais sous-estimer Christian. Il est d'une efficacité et d'un perfectionnisme redoutables ». A l'inverse, François Fillon ne témoigne pas du même enthousiasme à son égard. L'ex-premier ministre l'avait traité de « Rantanplan ». Une méprise qu'il n'oubliera jamais.
Le « mode d’emploi » d’Estrosi pour expulser les Roms
Le « retour » de Nicolas Sarkozy a quelque peu éclipsé les propos de Christian Estrosi. Le député maire UMP de Nice a jugé dimanche qu'islam et démocratie n'étaient « absolument pas » compatibles. Sur la question des Roms et des Gens du voyage, Christian Estrosi a proposé de fournir à tous les maires de France son « mode d'emploi » pour les expulser lorsqu’ils s’installent sur des terrains privés. Des propos qui ont provoqué la polémique. David Assouline estime que Christian Estrosi a « franchi la ligne rouge de la défense des valeurs républicaines », et pour Manuel Valls, ses propos évoquent « une politique passée qui a fait du mal à la France ».