Joggeuse de Nîmes : "Rien ne confirme l'agression sexuelle"
Le directeur de la police de Montpellier, Gilles Souli, et la procureur Laure Beccuau lors de la conférence de presse. - -
La joggeuse découverte décédée à Nîmes est porteuse de traces diverses "d'arme blanche, entre autres" a expliqué la procureure de la République, Laure Beccuau. Pour autant, "rien ne peut confirmer l'hypothèse d'une agression sexuelle", a-t-elle précisé.
L'autopsie, prévue lundi mais avancée à vendredi est toujours en cours.
La jeune mère de famille d'origine tunisienne, signalée disparue à la police depuis jeudi en fin d'après-midi, était âgée de 34 ans.
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Une lame de cutter et deux pierres ont été retrouvées à proximité du corps. Ces deux pierres, qui selon RTL portaient des traces de sang, et la lame pourraient être les armes du crime, selon une source proche du dossier.
La victime se trouvait sur un chemin du secteur de Courbessac, un paisible quartier résidentiel de Nîmes, au pied de la Garrigue.
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