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Paris Île-de-France

Seine-et-Marne: un homme poignardé aux poumons lors d'une rixe sur le parking d'un supermarché

Un voleur de vélo a été piégé par l'une de ses victimes à Strasbourg. Il croyait se rendre à un rendez-vous pour le vendre à un acheteur ayant répondu à son annonce sur Le Bon Coin, il a à la place été interpellé par la police (image d'illustration).

Un voleur de vélo a été piégé par l'une de ses victimes à Strasbourg. Il croyait se rendre à un rendez-vous pour le vendre à un acheteur ayant répondu à son annonce sur Le Bon Coin, il a à la place été interpellé par la police (image d'illustration). - Mehdi Fedouach - AFP

Sur les quatre personnes qui ont pris part à cette violente bagarre, trois d'entre eux sont connus des services de police, en particulier deux frères.

Deux frères ont été poignardés par un homme ce samedi lors d'une bagarre survenue sur le parking de l'Intermarché de Boissie-la-Bertrand (Seine-et-Marne), relate Le Parisien.

L'une des deux victimes, âgée de 37 ans, a été touchée au niveau des poumons et transportée en urgence à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière à Paris, avant que le pronostic vital engagé ne soit levé dans la soirée.

Quant à son frère, âgé lui de 39 ans, il a été légèrement blessé à la cuisse et pris en charge à l'hôpital de Melun avant d'être placé en garde à vue.

Trois hommes connus des services

C'est vers 14 heures que quatre hommes, divisés en deux groupes de deux, ont déclenché cette bagarre. Les deux frères, originaires de Melun, ont frappé un autre individu, venant de la même ville et âgé de 58 ans, avec une barre de fer. Pour riposter, l'aîné sort un couteau et assène plusieurs coups aux deux frères.

Le quatrième individu, ami de l'homme ayant porté les coups de couteau et qui n'a pas été blessé, a été auditionné en tant que témoin par les policiers du commissariat de Melun en charge de l'enquête.

Sur les quatre personnes qui ont pris part à la bagarre, trois d'entre elles sont connues des services de police, en particulier les deux frères. Samedi soir, les enquêteurs n'avaient toujours aucune information sur les raisons de la bagarre, et l'enquête se poursuit, selon nos confrères du Parisien.

Martin Regley