CAFÉ POLITIQUE - Hulot a "fait l'amour avec la planète"

Le Parisien magazine a régulièrement des unes surprenantes, comme lorsqu'Arnaud Montebourg avait posé en marinière. - -
Nicolas Hulot raconte sa "vie intime"
"J’ai fait l’amour avec la planète". C’est avec cette citation iconoclaste que l’on retrouve vendredi Nicolas Hulot taquin en une du Parisien magazine, l’œil brillant et le sourire complice. L’écologiste concurrence sérieusement Arnaud Montebourg en marinière : alors que le ministre du redressement productif se contentait de la France, le défenseur de la nature, lui, vise la planète.
Sur Twitter, les internautes n'ont pas manqué de commenter cette couverture avec humour.
Eva Joly se déchaîne au Grand Journal
Invitée du Grand Journal jeudi soir après un long silence médiatique, Eva Joly, lunettes vertes sur le nez et veste orange, n’était pas d’humeur à cirer des chaussures. "Il est temps qu’il se ressaisisse !", a-t-elle lancé au sujet du chef de l’Etat François Hollande. "Nous voulons qu’il change de cap", a poursuivi l’écologiste. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en a aussi pris pour son grade. Son projet d’aéroport à Notre-Dame des Landes est "absurde", a ainsi fustigé Eva Joly. Ambiance.
Claude Sérillon va s'occuper de Hollande ?
L’ancien présentateur du journal de 20 h sur France 2 va faire son entrée à l’Elysée, selon L’Express.fr. Il aura pour mission de redresser l’image sévèrement fragilisée du chef de l’Etat. Claude Sérillon, journaliste expérimenté et indépendant -il a perdu trois fois sa place à la télévision à cause de sa liberté de parole-, est une connaissance du président de longue date, avec qui il a déjà travaillé. Le grand public se rappelle du fameux fou rire contagieux de Claude Sérillon avec Michel Boujenah en 1989, sur le plateau du Téléthon. Vidéo.
Jean-Marc Ayrault fait une grosse gaffe
Il ne s’est trompé que d’une lettre. Cela a pourtant suffi pour que Jean-Marc Ayrault commette un lapsus mémorable, repéré par l'agence Sipa News. En visite auprès de la chancelière Angela Merkel à Berlin, le Premier ministre a voulu évoquer dans son discours le dialogue fructeux, "fruchtbaren Austausch", entre la France et l’Allemagne. Mais c’est le mot "furchtbaren" qui est sorti de sa bouche... Jean-Marc Ayrault a donc loué "l’effroyable dialogue" franco-allemand devant un parterre d’entrepreneurs. Aïe.