Alors que le risque d'une motion de censure plane sur le gouvernement Barnier, le ministre de l'Économie, Antoine Armand, a indiqué à BFMTV préférer réaliser moins d’économie plutôt que de ne pas avoir de budget.
Karim Bouamrane, maire PS de Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis, était l'invité du Live Switek pour évoquer la situation budgétaire de la France et sur la possible censure du gouvernement de Michel Barnier.
La position de Michel Barnier et de son gouvernement se fragilise de plus en plus avec en perspective une motion de censure qui devrait être déposée par la gauche en cas d'usage de l'article 49.3 lors du vote du budget.
Antoine Armand, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a été interrogé sur plusieurs thématiques comme le budget ou le risque de censure du gouvernement.
Antoine Armand, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la proposition du budget du gouvernement.
Antoine Armand, ministre de l’Économie des Finances et de l’Industrie, était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur le risque d'une censure du gouvernement Barnier.
Antoine Armand, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur
Antoine Armand, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la possible motion de censure du gouvernement.
Antoine Armand, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur le risque que le budget ne soit pas voté.
Antoine Armand, ministre de l’Économie des Finances et de l’Industrie, était l’invité du Face-à-Face de ce jeudi 28 novembre sur BFMTV et RMC. Il a notamment été interrogé sur la dette de la France.
Le président du Rassemblement national a rappelé les ligne rouges de son parti en matière budgétaire et évoque une potentielle censure si le gouvernement cherche à faire adopter "un budget punition" qui "va pénaliser la France qui bosse".
Emmanuel Macron ira-t-il au terme de son second mandat présidentiel? La pression s'intensifie sur son Premier ministre Michel Barnier, dont le gouvernement pourrait ne pas passer l'hiver du fait d'une censure. En parallèle, les appels à la démission d'Emmanuel Macron se font de plus en plus insistants depuis la dissolution de l'Assemblée nationale, prononcée le 9 juin. De La France insoumise au Rassemblement national, plusieurs responsables politiques et élus souhaitent que le président quitte son poste.
Michel Barnier renonce à augmenter les taxes sur l'électricité, l'une des principales demandes de Marine Le Pen pour ne pas le censurer dans les prochains jours. Mais le chef du gouvernement reste toujours sous la menace d'une motion de censure. Jordan Bardella estime que "des lignes rouges demeurent".
Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a réagi au compromis trouvé sur le budget entre les députés et les sénateurs. En pleine séance de dédicaces de son livre à Strasbourg, il a assuré que si le gouvernement "s'entête" alors "ce gouvernement tombera".
L'accord trouvé ce mercredi soir en commission mixte paritaire sur le budget de la Sécurité sociale pour 2025 ouvre la voie à son adoption sans vote via le recours à l'article 49.3 de la Constitution.
La France insoumise présente ce jeudi 28 novembre un texte à l'Assemblée pour abroger la réforme des retraites. Cette première étape pourrait être franchie avec succès grâce au soutien du reste de la gauche et du Rassemblement national si les débats vont jusqu'à leur terme. Pour autant, une adoption définitive est loin d'être actée.
En cas de 49.3 sur le budget de la sécurité sociale, une motion de censure pourrait être votée à l'Assemblée nationale dès le mercredi 4 décembre. Le calendrier d'une éventuelle chute de Michel Barnier dépend essentiellement du comportement du RN, qui pourrait retarder l'échéance au vendredi 20 décembre.
Redevenu simple député de Corrèze, l'ancien chef de l'État profite de sa présence au Palais-Bourbon pour préparer l'après. Si certains de ses collègues de l'Assemblée nationale saluent son assiduité en réunion de groupe, "personne n'est naïf" sur ses intentions.
Sur BFMTV, la secrétaire nationale du parti Les Écologistes Marine Tondelier a estimé que "le budget 2024 était mieux que le budget 2025".
Alors que Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi, après avoir mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement, les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Alors que Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi, après avoir mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement, les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Alors que Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi, après avoir mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement, les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Alors que Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi, après avoir mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement, les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
La secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, a rejoint Pierre Jouvet (PS) sur le plateau de BFMTV ce mercredi soir. Démonstration selon le député européen que le PS n'est pas en train de s'éloigner du NFP pour aller vers le "socle commun".
Alors que Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi, après avoir mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement, les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Yannick Neuder, député DR de l'Isère, explique que les 7 heures de travail non payées ont été retirés du texte de compromis sur le financement de la Sécurité sociale à l'issue de la CMP.
Les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire se sont accordés sur un compromis sur le budget de la sécurité sociale pour 2025.
Frédéric Valletoux, député Horizons de la Seine-et-Marne, réagit après l'accord trouvé entre députés et sénateurs pour un texte de compromis sur le budget de la Sécurité sociale. "J'ai présidé aujourd'hui la première CMP conclusive sur un PLFSS depuis quasiment 15 ans", explique-t-il.
L'accord trouvé ce mercredi soir en commission mixte paritaire sur le budget de la Sécurité sociale pour 2025 ouvre la voie à son adoption sans vote via le recours à l'article 49.3 de la Constitution.
Sur BFMTV ce mercredi, Jean-François Copé a appelé à une "nouvelle élection présidentielle", estimant qu'Emmanuel Macron "ne peut pas tenir jusqu'en 2027". De la gauche à l'extrême droite, les appels à la démission s'intensifiant.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Hadrien Clouet, député LFI de Haute-Garonne, se félicite de l'annonce du PS de voter l'éventuelle motion de censure qui pourrait être déposée par LFI la semaine prochaine. "Il est temps que Monsieur Barnier passe du temps avec sa famille", explique-t-il.
Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a "confirmé à l'unanimité le vote d'une motion de censure" si Michel Barnier utilise l'article 49.3 pour adopter le projet de loi de finances 2025.
Michel Barnier poursuivait ses consultations ce mercredi par la réception notamment de Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée, et de Patrick Kanner, président du groupe au Sénat. À l'issue de son bureau national, le PS a confirmé à l'unanimité le vote d'une motion de censure contre le Premier ministre en cas de recours au 49.3 sur le budget.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Le maire LR de Meaux, Jean-François Copé, a plaidé ce mercredi sur BFMTV pour l'organisation d'une élection présidentielle anticipée en 2025, jugeant qu'Emmanuel Macron ne "peut pas tenir" jusqu'à la fin de son mandat dans la situation politique actuelle.
Auditionné au Sénat, Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, s'alarme face aux nombreux départs de migrants dans le Nord de la France à bord d'embarcations en direction de l'Angleterre. "Ça ne peut plus durer comme ça", a-t-il indiqué.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Le maire LR de Meaux et ancien ministre Jean-François Copé était l'invité de "Tout le monde veut savoir" ce mercredi soir pour évoquer la menace d'une mention de censure qui plane sur le gouvernement Barnier.
Le Sénat suit la trace des députés, qui se sont aussi opposés mardi au traité négocié par l'UE.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale se sont entendus sur une baisse des exonérations de cotisations patronales.
Auditionné au Sénat sur l'immigration ce mercredi, Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, affirme que certains Afghans présents en France sont "très islamisés" tandis que d'autres sont "parfaitement inoffensifs". "On a un souci avec la population d'Afghans qui est en France", a ajouté le ministre.
Les députés et sénateurs réunis en commission mixte paritaire sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale se sont entendus sur une baisse des exonérations de cotisations patronales.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
Michel Barnier poursuit ses consultations ce mercredi. Le Premier ministre a mis en garde la veille contre des "turbulences graves sur les marchés financiers" en cas de motion de censure contre son gouvernement. Michel Barnier a estimé la situation "très grave" et a assuré qu'il aurait recours au 49.3 pour faire adopter le budget.
La défense de Marine Le Pen s'exprimait ce mercredi après deux mois d'audience dans le cadre du procès des assistants parlementaires du FN pour tenter de convaincre le tribunal de l'innocence de la cheffe de file du Rassemblement national à l'Assemblée nationale.
