"J'ai le cœur brisé": Dwayne Johnson apporte son soutien aux victimes des incendies à Hawaï

Sur Instagram, le comédien a exprimé sa solidarité envers les victimes de cette catastrophe dévastatrice qui a fait au moins 96 morts dans l'archipel et a lancé un appel aux dons.

Après Jason Momoa, Dwayne Johnson exprime également sa solidarité envers les victimes des incendies dévastateurs à Hawaï. Le comédien a réagi sur Instagram à ce drame, qui a fait au moins 96 morts dans l'archipel, selon CNN.

"Je sais qu'à l'heure actuelle, vous avez tous vu dans le monde entier la destruction et la dévastation qui ont frappé nos îles hawaïennes - notre île de Maui - et j'en ai le cœur brisé, et je sais que vous l'êtes tous aussi", a-t-il déclaré dans une vidéo postée dimanche.

"Tout ce que j'ai observé ces deux derniers jours, tout ce qui continue à se passer heure par heure, minute par minute, tout cela me brise le cœur", poursuit-il.

Dans son message, Dwayne Johnson appelle également aux dons auprès de l'association Hawaii Community Foundation pour venir en aide aux habitants touchés par les incendies. "Je me suis entretenu avec des organisations sur le terrain, et je continuerai à transmettre autant d'informations que possible", ajoute-t-il.

Enquête ouverte

Alimentés par des vents violents aggravés par l'ouragan Dora, qui passe actuellement dans l'océan Pacifique, à plusieurs centaines de kilomètres au sud de l'archipel, ces incendies ravagent l'île de Maui où quelque 2207 bâtiments, majoritairement résidentiels, ont été détruits, et plus particulièrement la cité touristique de Lahaina, quasiment ravagée par les flammes.

Avec au moins 96 morts, le bilan de ces incendies dépasse celui du tsunami de 1960, qui avait fait 61 morts sur l'île d'Hawaï et en fait l'une des catastrophes les plus meurtrières de l'histoire de cet État américain.

Dans un paysage de désolation, les résidents cherchent à comprendre comment le drame a pu prendre de telles proportions. La justice aussi: une enquête a été ouverte sur la gestion de la crise par les autorités.

Carla Loridan