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Police-Justice

L'animateur Christophe Dechavanne jugé ce jeudi pour conduite sous stupéfiants en récidive

Christophe Dechavanne aux obsèques de Jean-Pierre Pernault, le 9 mars 2022, à Paris.

Christophe Dechavanne aux obsèques de Jean-Pierre Pernault, le 9 mars 2022, à Paris. - Thomas Samson - AFP

Christophe Dechavanne avait été contrôlé positif aux stupéfiants en août 2024 lors d’un contrôle routier à Toulon-sur-Allier, dans l'Allier. L’animateur et producteur circulait par ailleurs à 120 km/h sur une portion limitée à 80 km/h.

L’animateur et producteur Christophe Dechavanne doit comparaître ce jeudi 20 février à 14 heures devant le tribunal judiciaire de Moulins (Allier) pour "conduite sous l'emprise de stupéfiants en récidive", a appris BFMTV.com auprès du procureur de la République, confirmant une information du Parisien et de La Montagne.

Excès de vitesse

Christophe Dechavanne avait été contrôlé positif aux stupéfiants le samedi 17 août 2024, lors d’un contrôle routier à Toulon-sur-Allier, dans l'Allier. L’animateur et producteur circulait par ailleurs à 120 km/h sur une portion limitée à 80 km/h. En récidive légale, l'animateur et producteur encourt jusqu'à 4 ans de prison, 9.000 euros d'amende et l'annulation de son permis de conduire.

Dans une interview accordée au Parisien en janvier 2024, L’animateur de l’émission Quelle époque! était revenu sur son autobiographie, dans laquelle il expliquait tirer "sur un joint à la pause pub" de Ciel, mon mardi!.

"Ça nous permettait de nous désinhiber un peu et de nous marrer", avait fait valoir Christophe Dechavanne, ajoutant: "Je n’ai cependant jamais perdu le contrôle, car je suis un control freak".

L'animateur et producteur s'était également exprimé dans les colonnes de nos confrères au sujet des rumeurs sur sa consommation de cocaïne qui circulaient dans le tout Paris.

"Oui, je sais très bien quelle réputation j'avais dans Paris", avait-il affirmé. "Je sais en plus qui l'a fait courir la première fois, et je suis allé lui dire qu'il fallait que ça s'arrête". Mais, selon Christophe Dechavanne, la machine était lancée... "C'était trop tard", avait-il conclu.

Charlotte Lesage avec Boris Kharlamoff