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Conflit Israël-Iran - Page 7

Attaques de l'Iran: Israël promet "une riposte" malgré les appels au calme

Attaques de l'Iran: Israël promet "une riposte" malgré les appels au calme

Israël promet "une riposte" à l'attaque massive et sans précédent lancée par l'Iran, malgré les appels de nombreux pays, y compris son allié américain, à éviter une escalade dans une région déjà endeuillée par la guerre en cours dans la bande de Gaza. L'Iran a pour la première fois lancé une attaque directe ce weekend contre Israël, en représailles à une frappe contre le consulat iranien à Damas le 1er avril, attribuée à Israël, qui a tué sept membres des Gardiens de la Révolution.

Israël : riposter, au risque d'une guerre ? - 15/04

Israël : riposter, au risque d'une guerre ? - 15/04

Deux jours après l'attaque iranienne contre Israël, les deux pays continuent à monter en pression. Le chef d'état-major de l'armée israélienne, Herzi Halevi, a promis ce lundi 15 avril, une "riposte" à l'attaque sans précédent de l'Iran contre Israël, lors d'une allocution devant des soldats sur une base touchée par une frappe iranienne. Plusieurs pays s'inquiètent désormais du risque d'embrasement régional en cas de réplique israélienne directe, sur le sol iranien. On en parle avec : Vincent Desportes, professeur de stratégie à Sciences Po et HEC. Frédéric Hermel, journaliste RMC Sport et écrivain. Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV. Et Pablo Pillaud-Vivien, rédacteur en chef de la revue Regards.

Attaque de l'Iran contre Israël: "C'est une partie infime de la population qui soutient le régime", affirme Amélie-Myriam Chelly (sociologue spécialiste des islams politiques)

Attaque de l'Iran contre Israël: "C'est une partie infime de la population qui soutient le régime", affirme Amélie-Myriam Chelly (sociologue spécialiste des islams politiques)

Après l’attaque iranienne sans précédent contre le territoire israélien, lancée en réponse à une frappe contre le consulat iranien à Damas, se pose la question de l’éventuelle riposte de l’État hébreu. Plusieurs voix se font entendre à l’international pour appeler à une désescalade. Les États-Unis ont notamment assuré ne pas vouloir “d’une guerre étendue avec l’Iran”, alors qu’Emmanuel Macron a appelé à éviter un “embrasement” régional