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Police-Justice

Après Ikéa, Quick soupçonné d’espionnage

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Selon Mediapart, le groupe Quick a eu recours "au même détective privé" que Ikéa, mise en examen pour l’espionnage de ses salariés, Jean-François Fourès, pour "des pratiques également illégales" entre 2006 et 2011. Le numéro deux de la restauration rapide en France aurait déboursé 165.000 euros (un montant deux fois supérieur à celui versé par Ikéa sur la même période).

Si Quick a reconnu avoir sollicité l’intervention de Eirpace, la société de Jean-François Fourès, c’est uniquement pour procéder à des "vérifications" sur certains antécédents judiciaires et bancaires uniquement dans les "procédures de recrutement des franchisés": "Eirpace n’a jamais été utilisée pour enquêter sur la vie professionnelle ou personnelle des salarié," assure la chaine de restaurants.