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Le Poitiers Volley Ball reçoit Nice… et son ancien entraîneur

Earvin Ngapeth avec l'équipe de France masculine de volley-ball, à Poitiers le 27 mai 2022

Earvin Ngapeth avec l'équipe de France masculine de volley-ball, à Poitiers le 27 mai 2022 - Eddy Lemaistre/Icon Sport

Poitiers affronte Nice pour le compte de la 7e journée de la Ligue A masculine de volley, ce samedi 2 novembre. Les Poitevins vont retrouver leur ancien coach pendant onze ans, Brice Donat.

Des retrouvailles attendues. Le Poitiers Volley-Ball va affronter Nice, ce samedi 2 novembre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette rencontre est particulièrement attendue des deux côtés. En effet, le nouvel entraîneur de Nice n’est autre que Brice Donat, le coach de Poitiers pendant onze ans jusqu’à cet été, rappelle La Nouvelle République.

Désormais, l’Alterna Stade Poitevin Volley-Ball évolue sous les ordres du Canadien Dan Lewis. Le début de saison est particulièrement réussi. Le club a remporté quatre matchs sur les six rencontres disputées. La semaine passée, ils se sont imposés à Tours (3-1) avec un Earvin Ngapeth particulièrement inspiré. Le double champion olympique a marqué la bagatelle de 25 points.

Le 3e contre le 5e du championnat

Un début de saison en fanfare qui permet à Poitiers de se retrouver sur le podium de la Ligue A masculine, derrière Montpellier (1er) et Tourcoing (2e). L’équipe de Nice se retrouve, quant à elle, cinquième. C’est donc un choc de haut de tableau auquel on doit s’attendre ce samedi. "Poitiers est une équipe très complète. Tous les postes sont doublés voire plus", analyse Brice Donat dans les colonnes de La Nouvelle République. En outre, il fait remarquer que "Poitiers est la seule équipe à posséder 15 joueurs professionnels en France".

De son séjour à Poitiers, il ne garde que de bons souvenirs. "J’ai passé onze ans d’une vie à Poitiers. Il y a forcément des attaches", reconnaît le désormais coach de Nice. Et d’ajouter: "J’ai énormément d’amis là-bas. Une quinzaine de Poitevins vont venir voir le match. C’est assez incroyable", se réjouit-il.

Pierre Fougères (6Medias)