CAFÉ POLITIQUE - Qui a dit "les Français détestent les politiques"?

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Le Tour de France continue pour Jean Lassalle
Le député Modem des Pyrénées-Atlantiques est parti le 10 avril de l'Assemblée nationale pour une marche "à la rencontre des Français". Depuis, il enchaîne les étapes à pied, en Picardie, dans le Nord-Pas-de-Calais... "Les gens nous détestent, ils détestent les politiques", a-t-il affimé au micro de RTL ce vendredi matin. Ce qu'il retient de ces rencontres? "Les Français sont résignés, ils pensent que 'ça va péter'", a-t-il encore indiqué. Ces prochains jours, il se trouve à Paris où il sera reçu par le président de l'Assemblée nationale et "par quelqu'un à l'Elysée". Avant de repartir, sac au dos, pour son Tour de France.
Valérie Trierweiler aurait aimé qu'on lui laisse le temps
Invitée d'Europe 1 ce matin, la compagne de François Hollande est revenue sur sa première année dans le rôle de "Première dame". "On ne m'a pas beaucoup laissé le temps. Mais bon... il fallait tout de suite... Mais moi, il m'a fallu le temps de prendre mes marques", a-t-elle expliqué.
Opération communication pour Bernard Tapie
Interview "exclusive" dans Le Figaro, interview dans Le Parisien... L'homme d'affaires a choisi de sortir du bois après les derniers rebondissements judiciaires concernant l'arbitrage qui lui a accordé 400 millions d'euros en 2008. Nicolas Sarkozy aurait donc "donné son feu vert" au recours à un tribunal arbitral, des réunions auraient bien eu lieu à l'Elysée. D'ailleurs Bernard Tapie ne cache pas être allé plusieurs fois à la rencontre de Nicolas Sarkozy "sans (s)e cacher"...
Jamel Debbouze "pas fier" de sa blague sur Sarkozy
S'il a baptisé Nicolas Sarkozy "Joe Dalton" pour faire un bon mot à l'Elysée mercredi soir, l'humoriste Jamel Debbouze n'en est pas "super fier", a-t-il expliqué au Petit Journal. Une blague "pas préparée" qui aurait pu "être coupée au montage" selon lui.
Remaniement à l'Elysée
Deux départs dans l'entourage de François Hollande sont annoncés par Le Parisien et Le Nouvel Obs. Il s'agit du directeur de cabinet adjoint, Alain Zabulon, et du chef de cabient, Pierre Besnard. Le départ du premier tombe au moment où celui-ci doit être entendu par la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire Cahuzac, fait remarquer Le Lab. Le second paierait des "loupés dans l'organisation des déplacements présidentiels", selon les termes du Nouvel Obs.