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Finlande: 27 blessés, dont des enfants, dans l'effondrement d'une passerelle

Des équipes de secours travaillent sur le site de l'accident à Espoo, en Finlande, le 11 mai 2023

Des équipes de secours travaillent sur le site de l'accident à Espoo, en Finlande, le 11 mai 2023 - JUSSI NUKARI / LEHTIKUVA / AFP

Les blessés, qui faisaient partie d'un groupe scolaire, ne souffrent pas de blessures mettant leur "vie en danger", selon les secours. 24 d'entre eux ont été hospitalisés.

Ils ont chuté de plusieurs mètres. 27 personnes, principalement des enfants, ont été blessées ce jeudi dans l'effondrement d'une passerelle de chantier à quelques kilomètres d'Helsinki, la capitale finlandaise, ont indiqué les services de secours de la région.

Aucune des victimes ne souffre de "blessures mettant sa vie en danger", a précisé le centre hospitalier d'Helsinki dans un communiqué. Selon les images diffusées par les médias finlandais, les planches de bois de la passerelle se sont brisées sous le poids des jeunes, provoquant leur chute environ quatre à cinq mètres en contrebas. L'accident a eu lieu vers 9h20, heure locale (8h20 en France).

Sur les 27 blessés dans l'accident, qui a eu lieu dans la ville d'Espoo, en banlieue d'Helsinki, 24 ont été pris en charge et "transportés dans différents hôpitaux" de la capitale. Selon plusieurs médias dont le principal quotidien finlandais, le Helsingin Sanomat, les mineurs impliqués faisaient partie d'une classe de quatrième qui se rendait au musée.

Enquête ouverte

La police enquête actuellement sur les conditions de l'accident et notamment sur la sécurité entourant l'installation de la passerelle, affirment encore plusieurs médias finlandais.

"Notre soutien va aux blessés dans l'accident et à leurs proches. Vous êtes dans nos pensées", a réagi sur Twitter la Première ministre finlandaise Sanna Marin.

"Il est important de fournir un soutien et une assistance dès maintenant", aquant à lui partagé le président finlandais, Sauli Niinistö dans un message également publié sur Twitter.

Glenn Gillet avec AFP