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Yvelines - Page 19

Procès Magnanville: la femme de Mohamed Lamine Aberouz entendue

Procès Magnanville: la femme de Mohamed Lamine Aberouz entendue

Sept ans après l'attentat de Magnanville, le procès d'un complice présumé de Larossi Abballa, qui avait assassiné deux policiers dans leur pavillon des Yvelines en juin 2016, s'est ouvert hier à Paris. Âgé de 30 ans, Mohamed Lamine Aberouz a clamé une nouvelle fois son innocence, dénonçant l’acte monstrueux de son ami d’enfance. Ses premiers mots ont été pour les familles des deux victimes, à qui il a exprimé sa "compassion". Ce début de procès est consacré à sa personnalité, hier deux femmes proches de lui ont témoigné à la barre et dressé le portrait d’un homme radicalisé.

Gabriel Attal à Versailles pour "faire la transparence" sur les courriers "de réprobation"

Gabriel Attal à Versailles pour "faire la transparence" sur les courriers "de réprobation"

Dans une interview accordée hier à nos confrères de "C à vous", Fred Nebot, le papa de Nicolas prend la parole pour la 1ère fois. 3 semaines après le suicide de son fils chez lui à Poissy à Yvelines. Cet adolescent de 15 ans avait été harcelé toute l'année dernière par des camarades de classe. Ce père de famille avait pourtant tenté d'alerter le rectorat, une tentative balayée d'un revers de la main, par un courrier du rectorat de Versailles en mai dernier, accusant presque les parents de trop en faire. Ce courrier, que le ministre de l'Éducation Nationale Gabriel Attal a qualifié de "courrier de la honte", a précipité cette famille dans le désarroi, c'est ce qu'explique Fred Nebot, le papa de Nicolas. Gabriel Attal s'est rendu hier à l'académie de Versailles pour "faire la transparence" sur les courriers "de réprobation" reçus par des familles.

Suicide Nicolas: "Ce sont des tueurs, ma vie est finie"

Suicide Nicolas: "Ce sont des tueurs, ma vie est finie"

Dans une interview accordée hier à nos confrères de "C à vous", Fred Nebot, le papa de Nicolas, prend la parole pour la 1ère fois. 3 semaines après le suicide de son fils chez lui à Poissy dans les Yvelines. Cet adolescent de 15 ans avait été harcelé toute l'année dernière par des camarades de classe. Ce père de famille avait pourtant tenté d'alerter le rectorat, une tentative balayée d'un revers de la main, par un courrier du rectorat de Versailles en mai dernier, accusant presque les parents de trop en faire. Ce courrier, que le ministre de Éducation Nationale Gabriel Attal a qualifié de "courrier de la honte", a précipité cette famille dans le désarroi, c'est ce qu'explique Fred Nebot, le papa de Nicolas. Gabriel Attal s'est rendu hier à l'académie de Versailles pour "faire la transparence" sur les courriers "de réprobation" reçus par des familles.

Procès de Magnanville: "Désormais, on regarde derrière nous lorsqu'on rentre à la maison" déclare Mathieu Valent du syndicat indépendant des commissaires de Police

Procès de Magnanville: "Désormais, on regarde derrière nous lorsqu'on rentre à la maison" déclare Mathieu Valent du syndicat indépendant des commissaires de Police

"Je réitère mes condamnations les plus fermes à l'encontre de Larossi (Abballa) pour cet acte monstrueux qu'il a commis". Dès le premier jour de son procès, Mohamed Lamine Aberouz s'est catégoriquement démarqué de l'assassin d'un couple de policiers en juin 2016 dans leur pavillon de Magnanville, dans les Yvelines, sous les yeux de leur fils âgé alors de 3 ans

Procès de Magnanville: "Dans n'importe quel service de police en France, vous avez des photos de ce jeune couple souriant" raconte Bruno Bartocetti d'Unité SGP-Police FO

Procès de Magnanville: "Dans n'importe quel service de police en France, vous avez des photos de ce jeune couple souriant" raconte Bruno Bartocetti d'Unité SGP-Police FO

"Je réitère mes condamnations les plus fermes à l'encontre de Larossi (Abballa) pour cet acte monstrueux qu'il a commis". Dès le premier jour de son procès, Mohamed Lamine Aberouz s'est catégoriquement démarqué de l'assassin d'un couple de policiers en juin 2016 dans leur pavillon de Magnanville, dans les Yvelines, sous les yeux de leur fils âgé alors de 3 ans

Une marche blanche est organisée ce jeudi pour rendre hommage au couple de policiers assassiné à Magnanville.

Policiers tués à Magnanville: le procès s'ouvre ce lundi devant les Assises spéciales de Paris

Le procès de l'attentat de Magnanville s'ouvre ce lundi 25 septembre 2023, devant les assises spéciales à Paris. Le 13 juin 2016, un couple de policiers était assassiné à son domicile à Magnanville dans les Yvelines. Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider étaient tués à coups de couteau par un terroriste se réclamant de Daech. Larossi Abballa avait été neutralisé par le Raid le soir des faits. Sept ans plus tard, son ami d'enfance Mohamed Lamine Aberouze comparait dans le box des accusés pour complicité d'assassinat en lien avec une entreprise terroriste.

Ouverture du procès de l'attentat de Magnanville à Paris

Ouverture du procès de l'attentat de Magnanville à Paris

Le procès de l'attentat de Magnanville s'ouvre aujourd'hui devant les assises spéciales à Paris. Le 13 juin 2016, un couple de policiers était assassiné à son domicile à Magnanville dans les Yvelines. Le commandant de police Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider, agent administratif en commissariat, étaient tués à coups de couteau par un terroriste se réclamant de Daech. Larossi Abballa, un français de 25 ans, avait séquestré Jessica Schneider et son fils de 3 ans puis il avait tué Jean-Baptiste Salvaing qui rentrait du travail avant de s'attaquer à sa compagne. Il avait été neutralisé par le RAID dans la soirée. C'est son voisin et ami d'enfance qui comparait seul dans le box des accusés, accusé de complicité d'assassinat en lien avec une entreprise terroriste de kidnapping et association de malfaiteurs terroriste criminelles.

Attentat de Magnanville: 7 ans après, l'heure du procès

Attentat de Magnanville: 7 ans après, l'heure du procès

Le procès de l'attentat de Magnanville s'ouvre aujourd'hui devant les assises spéciales à Paris. Le 13 juin 2016, un couple de policiers était assassiné à son domicile à Magnanville dans les Yvelines. Le commandant de police Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider, agent administratif en commissariat, étaient tués à coups de couteau par un terroriste se réclamant de Daech. Larossi Abballa, un français de 25 ans, avait séquestré Jessica Schneider et son fils de 3 ans puis il avait tué Jean-Baptiste Salvaing qui rentrait du travail avant de s'attaquer à sa compagne. Il avait été neutralisé par le RAID dans la soirée. C'est son voisin et ami d'enfance qui comparait seul dans le box des accusés, accusé de complicité d'assassinat en lien avec une entreprise terroriste de kidnapping et association de malfaiteurs terroriste criminelles.