L’UBO confirme sa place dans les classements mondiaux et brille en océanographie

L’université de Bretagne occidentale (UBO) confirme sa place dans les classements comme celui de Shanghai ou du Times Higher Education, qu’elle avait intégrée l’année dernière.

2024, année de la confirmation pour l’université de Bretagne occidentale (UBO). Après avoir intégré le classement du Times Higher Education pour la première fois l’année dernière, l’UBO confirme sa présence dans les différents classements internationaux cette année, relèvent nos confrères du Télégramme.

Comme en 2023, l’université figure entre la 800e et la 1.000e place du classement du Times Higher Education avec huit catégories classées sur onze évaluées.

"Il n’y a jamais eu de stratégie pour y figurer. C’est la conséquence de l’excellence de nos enseignements, mais pas un but", ont confié Vianney Pichereau, premier vice-président chargé de la mer, et Raphaël Tripier, vice-président chargé de la recherche et de l’innovation.

Sur le podium européen en océanographie

Au classement de Shanghai, l’UBO est classée dans sept disciplines différentes : l’ingénierie électrique et électronique, l’écologie, la médecine clinique, les sciences atmosphériques, les sciences de la terre, la technologie médicale et l’océanographie.

Une reconnaissance pour l’université malgré une chute dans le domaine de l’océanographie. L’UBO est doublée par plusieurs universités américaines mais reste sur le podium européen derrière l’université de la Sorbonne et celle de Southampton.

"C’est exceptionnel de voir une université de territoire, comme la nôtre, figurer à côté d’établissements qui sont présents dans le classement global des meilleures universités au monde", estiment Raphaël Tripier et Vianney Pichereau.

Thibault Jeannin (6Medias)