
Frappe israélienne au Liban: BFMTV est sur les lieux
BFMTV est à Beyrouth, au Liban, là où la frappe israélienne s'est abattue, faisant plusieurs dizaines de victimes.
BFMTV est à Beyrouth, au Liban, là où la frappe israélienne s'est abattue, faisant plusieurs dizaines de victimes.
Selon la Défense civile, un "tir de roquette israélien" sur l'école Al-Zaytoun C a fait au moins 21 morts à Gaza-ville.
Le Hezbollah a annoncé ce samedi 21 septembre la mort d'un deuxième haut commandant dans la frappe israélienne menée la veille sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du mouvement libanais, qui a fait au moins 15 morts.
Deux des chefs du Hezbollah ont été tués dans la frappe israélienne menée vendredi à Beyrouth. Au total, 16 membres du Hezbollah ont péri et 15 autres personnes ont été tuées.
Qualifiant Israël d'"État voyou", le ministre libanais des Affaires étrangères a dénoncé ce vendredi 20 septembre devant le Conseil de sécurité de l'ONU les explosions simultanées d'appareils de communication utilisés par le Hezbollah au Liban cette semaine.
Après des attaques israéliennes sur la banlieue de Beyrouth ce vendredi 20 septembre, l'Iran a dénoncé une frappe "brutale et vicieuse", pointant du doigt "une violation flagrante du droit international".
Après les explosions de bipeurs et de talkies-walkies du Hezbollah qui ont fait plusieurs morts depuis le début de la semaine au Liban, l'ONU s'est dit "très inquiète" ce vendredi 20 septembre, appelant à une "désescalade" du conflit.
Un membre du Hezbollah, blessé aux mains et aux yeux dans l'explosion de son bipeur, raconte le moment où son appareil l'a blessé et explique pourquoi l'organisation utilise cet appareil pour communiquer.
Quelques jours après les attaques israéliennes sur les bipeurs et les talkie-walkies du Hezbollah, l'État hébreu a de nouveau frappé le Liban, cette fois-ci en bombardement un "fief du Hezbollah" à Beyrouth. Le président des États-Unis, Joe Biden, s'est exprimé sur ce conflit ce vendredi.
Quelques jours après les attaques israéliennes sur les bipeurs et les talkie-walkies du Hezbollah, l'État hébreu a de nouveau frappé le Liban, cette fois-ci en bombardement un "fief du Hezbollah" à Beyrouth.
Quelques jours après les attaques israéliennes sur les bipeurs et les talkie-walkies du Hezbollah, l'État hébreu a de nouveau frappé le Liban, cette fois-ci en bombardement un "fief du Hezbollah" à Beyrouth.
Quelques jours après les attaques israéliennes sur les bipeurs et les talkie-walkies du Hezbollah, l'État hébreu a de nouveau frappé le Liban, cette fois-ci en bombardement un "fief du Hezbollah" à Beyrouth.
Quelques jours après les attaques israéliennes sur les bipeurs et les talkie-walkies du Hezbollah, l'État hébreu a de nouveau frappé le Liban, cette fois-ci en bombardement un "fief du Hezbollah" à Beyrouth.
L'armée israélienne annonce ce vendredi 20 septembre avoir mené une "frappe ciblée" sur la banlieue sud de Beyrouth. Cette frappe a fait au moins huit morts et 59 blessés selon le ministère libanais de la Santé. Le chef de la force Al-Radwan, unité d'élite du Hezbollah, Ibrahim Aqil, a été tué
Le chef du Hezbollah a promis de porter à Israël "un terrible châtiment" après la série d'explosion d’appareils de communication de ses membres. Mais, quelle est la puissance militaire du Hezbollah?
L'armée israélienne annonce ce vendredi 20 septembre avoir mené une "frappe ciblée" sur la banlieue sud de Beyrouth. Cette frappe a fait au moins trois morts et 17 blessés selon le ministère libanais de la Santé.
L'armée israélienne a annoncé avoir "éliminé" le chef de l'unité paramilitaire d'élite du Hezbollah, Ibrahim Aqil, et d'autres hauts responsables du mouvement islamiste libanais lors d'une frappe aérienne ce vendredi 20 septembre sur Beyrouth. Cette frappe a fait au total 14 morts, selon le ministère libanais de la Santé.
Israël remet en cause la compétence de la Cour pénale internationale dans cette affaire ainsi que la légalité de la requête du procureur.
La psychose gagne le Liban après l’explosion meurtrière d’appareils de transmission du Hezbollah, vraisemblablement piégés par les services secrets israéliens. Les habitants craignent que leurs propres objets électroniques explosent eux aussi.
L'armée israélienne a promis dans un communiqué publié ce jeudi 19 septembre de "continuer de démolir les infrastructures et les capacités (...) du Hezbollah" au Liban alors que le mouvement islamiste a reçu un coup "sans précédent" cette semaine après les explosions meurtrières de ses appareils de transmission.
Emmanuel Macron a assuré qu'un "chemin diplomatique exist[ait]" et que "la guerre n'[était] pas inéluctable" au Liban.
Le chef du Hezbollah libanais, Hassan Nasrallah, a affirmé jeudi 19 novembre que sa formation avait reçu "un coup sévère et sans précédent", accusant Israël d'avoir "franchi toutes les lignes rouges" en faisant exploser les appareils de transmission du groupe.
Dans un discours retransmis en direct, le chef du Hezbollah libanais a affirmé que "l'ennemi voulait tuer pas moins de 5.000 personnes" en faisant exploser, deux jours de suite, les bipeurs et les talkie-walkies aux mains des membres du puissant mouvement pro-iranien.
12 personnes ont été tuées dans la première vague d'explosions de bipeurs mardi et 25 dans la deuxième vague d'explosions de talkie-walkies mercredi. Ces appareils de transmission appartenaient au Hezbollah, un mouvement islamiste soutenu par l'Iran et allié du Hamas palestinien.
Au moins 20 personnes sont mortes au Liban mercredi 18 septembre dans l'explosion d'appareils de transmission du Hezbollah, au lendemain d'explosions similaires de bipeurs. Les médecins sur place ont été confrontés à l'arrivée de milliers de blessés avec de graves lésions.
Icom, le fabricant japonais des talkies-walkies soupçonnés d'avoir explosé mercredi, indique que ses appareils ont été produits et exportés entre 2004 et octobre 2014.
Le ministère des Affaires étrangères indique ce mercredi 18 septembre que la France "exprime son inquiétude" après la série d'explosions de talkies-walkies du Hezbollah ayant fait au moins 20 morts au Liban.
Le texte, adopté par 124 voix pour, 14 contre et 43 abstentions, "exige" qu'Israël "mette fin sans délai à sa présence illicite" dans les territoires palestiniens et que ce soit fait "au plus tard 12 mois après l'adoption de cette résolution". Même si les résolutions de l'Assemblée générale ne sont pas contraignantes, Israël a fustigé une "décision honteuse".
Les "objets civils" ne doivent pas être transformés en armes, a insisté le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, alors que le Liban est touché par une vague d'explosions de talkies-walkies qui fait suite aux explosions de bipeurs de membres du Hezbollah.
Trois personnes ont été tuées mercredi dans l'explosion d'appareils de transmission à Sohmor, dans l'est du Liban, a rapporté l'agence nationale d'information (officielle), au lendemain d'explosions meurtrières de bipeurs de membres du Hezbollah pro-iranien.
Ces nouvelles déflagrations surviennent au lendemain de l'explosion simultanée de bipeurs du Hezbollah au Liban et en Syrie, ce mardi 17 septembre, qui a fait au moins 12 morts et près de 2.800 blessés.
Le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk, réclame ce mercredi 18 septembre une "enquête indépendante, sérieuse et transparente" sur l'attaque meurtrière aux bipeurs au Liban.
Le bilan de l'explosion simultanée de bipeurs à travers le Liban fait désormais état de 12 morts, dont deux enfants, selon le ministre libanais de la Santé, Firass Abiad.
Au moins 12 personnes sont mortes et près de 2.800 ont été blessées mardi 17 septembre dans l'explosion simultanée de bipeurs au Liban et en Syrie. L'attaque, qui n'a toujours pas été revendiquée, serait l'œuvre d'un "service d’État d’un certain niveau de technicité", d'après Gilles Sacaze, ancien cadre du service action de la DGSE.
Des explosions simultanées de bipeurs utilisés par le Hezbollah à travers le Liban ont fait au moins neuf morts et près de 2.800 blessés ce mardi 17 septembre. Le Hezbollah a accusé Israël et a promis que l'État hébreu recevra "son juste châtiment".
Au moins 12 personnes sont mortes et près de 2.800 ont été blessées ce mardi 17 septembre dans l'explosion simultanée de bipeurs au Liban et en Syrie. Les victimes: des membres du Hezbollah. Israël et ses services de renseignement pourraient être les auteurs de cette action inédite.
Ce mardi 17 septembre, des explosions simultanées de bipeurs utilisés par le Hezbollah à travers le Liban ont fait au moins neuf morts et près de 2.800 blessés. Des responsables américains ont affirmé que ces appareils ont été commandés par le mouvement libanais à une entreprise basée à Taïwan.
Des sources anonymes révèlent au New York Times que les explosions de bipeurs du Hezbollah au Liban et en Syrie, qui ont fait au moins 9 morts ce mardi 17 septembre, ont été orchestrées par Israël, qui a placé dans chaque appareil une petite charge explosive et un déclencheur.
Des talkies-walkies du Hezbollah ont explosé aujourd'hui dans la banlieue sud de Beyrouth, ainsi que dans le sud et l'est du Liban faisant au moins 20 morts et 450 blessés. Ces déflagrations surviennent après celles de bipeurs hier qui ont fait au moins 12 morts et près de 2.800 blessés.
"Chaque jour qui passe sans accord" pour un cessez-le-feu à Gaza "signifie une plus longue détention pour les otages et plus de personnes tuées", a déploré ce mardi 17 septembre Josep Borrell lors d'une visite à Dubaï.
Au moins neuf personnes ont été tuées et 2.750 blessées dans une série d'explosions de bipeurs au Liban et en Syrie. Le Hezbollah pointe la responsabilité d'Israël et promet de punir l'État hébreu.
Au moins neuf personnes ont été tuées et près de 2.750 ont été blessés dans différentes régions du Liban, suite à l'explosion de leurs bipeurs, d'après le bilan provisoire du ministre de la santé libanais Firass Abiad. Plusieurs combattants et cadres du Hezbollah ont été blessés dans cette vague d'explosions. Le Hezbollah accuse Israël d'être à l'origine de cette attaque mais pour l'heure, cette vague d'explosions n'a pas été revendiquée.
Huit personnes ont été tuées et près de 2.750 ont été blessés dans différentes régions du Liban, suite à l'explosion de leurs bipeurs, d'après le ministre de la Santé libanais Firass Abiad. La plupart des victimes ont été blessées "au visage, à la main, au ventre, et même aux yeux", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.
Huit personnes ont été tuées et près de 2.750 ont été blessés dans différentes régions du Liban, suite à l'explosion de leurs bipeurs, d'après le ministre de la Santé libanais Firass Abiad. La plupart des victimes ont été blessées "au visage, à la main, au ventre, et même aux yeux", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.
Huit personnes ont été tuées et près de 2.750 ont été blessés dans différentes régions du Liban, suite à l'explosion de leurs bipeurs, d'après le ministre de la Santé libanais Firass Abiad. La plupart des victimes ont été blessées "au visage, à la main, au ventre, et même aux yeux", a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse.
Neuf personnes sont mortes et 2.750 ont été blessés dans différentes régions du Liban suite à l'explosion de bipeurs, ce mardi 17 septembre. Le fils d'un député du Hezbollah a été tué.
Depuis le 7 octobre 2023, des milliers d'Israéliens ont fui le nord d'Israël en raison des tirs transfontaliers du Hezbollah libanais, qui affirme que cette campagne vise à soutenir son allié palestinien.
Auprès de l'Agence France presse ce lundi 16 septembre, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres affirme que "rien ne justifie la punition collective de la population palestinienne" dans l'enclave bombardée sans relâche par l'armée israélienne depuis le 7 octobre 2023.
Depuis la mort de Mahsa Amini et la naissance du mouvement "Femme, vie, liberté" en Iran, en septembre 2022, le nombre d'exécutions a doublé. La République islamique utilise la peine capitale pour tenter de réduire la population au silence et de garder la main-mise sur le pouvoir.
Narges Mohammidi, emprisonnée depuis 2021 en Iran, a annoncé qu'une trentaine de prisonnières politiques ont entamé cette grève de la faim pour commémorer le deuxième anniversaire du mouvement.