Vigilance rouge canicule: Elisabeth Borne appelle à la plus grande prudence

Elisabeth Borne le 13 juillet 2022 à l'Elysée - Ludovic Marin/AFP
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C'est la fin de notre direct politique.
On se retrouve demain matin pour un nouveau direct.
Bonne soirée
Vigilance rouge canicule: Borne appelle à la plus grande prudence
Face aux températures historiques qui s'annoncent demain, Elisabeth Borne appelle dans un communiqué de presse à "une vigilance particulière", notamment pour "les personnes les plus fragiles".
Météo France vient de classer 15 départements de la façade Ouest du pays en vigilance rouge canicule, le niveau maximal.
"Les gestes de prévention pour réduire les impacts des fortes chaleurs sur la santé, (hydratation régulière, maintien du logement au frais, éviter la consommation d’alcool, vigilance quant à la surveillance des baignades …), doivent être suivis scrupuleusement", avance encore la Première ministre.
Tweet de Mathilde Panot: Patrick Vignal dénonce "une ignominie"
Patrick Vignal, député Renaissance de l'Hérault, revient sur le tweet polémique de Mathilde Panot qui a fait réagir sur les bancs de la macronie mais aussi à gauche.
"Ce soir et depuis le début de ce quinquennat, il y a une affaire, une diffamation. On n’est pas en train de grandir la classe politique et je veux laisser les Français juger cette ignominie", juge l'élu au micro de BFMTV ce dimanche.
Si vous n'avez rien suivi, notre article vous explique tout ici.
Laurent Wauquiez ne se présentera pas à la présidence des LR
Laurent Wauquiez vient d'annoncer sur Facebook ne pas être candidat à la présidence des LR. Il était pourtant sur les rangs pour remplacer Christian Jacob. Parmi les potentiels prétendants, on trouve Xavier Bertrand, Rachida Dati et David Lisnard.
On vous résume tout ici.
"Il peut prendre d'autres visages, se draper dans d'autres mots (....) mais il revient": Macron dénonce l'antisémitisme, "encore plus brûlant, rampant qu'il ne l'était en 1995"
"Nous n'en avons pas fini avec l'antisémitisme. Il est encore plus brûlant, rampant qu'il ne l'était en 1995 dans notre pays, en Europe et dans tant d'endroits du monde", a fustigé Emmanuel Macron, appelant "les forces républicaines" à "redoubler de vigilance".
"Il peut prendre d'autres visages, se draper dans d'autres mots, d'autres caricatures mais l'odieux antisémitisme est là, il rôde, toujours vivace, persiste, s'obstine, revient. Il se déchaîne dans la barbarie terroriste (...), il s'installe dans la sucession de scrimes antisémites, il s'affiche sur les murs de nos villes (...), il profane nos tombes, il souille les portraits de Simone Viel, il s'immisce dans les débats sur certains plateaux, il joue de la complaisance de certaines forces politiques, il prospère dans une nouvelle forme de révisionnisme historique, voir de négationnisme".
"N'avons-nous pas cru bon de rouvrir un débat tranché de longue date sur la participation de Pétain et des hommes de Vichy sur la mise en oeuvre de la solution finale?", s'est interrogé Emmanuel Macron, alors que le candidat d'extrême droite Eric Zemmour a répété à de nombreuses reprises que le maréchal Pétain avait "sauvé" des juifs français lors de la Seconde guerre mondiale.
"Ni Pétain, ni Laval, ni Bousquet, ni Darquier de Pellepoix, aucun de ceux-là n'a voulu sauver des Juifs. C'est une falsification de l'histoire que de le dire", a répondu le chef de l'État, en estimant que "ceux qui s'adonnent à ces mensonges ont pour projet de détruire la République et l'unité de la Nation".
Emmanuel Macron: "80 ans après cette éclipse de l’humanité, il est toujours aussi urgent (...) de scruter la haine dans notre passé pour mieux la scruter dans notre présent"
"Nous savons l’impardonnable et la mécanique de tout cela. Le traumatisme et le déni ont longtemps fait taire la vérité de la Shoah", a déclaré Emmanuel Macron depuis Pithiviers.
"80 ans après cette éclipe de l’humanité, il est toujours aussi urgent, peut-être plus que jamais, important de rappeler l’histoire pour la conjurer, scruter la haine dans notre apssé pour mieux la sruter dans notre présent", a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron: "La France de Vichy venait de loin, insidieusement, et elle a éteint la France des Lumières"
"La France de Vichy venait de loin, insidieusement, et elle a éteint la France des Lumières. La France s’est trahie elle-même parce qu’elle avait renoncé à ce qui lui était inséparable, l’humanisme", a déclaré le chef de l'État lors de son disocurs de commémoration du 80e anniversaire de la rafle du Vel d'Hiv.
"Ce n’était pas là toute la France, la République. La République, l'esprit de la France n’étaient pas à Vichy, à Paris, à Drancy. Elle vivait (...) avec ceux qui deviendrait des Justes parmi la nation, (...) elle vivait avec De Gaulle et les forces de la France libre...".
Emmanuel Macron reprend les mots de Jacques Chirac: "Ces heures noires souillent à jamais notre histoire"
Lors de son discours, le président actuel a repris les mots de Jacques Chirac, le premier à reconnaître la responsabilité de l'État français dans la rafle du Vel d'Hiv.
"Je veux répéter les mots du président Chirac: ‘ces heures noires souillent à jamais notre histoire. La France, ce jour-là, accomplissait l’irréparable’".
"Oui, agissant au nom de la France, l'État de Pétain, Laval, Bousquet, manqua de manière délibérée à tous les devoirs de la partie des Lumières et des droits de l'Homme. Pas un seul soldat nazi ne prit part à la rafle", a-t-il rappelé.
Emmanuel Macron: "Cinq jours durant, le Vélodrome d’Hiver se transforma en premier cercle de l’enfer"
Emmanuel Macron a débuté son discours depuis Pithiviers, pour les 80 ans de la commémoration de la rafle du Vel d'Hiv. Ce jour-là, "des milliers de familles basculèrent en plein cauchemar, seulement parce qu’elles étaient juives".
"Les policiers n’eurent besoin que d’une arme, des listes d’hommes, de femmes, d’enfants, dont le seul crime était d’être juifs et qu’ils embarquèrent dans ces bus de la honte qui furent le prélude aux trains de la mort", a déclaré le chef d'État.
"Cinq jours durant, le Vélodrome d’Hiver se transforma en premier cercle de l’enfer. Dans cette antichambre des camps, devant leurs geôliers en képi, des familles se chuchotaient des mots en yiddish pour se rassurer, pour se dire que la France ne ferait jamais ça. Pourtant, la France le fit, l’État français le fit".
Le président a inauguré un nouveau mémorial, installé sur le site de l'ancienne gare de Pithiviers, deuxième lieu de déportation en France: "Cette gare, qui fut un lieu de deuil, d’horreur, nous en faisons aujourd’hui un lieu de mémoire pour honorer le souvenir des 16.000 juifs internés à Beaune-la-Rolande et Pithiviers".
"Une confusion politique répugnante": Beaune fustige le message "aberrant, abject" de Panot sur le Vel d'Hiv
Clément Beaune, ministre des Transports, a réagi au micro de BFMTV au tweet polémique de la patronne des députés Nupes Mathilde Panot, fustigeant un "message qui est aberrant, abject, qui mélange à la fois de la bêtise, de l'ignorance et de l'indécence".
"La seule façon de faire maintenant, c'est de retirer ce message, de s'excuser. Tout mélanger, dans une confusion politique répugnante, c'est une insulte et il faut réparer rapidement cela", a-t-il estimé.
Et d'ajouter: "Ça dit aussi quelque chose sur la grande confusion qui anime certians chez La France Insoumise".
"Livrer 13.000 personnes à la mort": Borne accuse la France d'avoir "perdu son âme" lors de la rafle du Vel d'Hiv
Pour son discours de commémoration des 80 ans de la rafle du Vel d'Hiv, Elisabeth Borne a jugé que "ces jours de juillet, la France (avait) perdu une partie de son âme".
"Ici, ce sont plus de 13.000 personnes que la France a livré au supplice, à la haine, à la mort", a encore avancé la Première ministre.
Rafle du Vel d'Hiv: Borne accuse "l'Etat français" "d'être allé plus loin que les exigences des nazis"
Lors d'une cérémonie de commémoration de la rafle du Vel d'Hiv, 80 ans après les faits, Elisabeth Borne juge un regard sévère sur le gouvernement de l'époque.
"Ce sont bien nos lois, c’est bien notre police qui a arrêté des milliers de failles, c’est bien notre pays qui les a laissées suffoquer ici", a-t-elle estimé.
"L'Etat français est allé plus loin que les exigences des nazis", a-t-elle encore ajouté.
80 ans du Vel d'Hiv: Elisabeth Borne appelle la France "à regarder son histoire en face"
Elisabeth Borne a tenu un discours ce midi pour les 80 ans de la rafle du Vel d'Hiv sur le site de l'ancien vélodrome dans le 15ème arrondissement de Paris.
"Notre pays doit regarder son histoire en face", a jugé la Première ministre, elle-même fille de déporté.
La France n'a reconnu sa responsabilité qu'en 1995 lors d'un discours de Jacques Chirac.
"Laissons les morts en paix": l'écologiste Esther Benbassa condamne à son tour le tweet de Panot sur le Vel d'Hiv
La sénatrice écologiste Esther Benbassa a réagi elle aussi au tweet de la patronne des députés Nupes Mathilde Panot, lui faisant part de son "estime", tout en condamnant ses propos.
"Je dis stop (...) Laissons les morts en paix, ne les instrumentalisons pas", appelle-t-elle.
"Le macronisme est notre adversaire, mais ce n'est pas Vichy", estime-t-elle.
Tweet de Panot: le député RN Sébastien Chenu estime que la députée Nupes "ferait mieux de la fermer"
Le député RN Sébastien Chenu condamne à son tour le tweet de la patronne des députés Nupes Mathilde Panot sur Emmanuel Macron et la rafle du Vel d'Hiv, l'accusant d'être "ignarde (sic) de notre histoire".
"La polémique dessert cette cause d'unité nationale", a-t-il estimé, considérant que "ces provocations n'ont qu'un objet en réalité c'est viser à cacher l'antisémitisme qui est tapi dans l'ombre de la La France insoumise".
"Mathilde Panot (...) ferait mieux de la fermer", a-t-il tancé.
Tribune dénonçant les propos de Caroline Cayeux: "ce n'est pas à moi de demander la démission", déclare un député Renaissance
"Ce n'est pas à moi en tant que parlementaire de demander la démission", déclare le député Renaissance Benoît Bordat ce dimanche sur BFMTV. Il est signataire de la tribune qui dénonce les propos homophobes de la ministre Caroline Cayeux.
"Je me suis exprimé pour dire qu'il y a un problème dans ce pays: il faut qu'il y ait une vraie responsabilité dans la parole publique", explique-t-il. Aujourd'hui "quand il y a un dérapage le lendemain on s'excuse et puis on passe à autre chose et on efface l'ardoise", ce alors que "des jeunes réfléchissent au suicide par rapport à leur orientation sexuelle, à leur identité, je ne pouvais pas rester silencieux".
Emmanuel Macron est "irréprochable en matière de lutte contre l'antisémitisme", déclare le vice-président du Crif
Le président de la République, "comme tous ses prédécesseurs depuis Jacques Chirac, qu'il s'agisse de Nicolas Sarkozy, François Hollande ou Emmanuel Macron, ont toujours montré leur volonté de lutter réellement contre l'antisémitisme en France", assure Gérard Unger, vice-président du Crif, ce dimanche sur BFMTV, après avoir été interrogé sur les déclaration de la députée LFI Mathilde Panot.
Emmanuel Macron est "irréprochable en matière de lutte contre l'antisémitisme", ajoute-t-il ensuite.
"L'antisémitisme rode encore, et il tue", déclare le vice-président du Crif
"L'antisémitisme rode encore, et il tue (...) l'antisémitisme est toujours très présent", rappelle sur BFMTV ce dimanche Gérard Unger, vice-président du Crif. "On peut être inquiet d'un certain révisionnisme, mais en même temps on voit que la République fait ce qu'elle a à faire", ajoute-t-il.
"Mon petit fils en CM2 a travaillé sur la rafle du Vel d'Hiv, les enfants apprennent ce qu'est cette rafle du Vel d'Hiv qui a été cachée pendant plus de 20 ans à la mémoire et au souvenir des Français".
La rafle du Vel d'Hiv marque "la collaboration la plus étroite entre Vichy et les nazis", déclare le vice-président du Crif
La rafle du Vel d'Hiv est aussi "la manifestation de la collaboration entre l'État français de Vichy et les occupants nazis, l'État français qui prête sa police pour arrêter les Juifs", déclare Gérard Unger, vice-président du Crif. Il rappelle "la collaboration la plus étroite entre Vichy et les nazis" ces jours-là "avec l'arrestation puis la déportation et la mort de plus de 13.000 Juifs arrêtés".
Vel d'Hiv: réactions indignées de la majorité après un tweet de Panot
"Honte", "abject", "nausée": un tweet de la cheffe de file des députés LFI Mathilde Panot, reprochant notamment à Emmanuel Macron d'avoir "rendu honneur à Pétain" en 2018, suscite une volée de réactions indignées dans la majorité au jour des commémorations de la Rafle du Vel d'Hiv.
Le ministre chargé des Transports, Clément Beaune, a appelé Mathilde Panot à retirer son tweet et à présenter "ses excuses à la France, vite". "Au-delà de la honte. On n'ose y croire", a-t-il réagi sur le même réseau social. Relayant cet appel à retirer le tweet polémique, la députée Renaissance Prisca Thévenot a affirmé dimanche sur CNews que LFI avait "réussi à gagner la palme de l'abject, de l'indigne".
"Instrumentaliser la Shoah sans écrire le mot 'juif', après avoir voté plusieurs amendements avec le RN. LFI n'est plus à une contorsion idéologique près. C'est indigne de la mémoire des victimes, c'est une fille d'enfants cachés qui vous le dit", a écrit sur Twitter l'ex-ministre Emmanuelle Wargon.
Pour le sénateur RDPI à majorité En Marche Julien Bargeton, "il ne s'agit pas d'un dérapage. C'est la conséquence de l'attitude systématique consistant à faire de tout sujet une occasion de conflit, sans respect pour la mémoire ou la République". "Quelle honte!", "La nausée", "Aucune limite dans l'indécence", ont encore réagi respectivement les ministres Agnès Firmin Le Bodo, Isabelle Rome et Olivier Dussopt.
Comment faire vivre l'histoire des déportés et résistants après leur mort
80 ans après le Veld'Hiv, 77 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les témoins de cette période sont de moins en moins nombreux à être en vie. Quand un témoin meurt, "c'est une perte pour le travail mémoriel, de civisme, de pédagogie" que son récit permet", explique à BFMTV.com l'historienne Hélène Camarade. Et si leurs récits peuvent être transmis par d'autres bouches, "ce n'est pas pareil, il n'y a pas la force que véhicule un témoignage vécu", déclare Jacques Varin, secrétaire général de l'Anacr (Association nationale des anciens combattants et résistants).
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Propos homophobes de Caroline Cayeux: "si elle a un peu d'honneur et bien qu'elle démissionne", lance un élu LR d'Île-de-France
"Les regrets de la ministre auraient eu un véritable impact s'ils avaient eu a minima la force de la sincérité", a déclaré sur BFMTV Patrice Karam, vice-président Les Républicains du conseil régional d'Île-de-France, signataire de la tribune publiée dans le JDD. "Elle n'est pas sincère, elle le fait pour changer son poste, si elle a un peu d'honneur et bien qu'elle démissionne".
Propos homophobes de Caroline Cayeux: "il y a certaines plaies, des discours, des blessures qui ne sont pas passés", déclare un député européen
Pierre Karleskind, député européen Renaissance, est signataire de la tribune parue dans le Journal du Dimanche dénonçant les "propos homophobes" de la ministre Caroline Cayeux.
"Dans cette tribune le mot démission n'apparait pas, c'est le caractère homophobe des propos qui ont été tenu" qui est dénoncé, explique-t-il. "Il y a certaines plaies, des discours, des blessures qui ne sont pas passés depuis le débat sur le mariage pour tous", déclare-t-il, et "ça n'est pas possible et il faut en tirer les conséquences". Il parle de propos "blessants et excluants".
Rescapée du Vel d'Hiv, elle témoigne: "si je raconte mon histoire c'est pour les enfants qui ne sont pas revenus"
Arlette Testyler est une rescapée de la rafle du Vel d'Hiv. Le 17 juillet 1942 à l'âge de 9 ans elle est arrêtée avec sa soeur et sa mère et amenée au Vélodrome d'hiver à Paris. Transférée dans le camp de Beaune-la-Rolande (Loiret) elle réussit à s'échapper grâce à sa mère. Elle et sa soeur seront ensuite cachées chez des fermiers jusqu'à la fin de la guerre.
"Si je raconte mon histoire c'est pour les enfants qui ne sont pas revenus, si je ne le fais pas, ils mourront une deuxième fois. Ils n'ont déjà pas de sépultures", explique-t-elle sur BFMTV.
Pithiviers, deuxième site de déportation français après celui de Drancy
C'est par la gare de Pithiviers qu'ont transité une partie des 13.000 Juifs - dont 4115 enfants - arrêtés à Paris et en banlieue le 16 juillet 1942 et les jours suivants par 9000 fonctionnaires français, à la demande des Allemands.
8160 d'entre eux, y compris les vieillards et les malades, ont été conduits au stade du Vélodrome d'Hiver, dans le XVe arrondissement de Paris. Avant d'être évacués vers les camps de Drancy (Seine-Saint-Denis), de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande (Loiret). Depuis la seule gare de Pithiviers, huit convois sont ensuite partis vers les camps d'extermination, pour plus de 8000 déportés, ce qui en fait le deuxième site de déportation français après celui de Drancy. Quelques dizaines d'adultes seulement survivront.
Emmanuel Macron attendu à 15h à Pithiviers pour inaugurer
Le chef de l'État prononcera ce dimanche un "discours offensif" contre l'antisémitisme, qui "rôde encore et parfois de manière insidieuse", ce qui est "très préoccupant", a annoncé un conseiller de l'Élysée. Lors de cette commémoration pour le 80e anniversaire de la Rafle du Vel d'Hiv, Emmanuel Macron dénoncera également le "révisionnisme historique", notamment sur le rôle du maréchal Pétain pendant la Seconde Guerre mondiale, selon lui.
Accompagné de plusieurs personnalités, dont l'historien Serge Klarsfeld, la rescapée des camps Ginette Kolinka, ou encore le PDG de la SNCF Jean-Pierre Farandou, Emmanuel Macron est attendu à 15h dans la petite gare de Pithiviers, à une centaine de kilomètres au sud de Paris, qui n'accueille plus de voyageurs depuis la fin des années 1960 et qui vient d'être transformée en musée par le Mémorial de la Shoah.