Le président syrien par intérim Ahmad al-Chareh a annoncé ce samedi 29 mars les membres de son nouveau gouvernement. Ce nouveau gouvernement dominé par ses fidèles se veut légèrement plus inclusif que l'équipe précédente chargée de la transition.
"Les forces israéliennes ont frappé les capacités restantes sur les bases militaires de Tadmor", une base située à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Palmyre, a indiqué l'armée israélienne sur Telegram.
Nicolas Hénin, ancien otage en Syrie et partie civile au procès, explique avoir "assisté à un appel au djihad" lors de la prise de parole de Mehdi Nemmouche. Le jihadiste est accusé d'avoir été un geôlier d'otages occidentaux de Daesh en Syrie en 2013.
Les Forces démocratiques syriennes ont annoncé qu'un appareil turc a bombardé "une famille d'agriculteurs" dimanche soir, précisant que les frappes avaient visé la région de Kobané, dans le nord-est de la Syrie.
Au moins 1.383 civils ont été tués en Syrie depuis le 6 mars. Ces exactions, menées par des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste, visent une minorité de l’ouest de la Syrie : les Alaouites. Il leur est notamment reproché d’être de la même confession que l’ancien dictateur Bachar-al-Assad.
La France a procédé à plusieurs opérations de rapatriement qui ont cessé à l'été 2023, malgré les condamnations internationales dont celle de la Cour européenne des droits de l'Homme en 2022.
De violents affrontements ont émaillé l'ouest de la Syrie début mars, provoquant la mort de plus de 1.200 civils selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
Lundi, le président syrien par intérim et le chef des Forces démocratiques syriennes ont réussi à se mettre d'accord sur une intégration des institutions civiles et militaires kurdes dans le gouvernement national.
Le président syrien par intérim et le chef des Forces démocratiques syriennes ont réussi, ce 10 mars, à se mettre d'accord sur une intégration des institutions administratives kurdes dans le gouvernement national.
Les explications du journaliste Wassim Nasr, spécialiste des mouvements djihadistes, sur la situation en Syrie.
La minorité alaouite de l'ouest de la Syrie a été visée par une série d'exactions commises par des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste. Leur tort? Être de la même confession que l'ancien dictateur Bachar al-Assad.
Des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste ont semé la terreur sur la côte syrienne, tuant de nombreux civils principalement de confession alaouite, une branche de l'islam associée à l'ancien dictateur Bachar al-Assad.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité du nouveau pouvoir en place embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis le jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité du nouveau pouvoir en place embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis le jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Après plusieurs jours de violences meurtrières sur la côte méditerranéenne du pays, le président syrien par intérim Ahmed al-Chareh a affirmé qu'un comité serait formé pour "protéger la paix civile".
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Cela porte le bilan des violences à 1018 morts, dont 273 membres des forces de sécurité et des combattants loyaux au clan Assad.
Le nouveau président de la Syrie a appelé les insurgés alaouites du nord-est du pays à déposer les armes "avant qu'il ne soit trop tard", estimant qu'ils ont "commis une faute impardonnable" après une flambée de violences.
