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Têtes couronnées

"Il a déjà assez de problèmes avec sa femme": Trump assure ne pas vouloir expulser le prince Harry

Donald Trump, Meghan et Harry

Donald Trump, Meghan et Harry - AFP - Montage BFMTV.com

Donald Trump s'en est à nouveau pris au prince Harry et à Meghan Markle, dans une interview accordée à un tabloïd. Il assure toutefois ne plus vouloir l'expulser.

"Je vais le laisser tranquille." Dans une interview accordée au tabloïd New York Post, le président américain Donald Trump a fait volte-face quant à l'avenir du prince Harry aux États-Unis: il ne l'expulsera pas.

"Je ne veux pas faire ça. Je vais le laisser tranquille. Il a déjà assez de problèmes avec sa femme. Elle est épouvantable", a-t-il ajouté, en s'en prenant à Meghan Markle.

Des attaques récurrentes

Ce n'est pas la première fois que Donald Trump exprime son désamour vis-à-vis du couple, qui a coupé les ponts avec la famille royale britannique pour s'installer aux États-Unis. En pleine campagne présidentielle, le milliardaire avait assuré qu'il ne "protégerait pas" le prince s'il était élu.

"Il a trahi la reine. C'est impardonnable. Il se débrouillerait tout seul si cela dépendait de moi", a-t-il ainsi déclaré au Daily Express US ajoutant que l'administration Biden avait été "trop généreuse" envers le prince Harry.

Donald Trump faisait allusion à une récente procédure visant le visa d'immigration du prince Harry. En juin 2023, un groupe de réflexion conservateur, The Heritage Foundation, avait en effet demandé à consulter le formulaire rempli par le prince pour obtenir son visa. Dans la ligne de mire de ce think tank, les questions relatives notamment à une consommation de drogue du prince, qu'il a évoquée dans ses mémoires.

Mais l'administration Biden avait refusé de fournir les documents remplis par Harry, estimant qu'ils n'étaient pas d'intérêt général.

Contrairement au prince Harry, Donald Trump assure beaucoup aimer son frère William. "Je pense que William est un jeune homme formidable", a-t-il expliqué au New York Post. Au contraire, selon le président américain, "le pauvre Harry est mené par le bout du nez" par sa femme.

Fanny Rocher